A l’égard des pentures , il bonne forme a leur tête, & l’ésq’augeîrtr adgee dcoonnnveern aubnlee aux ailes.
on Pporuenr du nu nv abiaflrereaauu d de ef ociixnaqn àt ef î&x pqouuacteosr zeen c qaunaornrés,, n&i elr’o pnl ufos uadifeé maue bnto.ut un ringard pour pouvoir le mareaLue
, cphuaius ffielu lre dtoirnen ed uu nfee ub,o n&n el ec hpaourdtee àfu cre lb'eanrclume.
poiAnçfionn dqeu i leef fp pelracte pr a,r ulne obuasv ri&er ropnôdle adue-fdluefsl uusn, eqmuim oaunvcrheé dda’nasb ournde lhea rtrt,o u&, ipl ufrias plp’ea rfruorn cdei tp opianrç olna ;. mpaarntider inr.onde du poinçon qui fait l’oflLe du
deuLxe etnrtoauil leést aanut xf adietu, xo nc ôtféasi t dauv etrco uu n: ee lltersa ndcohie
evternet éalvooigirn éuens' dpuo uctreo u& ddee mdeiu xd ep opurcoefso n; dceeus r,e n&
ltàa leieasn amflaièrrqeu eonut plaè nlaturgree.ur que doit avoir la tête de
on Olen rrèepmoertte l ea fle’re nacul ufmeue ;; o&n qleu apnodf ei lf uefrf ucnhea uddes, ffaecneds loeù blaer rteroauu eefnt pdeerucéx ,; e&n acvoemc muenneç.tarnatn càh el’ eonn
pdoroucite so ùd- el ’loonn gau efuari to lù’ eln’otna iclloeu pjuef lqeu ’bà arnreeuauf ,o &u ld’oinx fpoluusd ea uifné mreinngt.ard à la pièce pour pouvoir la manier
troPise nodua nqtu acter et rmavifaesil ,p odu’aru tcrheasr goeur vrliae rtsê tper!é poanr eennt ptropfiefî èumnee làe pdlraocitee f&ur ll’aa uttêrtee à: gial uecfht e radree ql’uoe’oiln ; elna mette fur lu plat.
deuQxu abnodn nleess , mchifaeusd efso n, t uanien fià pdlraociétee s,& oln’ audtornen eà gdeauuxc hpea,r tipeos,ur peifeâionner l’une après l’autre ces
troOp,n o ne marproornted iat vleac t:ltae ‘ tr&a nocnh ep laer e fecre tqteu ip aerftti ed e, prauniste -oqnu aatgrrea nàd q tu aler atnrtoeu-c ianvqe cli gunne sm daen dgrrions .de quaOn
emporte du fer, & on perfectionne le trou
aavveecc uunne tproanincçhoen quoin a flaai t fodrems et rodu’usn ed geonuvgirèo;n p ufîixs lriigenuer sd ud.e profondeur, tant autour que dans l’intés’attache
tmroiue,u xp oauur qfeure. le cuivre qu’on do:t y fondre
On remet la pièce au feu peur la parer, s’il en
peeftn di eafnot ionn, &l’ àlma otrêctee pd-oe url ar eecaenvaoCiri èlrees elfatt tfeisn.ie; ceLes
lattes qui doivent faire les branches , né.
viennent pas tou.es préparées des forges .1 pour
' qu’elles foient meilleures , on les fait dans le f
sports, foudant enfemble plufîeurs bandes de bon fet
plat de différentes longueurs mifes l’une fur l’autre,
formant un paquet quLdiminue d’épaiffeur à mefure
qu’il s’éloigne de la tête ou de l ’amorce qu’on a
faite à la tête.
L e paquet .de fer en lame étant bien arrêté paf
des cercles ou brides, on le met au feu , & on lut
donne une bonne chaude pour fouder les barres ,
d’abord au gros bout; on continue les chaudes poià
fouder les mêmes barres dans toute leur longueur
qui eft de quatre pieds & demi ou cinq pieds pouc
un vaifleau de foixante & quatorze canons.
