
Le milieu de chaque main eftforgé & le fer eft p'us large qu’épais. prefque droit,
fie Lteersm idneeunxt pbaoru tdse sd ec ocnetottuer s peanr taiêr cp, rdeofqi ut el ’udnro ietfet cpnar-tdiee flquusi, e&ft ld’aruoiirtee . en-defibus par rapport à la
l’aDutereu x, fpoinèct etse nueenst iàè ruenme endtif tafteimceb lla’ubnlees del’ ul’naeu treà qunua tpreeu bopululos ngs r;a nudne dqeu cee sl ab oluarlognesu re fdt ua rrrêetfél ocrot nptarer uefnt dàe s la’onrgilgeisn ed du’ ufnoen dd edsu pcaarrtireosf lec ;o nct’eofutr cneéleusi ; qu&i ccaeitftfee .partie contournée defeend en-deflous de la
lonL;e sle ms adienus xt obuoruntes ntd elsib rceomines ndt ua ureto.iuorr td feo ncet ebnotrue
lteosu rndéeeusx. boulons à l’origine des part es conlonL.
eE bt ocu’etf td up acro icne ibnofuérloienu rq us'ea plpeus iech foucrs ulun i bfoount
cboomulmonu nqiquuié se f,t claer pllau s foéulepveén.te tient à un autre
coiEnn ffiunp élrei eubro, ul&o nf efrto uàr neint : ruente npiori nlet rde’falbprptu id aanus une pôfîtion convenable.
avoNnosu sd int ’aqvuoen sl epsa s taplaornlés edxeasd ceominesi té, toqiueanntd pnoofuéss ld’eu nf efru.pr lla’ateu trqeu;i cfea r tielrsm fièn%et efné-pdaerhéos rps apra ur nuen p rioècue
lceeattue cprieèucxe aufli large que ,ie refiort : ôn nomme jet.'ie entre llee s t têIotne s ddue sr e fdfoerutx, locorfiqnus.’elle eft aflu-
driLquee bdoeu“l coen tpaaloflne dqauni s cloan ptorirbtiuoen àc mreauirne t&en ciry llièns
coins dans la cage.
parL ale têta'elo nd es& c(ooinn s boéutalonnt ;r eltee npuoei ndt adn’sa plpau ic adgees bdeeurtxé , bqraunacnhde sl edsu carehfolbtsr t l’peexuitg ednetf,e epnadircee aqvueec lleis
fdeuc ocuofliens , nqeu ’pile unvee nltè vfaei rlee élbeovuelro lne bfouur t lienqfuéreile uilr qpuoir ter e;t ipeanrt lceo ntfaélqoune n, t dleef ebeonudl onen inmféêmrieeu tre,m cse.lui
vemLee npt efotiuts blao cuati fdleu dcuo cina rrfoufpleé r; ie&u ar fian aquuf’lii l uénp rmouovue
pmeoui nsa rdroe nrdéifeif ,t ân&e ep, olu’erx tqruéem ilteé fdreo tcteem ceonint edfet ucne sc'oéicna rnte’u pfea s pàa s dlreos’ teb o&rd sà gdua uccharer,o ifll ec, o&ul eq fuu’irl unnee j bqaun’idl en dee sf’eérc aa'rttaec hpéaes aàu dcororpi<te d&u cà agrraoufcleh:e e, nifli nc poouuler gfuarr nuinee dbea dneduex doer efeilrl east tafcohrméea naut lceosr prse dbuo rcdasr rdo’uflnee, efpèce de couiifle qui reçoit le bout du rvflbrt.
Cette pièce qu’on appelle le mufle, a encore
un autre ufage : elle Ce prolonge au-delà de l’endroit
où porte le bout du reflbrt, & elle porte le
boulon qui attache les deux mains.
Une éfampe fert à forger cftte bande de fer fur
le mandrin qui tient lieu de boulon dont nous venons
de parler.
, La main extérieure eft ordinairement recouverte
par des ornemens qui étant de bronze ou cifelés,
ne font point l’ouviage des ferruriers.
Le coin inférieur eft plus long que le fupérieur;
I il doit êtr; plus foupie , & il a aflezla fo me des
coins Amples de reflbrt; c’eft-à-dire, qu’il a un
peu de concavité vers fes bouts, & une convexité
au milieu.
