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ou félon d’autres de plâtre, dit en greciniptç, (D -Ä )
SciRES-, \ A n t i q . 'grecque. ) C’ctoit une folemfiité
d. !Athënes ,-crii l’on portoitrelîgieulementpâr-là ville
fous dés dais ou pavillons ,vxipa, les ftatnes des dieux,
principalement de Minerve , du Soleil, & de NeptU-
ne. On ipr étend que cette fête avoit quelque rapport
à celle .clés tabernacles chez lès juifs.Quoi qu’il en foit,
comme elle fe celébroit au mois de Mai ■■ on donna à
ce mois levïiofn de Sdrophorion. (22. Z.) • i
; iSCIRLDlTE , •(' G'éog. anc.') Sciritis-ÿ contrée du
Péioponnèfe , dans la Laconie. Hérodote , Xéno-
phbn ,• Thucydide , Etienne le géographe , parlent
de cette contrée, 6c nomment fes habitafis, Sciritte.-
■ H H .• •••: ■ < H M H
SCI RO , ( Geograph, m od e rn.) île de l’Archipel,
une des Cyclades, ait nord-eft de celle de Négre-
pont; fon ancien nom étoit Scyros, ou Syros. Voye{
Scyros. G é o g .a n c . & m o d .(2?. /.)
Kg SCIRON, f. m. ( Littéfdt. ) le fciron étoit Un vent
partidrlierffè l’Attique yfoufflant du côtédesrochers
Icifoniens ; il eft entre le Maeftral & la Tramontane.
o
S C IR O N ID E S P E T RÆ , ou Scironia-Saxa, ( Géog.
ößc. v). rochers de Grèce , au territoire de Mégare ,
entre la ville de ce nom 6c FIfthme de Corinthe, près
du chemimappellé fciron. Pomponius Mêla, /. II.
e. iij. 6c Paufanias , 1- I . difent que ces rochers étoient
odieux, & qu’on les regardoit comme fouillés , parce
que l’infâme Sciron, qui autrefois habitoit dans cet
endroit, y exerçoitfa cruauté envers les palfans, 6c
les. pfécipitoit dans la mer. Voye£ R o c h e r s de Sei-
mn,.r(D..J,s) --;■! î.fcjMmd, :-5 i™«.:.;
, ; S C I R O N I S V I A , ( Géog. anc. ) chemin de la
Grèce -, quiprenoit depuis Fiftmede Corinthe, juf-
qu’à Mégare , 6c qui condùifoit dans l’Attique. Hadrien
le nt élargir de fon tems.
A l’endroit où ce chemin forme une efpece de
gorge, dit Paufanias , il eft bordé de grofl’es roches ,
dont l’une nommée molares, eft fur-tout fàmeufe ,
parce qu’on prétend que ce fut fur cet-te roche qu’Ino
monta pour le précipiter dans la mer;, avec Melicer-,
te.',, le plus jeune de fes fils. Cette roche de.moluris,
étoit confacrée à Léueothoé & à Palémon ; lès roches
des-.environs n’étoient pas moins .odieufes : on les
nommoit jcironides parce.. .
Paufanias ajoute : au fommet de cette montagne
qui commande le chemin i il y a un temple de Jupiter
iiirnommé A p h e jiu s . Au même endroit on voyoit
une ftatue de Vénus , une d’Apollon, &une de Pan;
plus loin on trouvoit le tombeau d’Eurifthée ; car
on prétendoit que cet implacable ennemi d’Hercule,
vaincu enfin par les enfans de ce. héros J 6c obligé
defortir de l’Attique, avoit été tué par Iolàs, dans lé
lieu même où eft fa lépulture ; en defçendant de la
montagne, on voyoit. le temple d’Apollon, furnom-
mé Laioàs. {D . /.)
. SC1ROS , ( Géog. anc.') S ciras ou Sciron , bourg
de. l’Attiaue, entre Athènes ScEleufis, félon Paufa-
nias ; /. 1. c. x x x v j. qui donne l’origine du nom de ce
bourg ; pendant que les Eléufiniens , dit-il, avoient
la.guerre avec Erechtee , il leur vint de Do.done un
prophète qui avoit no m Sciros : ce fut lui qui confa-
cra ce vieux temple de Minerve Scirade, qu’on voit
à. Phalère ; enfuite ayant été tué dans le combat, il
fut inhumé fur le bord d’un ruiffeau, 6c depuis ce
tems là le ruiffeau 6c le bourg ont porté le nom du
héros. On ne fait de quelle tribu étoit le bourg de
S ciros mais il s’y faifoit une fête en l’honneur de
Minerve , le i z du mois Scirophorion.,(i9 . /.)
