
•;a8 S E R
V is à tété ronde. C ’eft une vis , ç’eft-à-dire, un
cylindre environné d’une cannelure qui eft tourné
dans un écrou , & qui fert à attacher une ferrure,
un verrou , &c. Il y a deux fortes de vis de cette
efpèce, des vis â tête quarrée, dont les grandes
fervent à attacher les ferrures, & dont la tête
entre de fon épaiffeur dans le bois , & des vis a
tête perdue, dont la tête n’excède point le parement
de ce qu'elle attache ou retient.
V it r a il , châffis de fer avec des croifillons auffi
en fer, qui reçoit des panneaux de verre montés en
plomb«
S E R
On ne s'en fert guere que dans les églifes k U
bafiliques.
On dit au pluriel des vitraux.
V it r a u. Quelques auteurs emploient ce mot
dans le 'même lens que .le précédent; mais il vaut
mieux dire vitrail.
V r i l l e , petit infiniment qu’on mène avec la
main , & qui fert à percer des trous dans du
bois.
Les ferreurs en font quelquefois ufage.
SERVICES
S E R V I C E S A U P R È S D E S M A L A D E S -
( Art
IL nous foit permis de placer utiies admis dans ce diéHonnaiie, caeulu ria dnegs fdeersv iacretss rgealradteif sm aaulxa dme,a l-ades, ou l’art de l’i; firmieç. & de la
fàiLre mobejnett ddoens t diél teafitl si,c id eqsu etfatbiolne a,u exn, trdaeîsn earvai sn,c cdeefs- térxapirree fiàio nlas mdcelmicea tqeuffee n odues fneorsi olnesâ ecuorusp a, b&le sq udee flo'huuf-- I dmoaitn iltees ffoauirfef-raenxteeu fae rd.roit de. réclamer comme elle
rToIilt reim 1 peotérnted nneo dne- fle’aurlte amueqnute l ài ll o’ionnfiframcriee rf eds ev eiclolens- h&ofmesm pee dinee nse; pmasa iisg niol reerf tl easu ffefir vtircèess- eqfule’inl tipeilu àt etoxuit
gdee rf o, no lui td ud em dooiunsle eufrp.érer de ceux qu'on m ,t auprès
pjeLp’oinféf iàrm lai egra redfet &e maup lfooyuél agdeamnse nlte sd ehs ômpailtaaduexs,. I&l pefatr mdain sl el epsç yhpôlpei taux & maâfbns de chauté, ce que ploi eft aufll impoorrt annot vpoomuçrf al’rhdue-m.mma/itaédqeu„ eC le’te-xemer*
pcaicse eegna leemft ebnat s p&ro prréeps u, g&na nlet:s tao.uims ifnuijfettrsa tenu’yrs fodn st chhoapni-taeu, xf,è droeinvdernet daifufticainlet sp afur rz lèel ec hqouiex pdaer cmelolxti fq duei sv eyn td elfat nveien td, epsu ifmquaela dfees l.e uUrsn foiinnfsi rdmé peern ddeonitt fêotrue- pjeast imenatl a,d èms^o, dpériéév, enciorm lepuartsd abnetf ;ô iinls , do&it fyçpopno'orlteerr leurs impatiences.
proOrenfl doaipi peefltl ed eg agradred-mera la&d ed- e dfeos igfseemr mleess mdoan'atd elas f„lea;nss. :1 f^i sm’eanif ofnasu tp «aJret ibceualuiècroeusp oqitu ee lcleest, éfotantt oaoplpceu-r lQit indifférent pour la fociété.
exEpénr ieefnLcte^ cdeasn sf emlems ecs asp adr el emura lhadabieistu def on&t pleimur ■ pmrotepl leisg èqnutee st,o uptleuss auatdrreosi tpeesi, fo8rcm eisn finiment plus ioulager les befoins des malades qàu ip rléevuern ifro n&t lcoonntftiieosn s: eqlulees leres.q jipnlfiiiTrme-i’etr sa uopur.èins fdir’meuixèr eles sd amnês mleess hôpitaux.
lecNouoruaWs fri.a pdpoonrt teilr oenfts lpooi.u tqvu elf’itniotenl h, gfeesn ceex. cdelel enfoterst oblervations que M l Sera in a infère* dsmis la
Aris 8i Métiers. Tome VU.
des )
Bib. Econom. année îjg b . Nous ne pourrions
choilir pour 1 interet des malades, un "guide plus
éclairé, ni adopter une dodrine plus inftru&ive.
plus lage., & plus confolantei
I. Qualités néceffaires aux Gardes-malades.
Les pe fonnes qui fe deftinent aux fo:ns des malades
, doivent être d’une bonne conftitut:on afin
de pouvoir refîftcr aux fa igues inféparables é& mt
état. Il faut qu’clfes aient beaucoup de douceur
dans les paroles & dans les adions; ee te qualité
n.e doit cependant point dégénérer en foibiefle,
iu conduire à aucune indulgence dans l’exécution
. er t0) ï|C6 1“ a“ ,a H preferit. Fermes fans être
ituenlibles , elles joindront l’adrelTe a Vint Urgence
la mémoire a ia bonne volonté, la d fer. tien à la
prévenance : il fa.u,t en outre qu'elles aiment la
propreté, qu’elles foient vigilantes & fabxes.
I I, Devoirs des Gardes-malades.
Se tenir près des malades, préven r leurs volontés
, lorfqu’elles ne leur feront pas nuiïïbles, les
aider dans leurs fondions, les chaug r d ns le
befotn, les tenir propres, les rouvrir ou les découvrir
a propos, exécuter ponfluellement les ordonnances
& les. çoitfe ls des médecins Sc des dii-
rurgens; ne pas fouffirir qu’on y fafli le moindre'
changement; tenir un état des éveremens bons
ou mauvais qui fiïrviendront pendant la maladie
ata de, pouvoir en rendre un àompteexaél; éloigner
les 'compagnies trop nombreufes fr les fréquentes
vifîtes ; "garder un fecret inviolable fur les
|çh°res qui 1 exigent ; ne parler que par néceflité ;
comme." les malades de temps en temps.,, fan, les
importuner ranimer leur efpérance en peu de mots
lorlquds parafent s'abandonner au chag in ; ré-
I lifter: avec fermeté à leurs délits ou à leu-s demandes,
lorfqu’e les pourroient leur êtie défavan-
tageu.es ; leur montrer avec douceur les dangers
auxque-s 0n les expofeioit en acquiefcant à leurs
lohciiations.
Voilà quelle défit être l’occupatin de- gardes ou
des, permîmes, qui en font les fondions. Les. détails
dans M M J* vais, entrer, leur apprendront de.
quelle manier* élites doivent fe conduire pour con-
c.o«ar au. retablifl'èment de la fan té.
Je croîs inutile de feu: prouver par c’es fa’.ts,
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