
fent, fe meurent horifontalement mouvement eft vertical, & le plu: si lf îym epnl ea ddoen tto ules peoftr tecse lucio cqhue’roens ;m ceet tvoeirtr oaun cnie’enfnt eqmu’eunnt garous bbaasr redaeus qdue’ ifle re nqturaer rmé i,e tuaxil ldéa nens lcah agnâfcrheien. par en-bas, pour
quO'iln nefo ufodret e adue s mcirlaimeup ounns qtaulio nle proeutire nenmenptê.cher
ferOt nà la'ajurfrtêet eern à- huanu tc ruonceh ebto puoculer loeu t eunni r aonunveearut .qui
verCsee nvt elrer oub atgtalinflte, ded anlas pdeosr tceraqmupaonns dq uoin trla’a
dpéocidrso c; hoén, ai lf ariett odme bcees 8vc efrero ufexr mqeu i péatro ifeonnt parjuofptrées fur une platine.
enEconrfei nf,a itp oduers vfeerrrmouexr àl eq uheauue.tv des portes, on a
croNifoéeuss. en parlerons en détail iorfqu’il s’agira des
Des croifées anciennes.
ou Amnecnieenanue,m aeun tm oilni elua iidïeosi t buanie sm doenst acnrto difoérems,a n&t iomn ploesr tetr,a vdeer ffooirtt ea u qmueil ielua dbea iele uért ohiat utdeiuvri fpéaer puanr uvnerer ec réotioxi ednot rmararnatfeé ;s , à &ce sl esc rovioféleetss , étloeise ncth âàf ïirse à
cdouu vbraesm, eéntto i;e lnets fcehrmâféïiss àp avre rdrees, ttaanrgt edttue sh aquuti qeune
jtaromieanist ldeas ncsh âdfeïsis gâches, & on n’ouvroit prefque bas étoient fermés àp avr erdrees dtaur gheattuets ;d olnest lveo lveetsr roduu veonittr ofiet ddaifnpse nufner cdr’aomupvorinr ;l es& vqouleatns dd ’oenn -hnaeu tp oquu-i lé’tooni eyn at vtoriotp e mélpevloéys é pdoeus rt aqrug’eotnte sp ,û t olne sfa iofouivt ruirf a,g feî des loqueteaux.
Changemens quon a faits aux croifées , &* qui ont
engagé a faire d.es verroux à reffort.
parPteieu dà’e np-ebua so nd esa cérloeivféee sl ’ipmlupso rgter apnoduer qfuaei rcee lllae tda’regne-thtaeus t q;u ai loértso ieonnt neen -phoauuvt odite pcluestt ea tpteairnt:der ;e ca’uerxt cqeu euqeu.i a fait imaginer les verroux à reffort & à
craLmep ovnesr rocuo mermt ere tleen uv efrurro uu ndee sp ltaatrigneet tepsa 5r dmeauisx, fcoonm pmroep rcee pvoeidrrso ul’ aeufrto dita nfas itu dneef epeonfdîrtieo n& voeurvtircira ldee, lmuie-tm eênmtree ,l ef iv pearrro lue &f rlao*t tpelmateinnte ,d o’nu nn ’arev foTiotr tp aqsu-f’aoint im obftacle à fa defeente.
On fixe fur les côtés du verrou deux petits
oreillons qui fervent à limiter fa courfe entre les
deux crampons j ces verroux ferment dans un crampon
qu’on met av-deffus de la croifée fur l’importe a
& ils fe ferment fur le montant de la croifée.
Il eft fenfible qu’en allongeant la queue de ces
verroux , le bouton fe trouvo t à portée d’être faifî
de Ja main; & pour maintenir toujours cette longue
queue dans une même fîtuation, on ,1’entretenoit en
différens endroits par de petits crampons qui fai-i
foient l ’office de condinfteyir»
On a fait encore un grand ufage de ces verroux à
reffort pour fermer les armoires ; le verrou qui
fermoît le haut avoit une longue queue, & celui
du bas en avoit une affez courte.
On a toujours faic le bout des verroux en chanfrein,
afin , que fi le bois fe dejetoi.t, la pointe du
verrou prenant dans le ©tampon , on pût, en forçant
un peu, obliger le bois de revenir dans fon
joint.
Afin de rendre le chanfrein plus confidérable, on
a fait des verroux très-étroits & fort épais ; mais il
falloit que le battant fe fût peu déjeté pour que ce
moyen le fit revenir. /
Il en a été à peu près de même des verroux qui
portoient â leur extrémité un crochet, & qui fe
fermoit en tirant le bouton en-bas : l’avantage qu’on
fe procuroit, fe réduifoit à ce qu’on a plus de force
en tirant le bouton en-bas qu’en le relevant, mais
quand la croifée étoit affez déjetée pour que le
crochet ne prît point dans le crampon, elle bâilîoit
toujours par le haut.
La forme des croifées a encore changé j & au
lieu de les arrafer dans le montant ou le meneau du
milieu, on les a faites à recouvrement ou à noix;
dans l ’un & l ’autre cas, un battant s’appuyant fur
l’autre, & n’y ayant plus de meneau dormant, il
fuffifoit d’arrêter le vantail qui s’appliquoit fur
l’autre, pour que les deux le fuifent ainfî avec
deux verroux à reffort attachés fur le vantail qui
recouvroit l’autre : les deux étoient fermés, le verrou
d’en-bas entroit dans une gâche qui étoit fur l’appui
de la fenêtre, & celui d’en-haut dans un crampon.
Il a enfuite paru plus commode de n’avoir à porter
la main que fur un bouton , pour ouvrir ou fermer
une porte d’appartement ; une croifée , une
armoire.
Deux verroux liés par une barre de fer nommée
crémone.
