fendues, d’environ fîx lignes d’épaifïeur pouces de longueur, terminées à chafquur ed ixe-xhtruéit
cmipitréo qpuare mune nctr,o &ch efto. rCmeesn ct roucnhee tsc hsa’eînmeb. rLaes emnta çroénr pmoifneé ec.ette chaîne en devant lç tuyau de la cheles
Ocnh ememinpéleosi e dlea bférciqouned;é ilesf pfèocnet dde’ ufnan tfoenrs pdlaants, dqu’ein vvairroien dféeluoxn ploeusc deism deen flîaorngse d, e& la d cuhneem ilnoéneg.u Ceeusr , mcuonrec edaeu xle duer sf eerx ptrléamt fioténst f,e ndd’eunsv fiurornie fpîxl apt opuacre cs hdae
flounr gl.e uOr np lacto, uld’eu nlee sd ep ac•teisc sp afretniedsu ees ne-nd eiéïquuse,r r&e f1o arumtreen te nu-ndee felfopuèsc;é ednefo rTte : qoune lceess epxaprotifees dcaonusd éleess dpailTèurs du tuyau de cheminée.
de Cleat tec hfeemrruinréee c. oInlt ieenftt , élvieid e&nt fqourteif ilee lteusy apua rfteieras tda’gauet afnutr pflau sl ofnogliudeeu,r .qu’on les-multipliera davanFauchet
, petite faulx à l’ufage des gens de la
campagne , qui^ s’en fervent pour couper de 1 herbe
pour leurs beftiaux.
FaucillON , terme de ferrurier ; c’elï la moitié .dfeer rular ep.leine-croix qui fe pofe fur les rouets d’une
limOesn qudio nfenrev eenntc oàr eé vildee rm lêems ep annoemto nsa udxe s pcelettfes s, aduesx dene dlrao itfse roruùr ei.l le faut pour le paflage des garF
e r c’eft un métal dur à fondre , mais duâile; Y>n en tire d’Allemagne, de Suède & d'Efpagne : lceesl lems indees llae sC hplaums paabgonned ,a ndtees du royaume font Bourgogne. La Normandie, lel aM -Laoinrera, ilnee ,B edrerylà, ilieH TNènivt ebrenaouicso,u pla. LNeasv faerrrse ’l,e s& plleu Bs édaornu x, en four- d’Allemagne & de Suède ; ceux d’Efpafgonnet cfeounxt Ndoourxm, amndaiies ffuojnett sa ’àg reêst r;e cerouuxv edrea iCnhs a;m lpeasg nfeer s& ddee
dBeo udroguoxg neen tnree fcoenutx p adse mReoilclheeu r6sc :d em Vaiisb rial yy ; ceenu xa vdeer nMoios ndtme idroaiulx f o&nt ddeo ufxer ;m iel s y; leens am edialnlesu rlse fNonit
ceux de Berry.
de Fteôrl e aq ur oonu eat c, ouonp é n&om mpreé paarién fîp ouunr fmaiorrec euaun rouet dans la garniture d’une ferrure.
ouvFeerrtumreest udraenss , leenf qtueermllees dee nfetrrerunrt ie-rl e; sc ,e afuonbrt olness 1 faounxt ffaeirtreusr efsu r alpap etlêlétee s dufe rpruarîetsr e.e ni l boernd e: fte lldees if
même des ouvertures faites au palâtre des ferrures
a aubronier & en bofle, dans lefquelles entrent les
aubrons des aubroniers.
Fermeture, eft la même chofe que pêne; & lorfque
I on dit une ferrure à une , deux ®u trois, &c. fermetures,
ondéfîgne une ferrure à un, deux ou trois
pênes.
FerSïeture du C oq ou de la Coque , ( ferru-
rerie Vc’eft la partie où l’aubron entre dans le coq,
lorfqu’il eft ouvert ; & où il fe trouve retenu , lorfque
le coq eft fermé. C’eft la même chofe pour les
ferrures en boffes.
