la suite des grandes bises de
)m se sont réparti cette chaleur
a gagné 0.4°, à 140, 0.2°. J’attri-
nds vents la convection de la
*s.
le la courbe thermique jusque
3 ; nous devons donc admettre
mènes de convection descend
ique la propagation de la chaleur
gnées de la surface, l’existence
squ’à 80 et 100m de fond. Nous
i action aussi lointaine aux phéon
thermique avec une lenteur
• traverser une couche de dix
va très peu profond; la plus
3st absorbée par la surface ; ce
jui pénètrent dans les couches
iodique annuelle, dans le court
■échauffement, nous voyons les
jusqu’à 80 ou 100m de la surface,
que les phénomènes de conduc-
dans ces couches déjà profondes,
n que nous devons les attribuer.
Quelques sondages faits en 1885
intré que l’horizontalité absolue.
3 plans isothermes des couches
ultanés aux deux extrémités du
i même température à la même
rches se sont bornées au Grand-
ions si particulières que sa tem-
jrablement de celle du Grand-lac,
3 je fonde mon affirmation : Je ne
us profondes que 30m.
9 au 13 juillet 1885 à Chillon,
yaÉllHHphi
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