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mere pentamère, etc., pent avoir autant on plutôt deux fois autant ,'de
plans de symétrie qu’elle a de parties à cliaque verticille.
Mais une lleur parfaitement symétrique peut être irrégulière ses par
lies, symétriquement disposées autour de l’axe floral, étant cepemfont
Fig. 602, 603. — Ilavenia. Fleur irréo-ulière ’ Frr « n i æ-
à deux plans de s.mélrie (l’un d’eux apparie^ fleu,- ieréguliè“ ’ à 'E x " 'X a / '™
® ■ cle 36 degrés.
loutPS dissemblables (fig. 59i, 592), et nous ayons vu qu'une (leur irrégulière
peut avoir un ou plusieurs plans de symétrie ; ou ne doit doue point
conlondre 1 msymetrie avec l’irrégularité.
Il y a des fleurs irrégulières qui ne possèdent aucun plan de symétrie.
Fig.^ 605. — Nard indien. Fleur irrégulière
et dépourvue en même temps Me
tout plan commun de symétrie.
F ig . 606. — Garidelle. Fleur régulière et
cependant dépourvue de tout plan commun
de symétrie.
Payer a cité comme exemple celle du Balisier (tig. 607, 608), avec laquelle
on ne peut obtenir deux moitiés symétriques, par quelque plan vertical
quo 1 OU coupe la fleur. Il , a même des tleurs d / r i l e s clm'e r é g u b t e l
qui n ont pas non plus un seul plan de symétrie - telle est c p I I p H o ln
mridelle (lig. 606). La fleur de la Valériane officinale (fig. 609, 610) est
dans le même cas que celle du Balisier, et celle du Nard indien (fig. 605)
n’a pas non plus un seul plan de symétrie commun à tous les verticilles,
parce que le plan qui coupe à la fois en deux moitiés symétriques le calice,
F ig . 607, 608. — Balisier. Fleur coupée en long, dépourvue de tout plan de symétrie.
la corolle et l’androcée, divise le gynécée de telle façon qu’il laisse d’un
côté la majeure partie de son unique loge fertile et de l’autre la portion
la plus interne de cette loge et deux petites loges stériles voisines. Quand
F ig . 609, 610. Valériane officinale. Fleur coupée en long, qui ne possède
aucun plan commun de symétrie,.
on veut représenter en coupe longitudinale des fleurs qui ne possèdent
qu’un plan de symétrie, il faut nécessairement faire coïncider le plan de
section avec l’unique plan de symétrie.
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