Fermoir, c’eft un cifeau qui a deux bifeaux.
II a différ entes formes. Les ouvriers en bois,
comme les menuifîers, les ébéniftes, les fculpteurs,
les charpentiers, les' charrons, font ceux qui s’en
férvent le plus. Pour faire cet ©util, le forgeron
prend une barre de fer , la plie en deux , met une
acérure entre deux , corroie le tout enfemble, &
enlève le fermoir. La partie qui n’eft point acérée,
forme la tige & l’embafe: la tige eft la pointe qui
entre dans le manche de bois : i’embafë eft cette
fai lie qui arrête le manche., & qui empêche que
la tige ne dépare plus ou moins. Le fermoir , en
cette partie , eft femblable au cifeau de me-
! nuifier.
1 Ferraille ; on nomme ainfî des bouts de fer
neufs ou vieux, dont on fait des pâtés pour les
mettre en maffes.
Ferrer , c’eft pofer toutes les pièces de fer dont
les ouvragés, tant en bois que d’une autre matière,
excepté le fer, doivent être garnis. Quand on dit
ferrerune porté de bois de pièces de fer, ce mot
enferme les fiches, verrouils, pentures, ferrures,
bouton, &c. dont elle doit'êt e garnie. Il en eft
de même d’une croifée ; la ferrer, e’eft ! a garnir
defes fiches, elpagnolettes, &c.
Ferreurs, ouvriers qui pofent les ferrures fur
les portes, les battans d’armoires, les croifées, &c.
Leur travail fait partie de l ’art du ferrurier.
Fers de V arlope, de demi-Varlope, V arlope
a onglet , & de Rabot : ils ont tous la
même forme, & le font de même; ils ne different
que fur la largeur : ils font à un bifeau , comme
les cifeaux du menùifîer. Pour les f a i r e , l ’ouvrier
prend une barre fer, la corroie, enlève un fer
de varlope ou autre ; enfuite il place l’acérure à la
pièce enlevée , il corroie les deux enfemble ; il répare
& forme le bifeâu, de forte que l ’acier foit du
côté qui forme le tranchant.
Feuille d’Eâu , ( ferrurerie ) c’eft une pièce
d’oinçment qui fis place fur les rouleaux ou dedaas*
aux grands ouvrages de ferrurerie ; ( par grands ouvrages,
on entend les balcons, les grilles ornées,
&c.) Cette forte de feuille eft la plus fimple
dans tout l’ornement. Pour la faire , le forgeoa
étire du fer de la largeur & longueur convenables,
& lorfqu’il a une épaifteur plus forte que celle de
la tôle dont on fe fêrt pour les autres ornemens,
il l’emboutit dans un talleau avec un poinçon qui
forme la contre-partie ; de g forte que le bout de la
feuille qui eft renverfé, paroît avoir une côte pai-
deffous : le refte de la feuille eil concave, Sc les
côtes ont une arrête.
La feuille de palmier fe découpe comme les
autres ornemens , & fe fait avec la tôle de fer
battu , fuivant la grandeur & la force que doit
avoir la branche.
La feuille de laurier fê fait comme les précédentes.
- : ' - ;
La feuille de revers , eft un ornement qui fe
met fur les rouleaux, félon que le delfein courant
le requiert ; elle fe* fait & fe relève comme
dans les autres ouvrages d’ornemens.
Feuille de ressort ; c’eft une des lames
forment un coin du reffôrt.
qui
Ficheron , cheville de fer quarrée & endentée,
dont la tête eft perçée d’un trou, & quife termine
quelquefois en pointe. On s’en fert aux affûts.
Fiches , ce font des efpèces de charnières ou de
gonds qui portent un aileron qu’on enfonce dans
le . bvois comme un tenon. C ’eft cette partie qui
caradérife la fiche.