A mefure qu’on donne les chaudes , on perce des.
trous de fîx en fîx pouces : ce que l’on continue
dans toute la longueur de la latte qu’on travaille.
Quand elles font bien corroyées & régulièrement
forg ées, on les foude aux amorces qu’on a faites &
la tête.
Les.ailes de la fête, doivent embrafler l’étambot,-
& le trou ou l’oeil de la eanaflière doit être,au milieu
de ces deux ailes.
L’ingénieur-conftruâeur fait donner aux forges uri
gabari ou modèle qui indique précifément la forme
que e s pentures doivent avoir : c’eft. pourquoi le
forgeron , pour s’y confirmer exadement , fa it,
aù milieu du trou de fa eanaflière , une marque avec
une tranche ; puis prerant avec un cofnpas fur le
gabari la d fiance de ce trou à l ’extrémité des,a les ;
il porte, cette ouverture de compas fur le fer; &
il marque de ('eux coups de tranche la longueur
des. ailes, ainfi que l’endroit où il. doit faire les
plis.
Pour former ceî p'is, on a ajufté-un fort étrier, au
bord d’une grofle enclume qui eft pofée à terre : cefi
étrier doit excéder de trois pouces., la table.de
Penclume.
On-donne une bonne chaude à l’endroit où doit"
être le. pli , 011 pafle promptement la branche du
gond jufqu’au pli dans cet étrier; & en relevant
la latte à force de bras , o» lui fait prendre la forme
d’une équerre ; on en fait autant a l'autre latte: àlôrs-
la eanaflière a la forme dun grand étrier, dont les
branches font plus ou moins ouvertes, fuivant .l’endroit
où elles doivent être placées.
On prélènte les pièces fur le gabari, pour que
les branches aient précifément l’ouver ure que
J’in-gén: eur -conftr u<fteur defire : on finit par-les pa->
fer, & oii les porte-à la fonderie pour garnir i ’eeiL
de cuivre fondu.
Après avoir expliqué comment on forge les ca-
naffières ou pentures qui fonRattachées au corps
du v a i f le a u i l faut donner la façon, de forger
i es gonds ou crocs qui s’attachent fur le gouvernail
.même.
, On*choifît pour cela'une barre d’excellent.fer; J
fond, de trente-fîx lignes de.diamètre pour un vaif- ;
feâii de foixante & quatorze pièces de canons. J
' Elle a été forgée en paquet, l’ayant bien fait
refluer dans l’étendue de dix-huit pouces de longueur
qu’elle doit avoiri
Api es avoir leroulé un bout pour augmenter'fà
groflèu'-, on remet cette pièce a i feu , & on !a
porte fur l’enclume pour l’amorcer; on l’applatitfur
deux côtés oppofés , faiïant prendre à l’amorce la
figure d’une queue d’aronde large d’environ cinq
pouces, & on laine le milieu de l ’amorce de même
épaifleur que le diamètre du fer, pour recevoir les
Tattes. ' j
. Cependant, pour fortifier l’amorce parunemife,
on chauffe, à un autie f u un morceau de fer plat
d’environ un pied de lo n g , de quatre pouces de ;
large, & de huit à neuf lignes d'épaüïeur.
Pendant que ce'te barre chauffe , on donne aufli
une chaude au croc > & aya: t tranfporté les deux
pièces fur l’enclume, on les foude 3 de foi te qu’elles
n’en font plus qu’une.
Tandis que des forgerons préparent deux lattes ,
comme il a é,é dit en pariant des pentures , on
chauffe ‘blanc la tête des gonds qu’on vient, de.
forger, & à grands coups de marteau oh faifr*prendre
à cette partie la figure: de l ’épaiffeur du gouvernail.
