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le corifidérolt comme le pain en recommandoit l’ufage dans ltoe ups lufse sp acrofuarist ;, i&l eenx mmapnlgee, ooitn te nb egaruacnoduep acboonntdraibnucée . àS easu lgemçoennst e, rf elna confiance du public dans les propriétés du Sucre.
gliMuianienutefen afneti tq ud’eo n peut démontrer que la matière baie aux principes du fucre , que
pdaarnfsa icteetmtee ncot mfobliunbalief o&n ceollnef éeqftu eexmtrmêmenetm daennst plau rdei f&- ppoerfiltoinonn e lan ep lruésf upterorap rdee àc iêotriere f aqcuiele lme eSnutc dreig féoriéte l a, lmubuflttaipnlcieé sa nliem leanittïaeinret laau cpulnu sd poaurtfea iftuer ,c e& p odeins t.faits
M. Geoffioi , dans fa matière médicale, rapporte
Fobfervatior. de deux perfonnes qui mangeoient b&e afuacnos uinpf idrem iStéusc.re , dont la vieillefle a été longue
méOdenc vino iat udxa nesn lvai rgonasz edtete S adien ft-aMntéa lqou, ea M v. éEcmu eprriècs, fduec rcées n; t quaen sM, .e dne lfae Vneorugrurief lant avec des alimens deloupe , a vécu très-vieux , ,e nm éfdueivcainn t àl el a mGêumae
raéug Himaev r,e &, dqiufeo itM q. ud’iel Bdeavuoviot irà , lluiteaugteen adnut dSeu crorei lvai nbgotns naen sfa.nté dont il jouiffoit à l’âge de quatre-
fe Ld’iegxétrreêrm ,e l ef.a creilnidté la’avleimc eliaaqt udeell et oules Sleusc râeg epse u&t ldièer etomuetenst aluexs ecnir fcaonsn f;t aanucxe vs,i eiill lcaordnsv,i eanutx pparetrifcoun - lnepfsç-e 'nfos.ibles .& délicates, aux malades, aux conva-
& Openu tp-eêutrte l e donner à l’enfant qui vient de naître, premiers moemfte-nils lde ef efua l qnuaiif fluani cceo n; viile npnoe rdtea nas vleecs lfo’auvdarnet aleg em édceo lnei unmo u&rr ir , celui de concourir à dif- goût-de l’enfant pour en faciliter l’évacuation. Le cation le au fucrée, eft une indiplus
deb iceonn;ffûiraen càe ,l aqquuee lllee loani t ddoeit laav omirè rde',a mdaannst les premiers temps de l’accouchement , femble
lï’êfré güèrcs que de l’eau fucrée.
donQtu o'onn a éloigne donc pour jamais le lait de vache reconnu L depuis long-temps , tous les:
rinem:opnlvaécneire npsa r, le& l aqiut ’doen .cah ècvhree.rché inutilement à
proLu’voeb fdeer vlaat imona nriaèprpeo lraté ep lduasn fsa ltais fgaaifzaentttee dlees faavnatné,
tages du Sucre dans la première enfance.
ca'Oionn pdeeu lta dnoantcu rfee, lmivarnerif eefnt éteo uptea r ful’reexttér êàm le’i nadyii-- ednit én adteusr een, feann.sb bpioffuorn l,e &S udcarnes. tQouus’ olne s laeluimr eenn sd. oSnunre
dtoeu fta qriun’eo n& b dane nliaffite qpuoeu lre sj aemftoamisaluefsa lgese pdleulsa -rboobuuifltleies peuvent rarement fapporter. Que le premier alis
u c
ment de l’enfant foit une bouillie faite avec de la
mie deflechée au four , réduite en poudre & cuite
dans l’eàu fucrée; que cette bouillie , extrêmement
fi m pie & qu’on peut fe procurer, par-tout,
foit la feule dont on nourriffe l ’enfant.
Il fer oit à défirer pour le bien de l ’humanité
&' pour le bonheur des enfans , qu’on tentât dans
les dépôts publics , de les alimenter avec le Sucre
& des alimens fucrés , & qu'on conftatât par
des expériences fuites avec foin & bien fuivies,
les avantages qu’on eft en d oit d'attendre de fon
ufage dans les premiers temps de la vie,
La bouillie que nous venons d’indiquer pour
les enfans, conviendrait Couvent beaucoup mieux,
aux perfonnes épuifées par de longues maladies ,
après lefquelles l'eftomac reprend quelquefois fi
difficilement fes fondions, que les potages gras,
les bouillies de ris , de g «au, &c.
