
;
Y 'ë
I;
I N'J.
b
le p i ) r d r c ï i r ‘i! “ e “! p (leclne. Il se pi/ol®oiig“e' "s'u' “rto ut au-dessous de son point *d 'i>u<»s"e rptioonuu,
quand il est pourvu
au-dessus de sa base
d’un éperon descendant
(fig. 259-262).
Cet ép e ro n , qui
peut devenir assez
large pour ne constituer
qu’une bosse,
s’il est peu allongé,
ou une sorte de casque,
s’il s’allonge
davantage, peut occuper
le dos du sépale
ou sa portion
supérieure, ou se diriger
en haut ou en
travers, au lieu de demeurer
descendant.
Ailleurs on le dit
adhérent, parce que
sa base d’insertion,
au lieu de reprél'iG.
2o8. — Pie d -d ’alouette. Éperon libre.
heu reoréd
u j km oM sT ù “ “ ''‘N ® ' f “ et considérablement
quelquefois, en un fer a cheval dont la concavité est snpérienre et
IiG. 259. — Erisma. Éperon libre.
I iG . 260. — Vochijsia. Éperon libre.
s blanches quelquefois très étirées. La cavité de l ’éperon adhérent est
f Z a f ““' P’*'’ ’<* réceptacle floral
I S- - 0 /). Gette disposition peut s’observer sur tous les sépales d’une fleur.
comme dans le Cyt inus; ou bien elle existe sur l’un d’eux seulement
(Pélargonium)-, ce qui rend aussi le calice essentiellement irrégulier.
La situation des sépales dans une fleur donnée dépend de la symétrie
du calice (p. 184).
La durée du calice est variable. Il tombe quelquefois au moment ou à
Fig. 261. — Salverlia.
Éperon libre.
Fig. 262. — Balsamine. Calice pourvu
d’un éperon libre.
peu près de l’épanouissement de la fleur, ou un peu après, suivant qu’il
est ou fugace (Pavots), ou caduc, ou bien il persiste longtemps et même
Eig. 263. — Eucalyptus.
Galice s’ouvrant circu-
lairement par sa base.
F ig . 264. — Pternandra
(Kibessia). Galice s’ouvrant
circulaircment.
Eig . 265. — Matthæa. Calice de
la fleur femelle, s’ouvrant cir-,
culairement par sa base.
jusqu’à la maturité du fruit qu’il accompagne et autour duquel il peut
même s’accroître ; il est alors ou persistant, ou accrescent.
Corolle.
La corolle est formée de folioles, ordinairement colorées, membraneuses,
souvent délicates, assez fréquemment odorantes : ce qu’elles
doivent à des essences qui rendent souvent les fleurs utiles en médecine,
généralement en même nombre que les sépales et alternant avec eux.