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aussi que celte zone eoinniunique largement au point de rencontre avec
chacun des rayons médullaires, et nous avons déjà fait entrevoir le rôle
l'XG. 909. — Chanvre. Fibres libériennes
en couche continue. F ig 910. Liii. Coupe longitudinale et
transversale d’un faisceau du liber.
«I^relle joue dans la formation du bois et du liber secondaires rôle sur
lequel nous reviendrons à l ’étude de l’accroissement des tiges.
G. — Bois.
Le bois est, comme nous l’avons vu, formé de zones en nombre variable
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nous grace a l’alternance régulière des saisons, sont le plus ordiiiaire-
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extérieures de ces couches constituent l’aubier, et les plus intérieures, le
coeur, foi mes de fibres ligneuses el de vaisseaux. Tout à fait en dedans du
bois se trouve Vétui médullaire, c’est-à-dire la couche primaire de bois,
contenant seule des trachées déroulables. Dans les Conifères, le bois est
F ig . 911. — Sapin. Tronc coupé en travers, pour montrer
les couches concentriques du bois.
F ig . 912. — Fibres
du bois.
formé de fibres seulement. Ces couches d’ailleurs sont traversées par les
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Eig . 913. — Erable. Coupe longitudinale d’une portion de la tige, passant par un rayoïï
médullaire RM. MM représentent, à gauche la moelle, et à droite le parenchyme cortical.
FL, liber. T, étui médullaire.
rayons médullaires (fig. 913) et souvent aussi par d’autres organes,,
comme des canaux résineux, des laticifères, etc.