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I
CLlMATOLOGIJi.
2 . DIFFÉRENCES ENTItE LES MOYENNES MENSUELLES
(MOYENNES Dli DEUX ANSÉES],
Janvier..
Février
Mars...
Avril ..
M a i . . . .
J u i n . . .
Juillet..
Août...
Septembre
Octobre..
Novembre
Décembre
.Moyenne des différences
6.66
11.25
12.40
13.00
18.62
23.02
27.85
23.50
19.87
17.22
13.03
6.92
DlFFÉnE.NCES.
4.60
1.15
0.60
5.62
4.40
4.73
4.35
3.63
2.65
4.19
6.11
3.82
3 . MOYENNES DES QUATRE SAISONS.
« n - . B .
DIFFÉRESCE
emre l'Liver
pt
le printemps.
PRINTEMPS.
DIFFÉRENCE
entre
le printemps
et l'été.
ÉTÉ.
DIFFÉRENCE
Mitre l'été
et
l'automne.
AUTOMNE.
8.23 eM ia.67 10.22 2^.89 8.19 16.70
Différence entre les moyennes hivernale et estivale . 16.66
DilTórence.
Moyenne mensuelle la plus élevée (juillet). 27.85 j ^^
Moyenne mensuelle la plus basse (janvier). 6.56 j
CllAPITllK VI. m
Lii iiioyeiiiie aimuelle de Sniyi'iie paruilêtre un pou inférieure
à celle (les localités île l'Europe situées sous la même
lalilutle, comme l'alerme (moyenne annuelle 17.2), Messine
(18.8) et Lisbonne (10.4). D'ailleurs, Barcelone et
Naples, qui sont l'une et l'autre d'environ 2 degrés plus
boréales que Smynie, ont (surtout Barcelone) des moyeinies
annuelles supérieures à la sienne; en sorte que la ligne
isotherme de Smyrne, prolongée en Europe, s'y relève
plus ou moins selon les localités, en oscillant entre lui e(
deux degrés de latitude au-dessus de celle de cette ville.
Comme la moyenne annuelle, la moyenne automnale de
Smyrne lutte avec les localités littorales de l'Europe situées
soit sous la même latitude, soit sous une latitude plus
boréale : ainsi, d'un côté elle est inférieure nou-seuleinent
à celles de Lisbonne et de Palermo, mais encore à celles
de Nice (lat. 43°42) et de Barcelone (lat. 41° 22) , d'un
autre côté elle dépasse légèrement celle de Messine (16.4),
et cependant ne s'accorde complètement qu'avec celle de
Naples (lat. 40" 31).
L'infériorité de la moyenne printanière de Smyrne, comparativement
aux localilès littorales de l'Europe, est beaucoup
plus prononcée, car, moins forte que celle des villes
situées sous la même latitude, comme Païenne, Lisbonne
et Jlessine, cette moyenne est encore dépassée par celle
de Naples et même de Barcelone. Si bien que pour trouver
en Eurojie le cliiffre do la moyenne printanière de Smyrne,
il faut s'adresser, non plus à des localités littorales, mais à
celles participant déjà du climat continenlal, comme, entre
autres, Florence (lat. 43°47), dont la moyenne printanière
est 14.7.
linlin, la moveiuie bivei'nale de Suivrne tiescend davan-
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