Le coin fupérieur a une courbure pniforme dans
toute fa longueur, excepté près du bout, où,
comme nous l’avons d it, il eft arrondi à l’endroit
qui s’appuie fur le carrofle.
Pour les grandes votures on met quelquefois
quat;e ou fix coins pour un reflort ; mais comme
ces coins font pofés à côté les uns des autres &
parallèlement, deux coins font l’eftet d’un qui ferait,
double de largeur : les -grands carrofles de cérémonie
des ducheffes font ordinairement formés
de quatre coins, & ceux du roi de fix.
On mu’tiplie les coins pour donner aux reflbrts
affez de force pour fupperteiuces lourdes voitures :
; on pourroit leur en donner une fuffifante, m fai-
lantles lames beaucoup plus épaiffes, comme étoient
celles de la diligence de Lyon ; mais en multipliant
les lames, on gagne de la doueeur.
Quand pour les grandes voîtu’es les reflbîts font
formés de quatre ou de fix coins, Ls deux paires
de côins entièrement femblables -jfbi.t placées à
côté les unes des autres dans les mains', & la largeur
du mufle eft égale à celle de tous les
coins.
Reforts inventes en An g'et erre pour fufbendre les
vo tures , par M. Jacob, communiqué par Mi
P'/ngeron, ancien capitaine dl artillerie &• ingénieur
au J'ervice de Pologne.
Ces reflbrts font compofis d’une feule bande ou
lame d’acier d’une certaine longueur, ayant environ
trois pouces de large fur trois lignes d’épaif-
feur. Ils font percés d’un trou .quarré vers leur extrémité
inférieure, pour laiffer pafler un boulon
couvert d’un pas de vis qui entre à moitié dans
la traverfe contre laquelle ils font forcés par le
moyen d’un écrou beaucoup plus large que l’ouverture
dont on vient de parler.
Ces reflbrts font placés dans une Atuation verticale
après s’être élevés perpendiculairement jufqu’à
la hauteur d’un pied & demi ; ils fe courbent du
côté de la caifle de la voiture, pour former use
fpîralè qui fait une évolution entière & un quart
de révolution.
Le reflbr-- ainfi courbé réunit pour lors dans la
largeur dè fou extrémité fuperieute une petite
pièce d’aci.T courbée d’environ quatre pouces de
longueur qui y eft folidement rivée.
Ce bras eft percé' par le bas d’un trou circulaire
par où pafle une petite barre de fer horifon:a ie ,
placée dans le fens de la largeur de la voiture ,
pour réunir le reflort avec Ion voifin,
Cette dernière barre fe prolonge au-delà de l ’endroit
où el-e enfile la pièce dont on vient de parler :
elle entre enfuitedansle haut des deux fupports fo mes
chacun par une petite barre de fer aplatie, pliée
en deux , & fe terminent par fes deux bouts par
un double empattement percé de plufîeurs trous.
-C’eft par ces derniers trous qu’on fait pafler quelques
vis à tête aplatie qui aflujettiflent les fupports fur
le train de la voiture dans line Atuation verticale.
Les deux branches qui les compofent forment une
efpèce d’V emoufle au-bac duquel un ferrurier in telligent
donne une courbure & une form.e agréable.
. Le boul de la longue barre de fer horifontale
dépafîe encore de quelques pouces la partie fupé-
rieure du fupport qu’il traverfe , & rem t dans ce
prolongement un fécond morceau de fer dé qna- .
tre pouces de longueur & percé par *le b.ss d’un
trou circulaire dans lequel entre le bout de cette j
barre.
Cette fécondé petite pièce de fer eft réunie avec
la première par un petit cylindre de même métal,
auquel on attache'- la foupente , & dont l’axe eft
rivé dans l’épaifleur de ces d üx pièces.
Il faut remarquer qûë'ce dernier cylindre avec
les deux petites pièces de fer qui font verticales &
enfilées dans la b'irre horifontale, forment enfem-
h!e une efpèce de reétangle ou quarré long mobile
fur cette dernière.
C’eft àuffi fur' la barre horifontale que s’exécute
, le jeu des reflbrts : comme la foupente y eft pareillement
attachée fans gêner ce mouvement, il s’enfuit
que dans le cas où ces derniers vierdtoient à
fe rompre, la caifle de la voiture reftèroit toujours
foutenue par la barre horifontale.