La plus fîmple manière de produire cet efFet étoit
de joindre le verrou d’en-haut avec le verrou d’en-
bas par une verge de fer, ou de faire que les queues
des deux verroux fe joignifïèni, & qu’elles fartent
foudées' l’une à l’autre, en faifànt le verrou d’en-
bas comme les autres verroux à refïort, & le verrou
d’enhaut-
’d’en-haut à crochet, & en mettant à là hauteur
de la main un bouton ou une main.
Il eft clair que Iorfque l’on abaiffoit la main,
les deux verroux fe fermoient, & qu’en pourtant
en-hàut la même main les deux verroux s’ou-
vroîent, parce qu’au moyen du crochet, les deux
verroux fè fermoient en baillant, 8c ils s’ouvroient
en montant.
On faifoit la main à charnière , afin qu’elle
s’accrochât point lorfqu’on paffoit par les portes.
Cés verroux qu’on a nommé crémones, ne font
plus guère d'ufage, excepté pour les portes des
buffets fort élevés. On ltur a préféré les Espagnolettes,
fortes de ferrures très-commodes,
qui ont été, malgré leur dénomination imaginées
par les fetruriers de Paris.
Des efpagnolettes a bafcule,
Qu’on fe reprefente les queues de deux verroux
$ refïort avec un levier qui a fon point d'appui
dans l’endroit où eft un tourillon , fur lequel il
tourne.
■ Ce tourillon eft fermement attaché à une platine
arrêtée par des vis au montant de la croifée
ou de la porte.
L ’extrémité d’un de ces verroux eft attachée
au levier, & le bout de l’autre verrou çft auffi
attaché à ce même levier.
Ces attaches font des goupilles' rondes qui ont
liberté de tourner dans les trous qui font l’extrémité
des verroux.
Il y a un bouton, & on fait le levier allez long
pour que celui qui ferme la croifée puiffe vaincre
la réfîftance que les verroux éprouvent pour entrer
dans leurs gâches.
Ces efpagnolettes à bafeuies font.fort bonnes,
fur-tout depuis qu’on a beaucoup diminué le balancement
des queues des verroux , occafîoniié par le
levier.
Voici comme on y eft parvenu: d’abord les
queues des verroux n’etoient point coudées; elles
aliment s’inclinant un peu de côté & d’autre : ce
qui prodnifoit un grand balancement qu’on a évité
en partie, en faifant à l ’extrémité des queues des
Verroux les coudes arrondis.
Maintenant on poix fur une platine une rondelle
de fer retenue par le tourillon qui lui permet de tourner
quand on appuie fur la queue qu’on fait afi’ez
longue , & qui*emporte avec elle la rondelle : à la
circonférence de çetre même rondelle font ai tachés
par deux goupilles rivées les bnurs,enforte que. quand
ou havilfe pu quand 011 baiffe le levier pour fai; e, tourner
la rondelle, les deux verroux montent ou def-
4 us $ Métiers. Tom. V I I ,
cendent en même temps; le balancement des verroux
eft moindre qu’il n’étoit d’abord, à caufe du
coude.de la queue des verroux.
On recouvre ordinairement ces bafeuies par un©
efpèce de palâtre qui les rend fort propres.
Des efpagnolettes à pignon .
On eft encore parvenu à faire que les coudes
des verroux ne balancent point du tout, par un
moyen fo>t ingénieux & commode, qui eft connu
fous le nom d'efpagnoUtte a pignon*
On place , au .milieu de la platine, un pignon
ou^ une petite roue dentée qui tourne fur un axe
qui traverfè la platine, aînfi que la couverture ou
le palâtre qui recouvre tout cet engrenage.
Le bout des deux verroux eft coudé à angle
droit, 8c chacun porte un rateauqui engraine dans
la roue dentée placée au centre de la platine.
Quand on haulfe le bouton ou la poignée, oit
élève le verrou, mais en même tems on éleve auffi
le rateau de ce verrou qui engraine dans le pignon
, lequel engrainant dans le rateau du verroux,
fait defeendre ce verrou de la même quantité
que l ’autre s’élève : ce qui rend tiès-fenfible
le jeu des deux verroux, tant pour ouvrir que
pour fermer la porte ou la croifée.
Pour empêcher que les rateaux ne s’écarrent
du pignon , on a pratiqué fur chaque pièce une
ouverture longue , dans laquelle il y a des conducteurs
ou petites chevilles qui font rivées fur la
platine.
On met de dîftance à autre le long des queues
des verroux, des condu&eurs, & 011 couvre - tout
l ’engrenage d’un palâtre qui rend ces efpagnolettes
fort propres.
Toutes ces efpagnolettes ont cet avantage, que les
queues de verroux fe prolongeant fur toute la longueur
des battans; elles les empêchent un peu de
fè voiler ; mais elles n’ont pas celui de les faire
revenir à leur place quand ils le font : c’eft ce qui
â fait donner la préférence aux efpagnolettes dont
nous allons parler ; mais auparavant il eft bon de
faire remarquer qu’on eft parvenu à tenir Jes volets
f-rmés par les mêmes efpagnolettes à verrou
que nous venons de décrire.
Le moyen eft bien fîmple, an mettoit fur la
queue des verreux un panneton qui, quand le verroux
s’tlevoit ou s’abaiftoit, porto it fur un autre
panneton attaché au volet; & quand on changeoit le
verrou de fîtuation, comme les de;:x pann. tons 11e
fe recouvroîe’it plus, on pouvoit ouvrir :es volets
fans ouvrir les chaffis à verre : il eft vr-i que la
rencontre de ces deux pannetons exrgeoit de la
précifîon , & qu’ils étoient expofés à fè dé*»
traquer,
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