
TKAITÉ d e BOTANIQUE MÉDICALE.
chalazique, ils peuvent secondairemeul se prolonger plus ou moins loin
dans une couche seininale persistante.
Les arilles dont la graine est souvent pourvue (fig. 979-995) de ouelnup
région de sa surface qu’ils naissent (p. 222), so fode nature épIdeS^^^^
tt formes uniquement de phytocystes-cellules ou de phytocvstes-pods.
Ier^(Late^(ite^989 des trachées dans leur substance, comme dans
les u x a u s (fig. 989-991), les Magnolia (fig. 992') ote opI'. ttent a z.
les modifications dont les phytocystes superficiels ont été le siég¡ se sont
également produites sur les phytocystes plus profonds des téguments ceux
qui sont interposes aux ramifications du réseau trachéen.
Tissu du réc eptacle floral.
jo r c ir d /s
P a loime d un sac a paroi plus ou moins membraneuse les fais
s = i l l l i = s =
glanduleux, et constituant un disque d’origine ré c ep ric ^ tire !’
P H Y S I OLO G I E V ÉGÉ TA LE
F O N C T I O N S D E N U T R I T I O N
I. — Absorption.
Les plantes absorbent des fluides, gazeux et liquides, notamment de
l’eau et des matériaux nutritifs tenus en dissolution; elles peuvent les
absorber par différents organes : les feuilles, les racines, par exemple,
ou même par la totalité de leur surface.
Quand une plante d’organisation inférieure et partout homogène comme
tissu vit aux dépens d’un fluide dans lequel elle est plongée en totalité,
ainsi qu’il arrive, par exemple, pour un grand nombre de Cryptogames
submergées et aussi pour quelques Phanérogames, on peut bien admettre
que tous les points de sa surface opèrent avec le milieu ambiant des
échanges de liquide, sans que tel ou tel d’entre eux soit plus particulièrement
chargé de cette fonction. Mais dans les végétaux plus élevés en
organisation et vivants (car il ne faut pas confondre avec 1 absorption la
seule imbibition des tissus), il y a des portions spéciales, plus ou moins
étendues, de la surface auxquelles est dévolue cette fonction. Lorsqu’il
s’agit de la pénétration des gaz, ces voies d’absorption sont plus nombreuses,
car les racines, les tiges suffisamment tendres, les feuilles et
certaines parties même des lleurs et des fruits peuvent les admettre. Mais
pour les liquides le phénomène semble plus circonscrit. Les racines les
absorbent, mais non pas dans toutes leurs portions; de même les tiges et
les feuilles; et, pour ces dernières, il y a même bien des cas où l’on a
affirmé que le phénomène ne se produit pas. Dans les graines ordinairement,
les points par lesquels peut se faire l’absorption des liquides sont
extrêmement limités. Nous examinerons d’abord d’une façon sommaire
en quoi consiste l’absorption par les racines el par les feuilles; si elle
existe oui ou non; quelles sont les substances que peuvent absoibei ces
organes. Beaucoup de ces questions ne pourront être, dans 1 état actuel de