On augmente.ou on diminue à volonté l ’élafti-
cite des reflbrts dont on parle en diminuant ou
€n augmentant la longueur oes petits morcéuix de
fer qui fe meuvent autour de la barre horifontale
y étant aflujettis’ ; par une clavette qui traverfe
le bout de cette dernière.
Il convient de remarquer que chaque pièce de
reflbrt porte dans tous les cas.la moitié de la caifle,
meme dans les cahots & dans les chemins les plus
vdoififfiinc ilpesa,r puunief qbuaer rceh adqe ufee nr.fïbrt eft réuni avec font
fépIalr éns ’,e nf i ecfth apcaus nd de ’emuxê mnee lpoerufqt upeo lietes r rqeufleb rltes gforonst idle elfat évvoiditeunret qfuuep pocefé ere frlebmrtp fleier ap afro lrecsé ,v olyoargfqeuur’us n; contre-coup lui fera porter toute la prfa- t^ur de
■plaa bclaei fdlee :r éffi ifatue r cào nunti apiarere icl ee fmfoêrmt,e i l reeffltb crtl,a ierf tq uc ail
aura trop de i ôideur pour réfifter comme reflbrt.
Ces corfidé:a:ions jointes à la /Implicite des refi- qfour’tisls , qpureo clu’roenn tv eienn, tl adifel rndté lcar icraei f, le& fu fàp eln’daüvea ndtaagnes lfeo cciaést éo ùro yilasl e véietanbdlriae ient à cafter, ont engagé la gement de l’agriculturàe ,L doensd arie tss, &p douu rc ol’menmceorucrea ,
a donner une gratification de vingt-cinq guin'es à
Millu. fJtraec ocobm, pqaugi nilees. a inventés & préfentes à cette
lesC vèos itruerfelbs rtdse o vnitl led.éjà été adoptés à Londres pour
pa Ot nd epse vuot idtuirree sa vmeice uvxé riftuéf pqeuu’doune sn e; mtroauisv oen nduélllie
rerait un peu plus d’élégance dans leur forme.
à cLese nfoeuuvle ainucxo nrevfélbnritesn qt uqiu d’ooni vepnotu rcrooûitt err elpar omchoeir
tfioén tmaloei ngsê nqeuraei tl eusn a upteiue sl,e cd’eefrtr iqèuree dlae lbàa rrveo ihtuorrei.
ils Spi eornm elettsr aaiednatp tdoiiftf iacuilxem ceanrrt odfele sp làa clear frbaenaçuaciofeu p, de bagage derrière la voiture.
Des renvois de fonnettes , G* de leur pofe.
pouTro uapt pleel lmero nà dfeo i flaeist dcoommebftiieqnu eisl edfot nct oam bemfooidne ,, fdae cnh’eavmoiinr éqeu, ’à outi raeur cuhne vceotr ddoen foqnu i lietf,t aouup ràè sp odre
tée de fori bureau.
tenCdere cào rld’eonnd rfoaiitt aogùi rf eu nteie nfonnennet ttlees qduoi mfeef ftiaqitu eesn ,
lcohrasm mbrêem oeu qduue ccaebti neentd qroui’ot ne fht afobritt eé; lolaig cnoém dmeu nlia
fcea tfiaoint pdaur mdeosu vfeilms ednet fedru &c odredso nre anvveoci sl a; afvoencn ectetes fneectoteusr s, , folenst f eprraurcrioeurrsi re xlep efritls dp’oaurcr hlaal pdoafnes dteosu ffo nle
ppoluusr thoauur t dd’uens mapapia/rotnems, en&t* ;d eifles elned rfeo natu mroenzte-dr aeu- cphluausf léféloe i,g ndéee sf oartvee cq uu’onn tfraèist- pjoetuiet r eleffso rfto, nrn-ettes les
arrLêteéss ppoafrt ulress dcelo iffoonnnse ,t telse sn em duorsiv e&n t lpeso inpto uêtrtrees qdu’ui nf et rroeun cpoanrt rleenqtu eeln p alefulern ct hleesm fiinls ;d i’alsr clhesa lp,erceut
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