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de l’androcée. Ainsi les Lis et les Amaryllis qui ont six étamines sur deux
langs, et les Iris qui n en ont qne trois, ont les trois loges ovariennes dans
la même situation par rapport aux sépales. -
Dans les Dicotylédones, les carpelles sont plus souvent en face des
Fig . 571, 572. — Sauvagesia. La corolle est dédoublée, chaque pétale étant remplacé
par deux pétales superposés; cependant la symétrie florale n’est pas altérée.
pétales qu’en face des sépales, mais bien souvent aussi ils alternent avec
les premiers.
Quand il n ’y a que deux carpelles dans une fleur d’ailleurs pentamère,
ils sont presque toujours, l’un antérieur et l’autre postérieur.
Avec trois carpelles, deux sont antérieurs ou postérieurs (fig. 567).
Gbacuii de ces trois carpelles peut être exactement superposé à un sépale
Fig . 573. —■ Candollea. Chaque étamine
est remplacée par un groupe de quatre
pièces, mais la symétrie générale de
la fleur n’est pas modifiée.
F ig . 574. — Spirée. Les verticilles de l'androcée
sont au nombre de deux, mais il y a
dédoublement dans chacun des verticilles,
et la symétrie florale n’est pas modifiée.
ou à un pétale, mais partois, comme dans l’Aconit (fig. 598), aucun d’eux
n est exactement superposé à une des pièces du périantbe. Demême, dans
le Pied d Alouette des champs (fig. 597,599), le carpelle unique-n’est
exactement ni en face d’un des sépales, ni en face du milieu de leurs
intervalles.
Il y a des fleurs d’un même groupe très naturel, d’ailleurs absolument
pareilles par leur symétrie florale et dont les carpelles n’ont pas la même
situation. Ainsi, la Nielle des blés a cinq carpelles oppositipétales, et les
Lychnis, que bien des auteurs ont cependant placés dans le même genre,
les ont oppositisépales.
Beaucoup de fleurs mâles d’Enpborbiacées ont deux ou trois sépales
liG. 5 7 5 -5 7 9 ,— Diagrammes de Tilleul et de quatre Malvacées, dont les étamines se
sont plus ou moins dédoublées, les faisceaux restant néanmoins superposés aux
pétales; la symétrie générale de la fleur n’y est donc pas modifiée.
avec deux ou trois étamines alternes (fig. 566), et d’autres, quoique appartenant
à des genres extrêmement voisins, ont de deux à cinq étamines
superposées aux sépales (fig. 563).
On a dit que les dédoublements modiiient la symétrie florale. Mais le
plus souvent ils ne l’altèrent pas. Certaines Malvacées, telles que les
Hermannia, ont cinq étamines oppositipétales (fig. 542). La plupart des
autres Malvacées ont les étamines nombreuses; mais un faisceau d’éta-
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