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gorgés pendant la période de repos, dans les Fougères à végétation intermittente,
de fécule ou d’aliments analogues, et il y a aussi dans le liber,
pour le transport de ces aliments, des phytocystes cribreux et grillagés
Fig. 927. —■ Tige de Fougère,
coupe transversale.
Fig. 928. — Tige de Fougère portant les
cicatrices des feuilles.
Fig. 929. — Vaisseaux dits scalariformes
de Fougère.
(fig. 896). Les larges cicatrices que laissent sur le tronc les feuilles après
leur séparation, permettent de voir, disposées dans un ordre plus ou
moins régulier, les solutions de continuité des nombreux faisceaux qui se
rendent à ces appendices (fig. 925, 928).
T I S S U D E S F E U I L L E S
Il y a des feuilles à tissu très simple et dont tous les phytocystes sont
des cellules, comme dans les Mousses (fig. 930, 931), les Hépatiques.
Ailleurs, un certain nombre de ces phytocystes deviennent des fibres ou
des vaisseaux et forment, des faisceaux fibro-vasculaires ; c’est ce qui arrive
dans les Cryptogames plus élevées en organisation, et dans les Phanérogames,
notamment dans le pétiole et les nervures. Les feuilles les plus
simples des Ciryptogames peuvent être formées par une simple assise de
phytocystes-cellules. Ailleurs, le nombre de ces assises s’accroît. Généralement
en pareil cas, l’assise superficielle, tant au-dessus qu’au-dessous.
Fig. 930, 931. — 3Iousses. Tissu des feuilles.
se modifie de façon à constituer graduellement cette membrane d’enveloppe
qu’on nomme épiderme.
A . — Épiderme.
L’épiderme est formé d’une, plus rarement de plusieurs assises de phytocystes
tabulaires, unis intimement p a rleu rs bords et sans méats.
Ils peuvent être tous semblables entre eux ou dissemblables. Leur forme
Fig. 932. — Épiderme pourvu de
stomates et k. phytocystes polygonaux.
Fig. 933. — Épiderme avec stomates
et à phytocystes sinueux.
est OU régulière, carrée, rectangulaire, losangique, polygonale (fig. 932,
934, 935), etc., ou irrégulière (fig. 933). Leurs bords sont ou rectilignes,
ou courbes, ou plus ou moins profondément sinueux. Leur paroi libre se
euticularise plus ou moins profondément. G’est là quelquefois fa seule
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