Les préjugés établis dans des temps d'ignorance
fur la qualité échauffante du Sucre, en font
craindre encore l’ufage à beaucoup de perfonnes.
S' on fait attention que le Sucre contient la
fubftance alimentaire la mieux préparée • & en
très grande proportion,, li on fait atrention que
fês propriétés fai nés lç rendent le dîffoivant des
alimens qu’il affaifonne , on verra que fous ces
deux rapports il n’eit point d’aliment qui nour-
: riffe davantage. Or on fait que le propre des
; fubftances très-nourriffantes,eft d’augmenter les forces
vitales , & que de leur augmentation., refaite
néce flaire ment une chaleur bienfaifante a laquelle
nous devons le bonheur de notre exîftance. Sous
ce point de vue le Sucre échauffe, & la chaleur
qu’on éprouve eft fans doute le plus grand bien
pour la fanté. Elle doit être bien dillinguée de
la chaleur d’effervefcence que produifent les fubftances'
aromatiques qui ne , font point alimentaires.
On croit encore vulgairement que les propriétés
fondantes du Sucre font maigrir. L ’expérience
démontre le contraire tous les jours ; car fur les
habitations à Sucre, tous le s . beftiaux , pendant
la fabrication , font nourris avec des .cannes &
avec -les écumes du vefou ; quoiqu’ils fatiguent
a’ors { lus qu’en aucun autre temps , néanmoins
ils fe portent beaucoup mieux &. ils prennent de
l’embonpoint.
Lorfqu’on donne des écumes de vefou & du fîrop
aux cochons , ils engraiffent promptement, ,
& leur chair devient plus tendre & plus délicate.
Les faits fui vans prouvent encore que l ’ufage
du Sucre engraiffe; ils font tirés des cayers de
M. Rouelle l’aîné.
»s Le royaume de la Gochinchine eft , de tous
les pays des Indes orientales, celui qui produit
s u c
une plus grande quantité de Sucre & de la meilleure
qualité ; cette denrée y forme le plus grand
objet d’exportation pour le commerce etranger.
» Les Cochinchinois font une tiès-grande con-
fommatiqn de Sucre; ils en mangent oriinaiie-
ment avec leur r is , & c’eft le déjeuner commun
des hommes & des femmes de tout âge.
33 Dans toutes les auberges du pays , on ne trouve
guères^que du ris au Sucre ; ceft la nourriture
ordinaire des voyageurs.
. 3» Les Cochinchinois confifenl comme nous tous
leurs fruits H & de plus , la plupart de leurs
légumes, la citrouille , certains concombres , des,
racines , des cardes, la graine de lotus, & la
feuille épaîffe de l’aloès.
» Ils prétendent que rien n’eft fi nourriflant que
le Sucre. C'eft d’après i’exp é.nence du pays que
le gouvernement alloue à une certaine compagnie
de f. ldats choifis pour repréfenter , une Cimme
dont ils payent le .Sucre & les cannes à Sucre
que la loi du prince les oblige de manger par
jour.
33 Le but de cètte loi eft d’entretenir , par la
nourriture journalière du Suae , l'embonpoint
des foldats qui , approchait de plus près la per
fonne du roi, font deftuiés à la repréfentation &
à faire honneur à leur mmtrè par leur bonne mine:
en effet, ces foldus qui font au nombre de '500
environ, font dans un embonpoint admit able. - Ils
font réellement cngrailfés au Sucre.
» Les Cochinchinois engraiffent également leurs
animrux domeftiques, leurs chevaux , leurs buffles
& leurs éléphans avec la canne à Sucre. Ils
prétendent qu’au-une nour iture n’eft plus propre
à rétablir un animal épuifé «.
Nous conviendrons néanmoins que le Sucre pour
engratfter , doit être uni à d autres alimens dont il
façibte là digeliion & qu’il rend plus nourriflaos.
S’il faifoit le feul aliment d'un individu , il pourrai^
le nourrir & augmenter fes forces fans l’en-
graifler ; on conçoit même que fa propriété fondante
devroit produire l’effet contraire. Sous ce
feul rapport le Sucre doit amaigrir.