FrcHE a br oche , c’eft une efpèce de gond qu’on
applique aux volets , & donc tous les. charnons
font enfiles par une feule & même broche.
Fiche a v a s e , ce font des efpèces de charnières
qui ne font compofées' que de deux char-
nons, & qui font terminées haut & bas par de
petits ornemens faits en forme de vafe. \
La fiche de brifure eft une fiche à noeuds, qu’on
ferre aux guichets des croifées & autres ouvrages
fcmblables, brifés en plufieurs parties.
La fiche à chapelet, diffère de la fiche à noeuds,
€n ce que chaque noeud eft féparé , & qu’ils font
tous enfilés par le moyen d’un mammelon ou d’une
broche ; de ces noeuds l ’un tourne à droite & l ’autre
a gauche : cé qui fait qu’il y a entre les noeuds
la hauteur d’un noeud de vide de chaque côté.
La fiche.de porte cochère eft compofée d’un fêul
noeud , qui a de la hauteur à proportion de la
force de la porte; & pour gond, un gond à repos
umple ou double, félon tque le cas le requiert.
Cette forfe de fiche & de gond eft d’ulage pour les
grofles portes d’allées , auxquelles on ne met point
de penture.
La fiche à noeuds eft une efpèce de fiche faite
comme une charnière, à travers des noeuds de laquelle
paffe une brofle ; ou , en termes propres de
l’a rt, un mammelon , qui fait la fou dion d’ une goupille
dans la charnière.
Fil d’archal , c’eft du fer tiré par les trous des
filières.
Filet, ( ferrurerie ) eft un ornement qui s’exécute
au bout d’un bouton , & qui eft la meme chofe
que ce qu’on appelle en architedure congé.
Il fe dit aufïi du pas de là vis qui eft cave ou
tranchant; c’eft ce qui fait qu’on d it , une vis k
doublé, trible filet ou pas.
JFiliere, eft un outil qui fert aux ferrurier! ,
taillandiers , horlogers , orfèvres, & à toutes fortes
d’ouvriers qui font obl'gés de faire des vis pour
monter leurs ouvrages. Il y a des filières de differentes
façons, de doubles , de fimples.
La filière double eft celle qui eft compofée de
differentes pièces à vis, à charnière , &c.
Filière fimple; c’eft une pièce de fer p lat, acérée
dans le milieu , où font plufieurs trous taraudés
pour faire les vis. Cette forte de fiüère fait les vis
du premier coup; au lieu que les doubles ne les'
font qu’a plufieurs reprifes.
Fléau , ( ferrurerie ) eft la fermeture ordinaire
d’une grande porte cochère. Il eft compofé de plufieurs
pièces ; favoir : une barre de fer quarrée 4
longue environ de cinq pieds, en pince par les
extrémités, avec un oeil percé au milieu, pour
paffer le boulon qui tient fur un des battans de la
porte., À fîx pouces des bouts font deux main*
poufTévS fur les venteaux de la porte, dans lefquelles
il fe ferme : celle qui eft pofée au vemeau dit
guichet, fait venir en-dedans le bout du fléau; 8C
celle qui eft à l ’autre bout, eft placée par-deffus ,
de forte que le bout de la main regarde le pavé
dans laquelle l'autre bout du fléau va fe fermer*
A l'extrémité du fléau on a ouvert un trou, dans
lequel eft un lafferet tournant où eft la tige de
l’aubronier, qui s’arrête dans la ferrure qui fert à
fermer le fléau.
Fleuron ,*eft une pièce d’ornement qui fe met
dans les ouvrages de ferrurerie, aux grilles, balcons.
& autres ouvrages femblables.
F o l i o t , c’eft la partie du refTort qui pouffe l e
demi-tour dans les ferrures à tour & demi ou autre.
Le foliot eft monté fur une broche quarrée qui
paffe à travers le-palâtre & la çouvetture de la ferrure
, & aux extrémités duquel font des boutons
pour ouvrir dehors & dedans
6 s s