On marque avec une tranche l’ouverture qui eft
indiquée par le gabari ; alors on foude les lattes
qui forment les bras , ayant foin que les lartes
puiflent s’appliquer exadement fur les deux faces
du gouvernail, où on les attache folideme..t avec
des clous JSt chevilles.
Ferrures des bouts de^vergues.
Lorfqu’ il ÿ a peu de vent, on alonge les vergues,
au moyen de ce qu’on nomme des borne-dehors qui
portènt de'petites voiles pour augmenter la largeur
des grandes. , ,
■ O r , il faut que ees boure-dehors puiffent fe ramener
le long de la v.ergue , lorfquon ne veut
point faire ufage de ces voiles fui numéraires , &
être pouffes en - dehors , lorfqu’on veut en faire
ufage.
Pour cela on fait entrer la vergue dans un anneau ,
qui embrafie la vergue , & doit être placé entre
le quart & le tiers de la moitié de fa longueur.
A ce grand anneau en eft foùdé un autre petit,
dans lequel paffe le boiy:e-deho s.
Il ne feroit point afîujetti folidement, s’il n’étoit ;
arreté que par ce: anneau ; mais on met nu bout '
de la vergue une pareille ferrure. Le bout de la
vergue entre dans un des anneaux, & le boute-de-t
hors dans l ’autre.
On conçoit que le boute-dehors qui pafle dans
les deux, anneaux, a -la liberté d’etre poité cn-
dehors & retiré en-dedans du vaifleau, étant toujours
affujetti folidemenc.
Ces feri ures fë nomment cercles de bouts de vergues s
& le grand anneau eft ordinairement à charnière.
Les ferrures que nous venons de décrire fe nom-$
ment a la française,
Celles qu’on appelle d Vanglaise font un pefl
différentes.
Le grand cercle à charnière, qui embrafie Pa
vergue , 11e diffère point de celui à la frança'ife, &
il le place au même endroit ; mais pour que le'
boute dehors foit plus aifément porté en-dehors ou
en-dedan.s du vaifleau, on ajoute au petit cercle
qui doit recevoir le boute-dthors, un rouleau fur
lequel repofe le boute-dehors. A l’égard de la ferrure
de bouts, de vergues , au lieu de l’anneau, on
1 fair une lardoire, qui embralfe par fe- branches le
• bout de la vergue , & qui au moyen d’une barre cou-
1 dée, porte le cercle qui a le rouleau, fur lequel
repofe le boute-dehors.
On place encore en arrière du vaifleau un chan-i
délier qui porte un bout--dehors pour la voile qu’on
nomme Jappe-cul, ' ' ' ' .
Maintenant qu’on a une idée de ces ferrures 8i
de leur ufage , il faut dire quelque chofe de la façon
de les travailler.
Pour faire là ferrure de bouts de vergues à l’an-'
glfife , ■ en prend , pour un vaifleau de foixante
& quatorze canons, quatre 1 ms de'rroL pieds de
Longueur, d; deux pou es & demi de largeur au
col et, & de fepr lignes d’-épaiflem ; on fait à;
chacune un coudé- au grós bout, pour que les
branches s’ouvrent comme une lardohe, & qu’elles
puiiient embrafler le bout de la vergue ainfi ees
coudes doivent être d’autant plus grands que la
vergue eft plus grofle:
On foude les quatre lattes enfemble, & oriamorce
ces iafes réunies.
On amorce a un aut' e feu une barre de fer quar-
rée ou ronde, pour la fouder aux quatre lattes réunies.
On prépare le.cercle Y , qui porte le bout d’un
barreau, & ayant amorcé .deux autres barreaux , 011
les foude de forte que 1 s d'ux fafient un retour
d’tquerre ; .enfin on a;ufte au cercle en rou!eau,
fur lequel, doit porter le_ boute- dehors, & la ferrure
eft en ;.tat d’êt-e ajuftée au.bout de la vergue,
& aflujettie par des cl. us & des viroles.
Les cercles de boucs de vergues à la françaife
font beaucoup 'plus ilmples ; iis confident en deux