Mais fi le Sucre peut nuire dans une feule etreonf-
tance , on doit fe garder d’en redouter l ufage dans
toute autre.
On fait qu’en général les perfonnes livrées à la
boiffon du vin & des liqueurs fpiritueufes, mangent'
eft d’autant moins quelles boivent davantage. Il en
eft du S u c r e comme des liqueurs lpiritueüfes,. il peut
& doit produire le même effet , du; e manière
tno ns fenfible à la vérité , car il paroic qu’il ne
diff re de 1’efprit-de vin , qu’en ce que la matière
glutineufe & lè fel de Sucre entre en plus grande
proportion dans la corabinaifon de fes principes.
s u c , e n
offLreenst pdreo pbriiéetné sg ércahnadusf faanvtaenst &îg efos naduaxn tevsie diull Sarudcsr.e,
meOt ne nfa itm qouuev leam cehnat letuoru es ntnroesti enotr glaan veise. &O nq uefalliet aeunf îâàg eq u; 'oelrl eu nd iamliinmueen àt mqueif,u re:n qauueg mneonutsa natv laan çcohnas
lqeuueur,f ess ’upno ut r elnecso dreiv iafuexr &h ulmese urresn dérep apifliuess f&lu idveifs-, edfet fla'â'ngse d. oLutees l'vaileimilleanrdt sl eq upil ufso pnrté cuifeaugxe pdouu rS lu’hcirvee ,r fpiermuviteénst qduoin, ce ns ’agtétnenérdarle , àf ounnt ec avilileéiellse fplea r falan s pirné
faefnfacieb lidse , dinvee rfpeesu vheunmt epuarss todounjocu rlse s feo drgëabnaerrsa ftfreorp. tOesn &c ofonnvdieanndtersa cdfao nScu cqreu er elensd epnrot pfroiént éus fégceh aiunfffianniment
précieux & fai ut aire dans la vieillefle. '
fa Lt eq ufuec rle’h eofmt ,m fea nasi tc roençtur eddei tl,a lNe aptluurse g; raqnud’i lb si’eant
aenu tache xp rcohfiitreurr.donc g iCen’es à en ft connoître particulièrement tous les aux avantages médecins & &à rience ferve de bàa féet udier fes s'établir la, confiaàn cleeu drsu jupgueb effets mliecn. s ; Q, que ufaer llë’faqdumelîs-l’expédoit
nqiui’lo rna tiodno ifte tpernêttee rà dfaainrse lleess efhfôaipsi t,a uqxu ’,o nd apnesu tl eê«s fcaagmesp s p, ouàr laa umgmeer,n t&er qleus’e lcluel tpurreensn àe fduecsr en f,e fpuoruesr prelunsd rea vlaens tamg ouyxe n,s dtaen tl,e dapnrsé plaerse r Cpolulos niAesm pqlues’e n, Fderannrécee ,, aefti n dd’een fraeinred rde iml'uinlaugeer plelu sp rgiéxn édrael pcaer mtei le peuple.
Si les moyens de fabriquer le Sucre que nous
avons établis fe propagent , les Sucres bruts feront
affez purs pour ctre confammés , dans le plus grand
nombre des üfages économiques, fans être raffinés,
& leur prix alors feroit affez médiocre pour que le
peuple pût s’en permettre 1 ufagç. La faveur balfa-
mique qu’ils portent, ajouteroit encore pour beaucoup
de perfonnes , un nouveau prix à leur faveur
douce et fucrée.
desF uini tflé er êlats n laesti opn'u sd acnhse rlse moment où elle s’occupe péritc, Confidérer les avaàn tfaagne bs oqnuhee ulur i& o fàf rfean pt rloefs- fCaoitl olneise sd àé lifcuecsr e dde antos uus nfee sp raoldimucetniosn ,d o&n t dl'ounfti alea pcourlttauntec e& p oluer clao mcomuefrocme nfioantito dne dlua pfluupse rgfrlaun ddee ifmes
denrées !
Sur les moyens de faire une liqueur vineufe avec
le fuc exprimé de . la canne fucrée 3 par M. Dutrône.
moAdpifriècsa tiaovnosi rd ufu civoir psd amnus qulae uxc ajnufnqeu ’alue sp lduisv ehrafeust degré d’élaboration qu’il femble pouvoir atteindre j