SC IR PHÆ , ( Géog.anc.') ville de la Phocide,
félon Etienne le géographe.; elle eft aufîi connue par
une médaille de l’empereur Claude , oii on lit ce
mot, <r,xip<pa.îav. (29. J. )
S C IR PU S , f. m. ( Hiß. nat. Bot. ) genre de plan-
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té, dont les.fleürs' n’ont point de pétales ; elles fonf
compofëés de plufieursétamihes, de réunies en une
forteide tête écailleul'e ;* le pîftib'fort dès ailes des
écailles , de il devient .dans] la fuite une femenee
triangulaire ; les femences font auffi réunies en une
forte de tête: ajoutez, aux caraûeresMe.ce genre,
que les "tiges ne font ;pas triangulaires.' Tôurnefort,
injl.rei.herbi Vay.e% PLANTE. • - -
•C’eft en françois le jonc de marais, &Tournefort
la met fous le-genre des joncs. Il compte deux ou
ffois:.efpeces de jonc de marais ;'la principale que
nous allons décrire, eft- celle qu’il appelle feirpus
paluûris, altiffimus y ânflit. rei herbari^puS. le grand
jonc de marais, auquel*Pline compare la portion fu-
périeure de la tige du papyrus.
Cette efpece de jonc a en effet-beaucoup de rapport
avec le papyrus -, & elle' la repréfente' affez bien
avec fes tiges droites, nues, liftés, fans aucuns
noeuds, & dont le fommet eft auffi garni d’un panache
par le corps qui en compote l’intérieur, 6c
qui eft d’une fübftânce blanche, fibreufe', moélleufe
& fpongieufe ; couverte cl’une écorce mince 6c de
couleur verte. Cette plante d’ailleurs eft pareillement
aquatique, 6c croît plus volontiers dans lesr
lacs, les étangs., les lieux marécageux, 6c fur les
bords des rivières : elle imite encore lepapyrus par
la. longueur de fes tiges,. qui dans des plus hautes',
eft de fix à fept piés, Scpar Fépaiffeur qui vers le
bas , à l’endroit’.oit; elles-font plus groffes, eft d’environ
un pouce , & quelquefois plus. >
. Mais, pour que les tiges parviennent'en cet état
d’embonpoint , ilTaut;que la plante naiffe au milieu
des eaux, 6c qu’elle en foit continuellement baignée
, fans, cependant en être trop furchargée ; car
alors, bien loin de produire des tiges, elle neipouflë
que des feuilles très-longues 6c fort étroites : changement
bien fingulier dont ne s’étoit pas apperçuTour-
nefort; puifque dans Fouvrage déjà: cité il indique
cette- variété comme une plante particulière, fous le
genre des algues, & à laquelle il donne le nom d'a/ga.
Jluviatilis, gramme#., lo,ngi(Jîmo folio.
Si au contraire le feirpus y ient hors de l’eau dans des
terreins Amplement-humides, fes tiges ne font jamais
auffi élevées ni auffi groffes ; 6c les feudlës, qui par
leur pédicule en forme de. gaîhecouvrent la bafe de
ces mêmes tiges., font très-courtesi 6c fort peu apparentes.
On peut les comparer à-un petit bec qui ter-
mineroit d’un feul côté le bout fupérieur d’un tuyau
membraneux. Quant à.la figure des tiges, elles font
rondes comme un bâton ; mais elles diminuent de
groflèur d’une maniéré* infenfible, 6c. vont aboutir en
pointe à l’extrémité fupérieurè. Le panache qu’elles
portent, n’eft pas confidérable; il eft compofé de
quelques pédicules courts, épars., Amples ou ra-
meux, auxquels font attachés, de .petits épis écailleux
, ou paquets de fleurs 9 >atrondis en forme-
d’oeuf, & de couleur brune-foncée''ou rouflâtre :
ces pédicules ne font point à leur naiffance entourés
de feuilles , telles qu’on en trouve à la bafe du
panache du papyrus,
La partie inférieure des tiges du feirpus eft blanche,
tendre,, fuçculente, douce au goût, 6c d’une
faveur approchante de celle de la châtaigne : les
enfans la mangent ay;e'c plaifir. Les racines de cette
plante, cachées fous J’eau plus ou moins profondément,
rampent & s’étendent fort au loin mr le fond
des lacs 6c des rivières, d’où elles pouffent un grand
nombre de tiges ; ce façon que .par rapport à leur
prodigieufe multitude, on peut très-bien en comparer
le coup-d’oeil à une forêt de mâts ou de plantes
fans branches 6c fans feuilles, comparaifon dont Caf-
fiodore s’eft fervi pour exprimer celui qu’offrent les
tiges du papyrus.
Après tous ces détails ? nous allons examiner quel*
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étoient îesnfagesdu feirpus:fur-rtout en Italie 6c. chez
les Romains. 'Pline nous apprend qu’on enfabriqiiqît
des bonnets où dés efpeces .4e'Cliapeaùx, dès nattes,
des coûVertüïès' pour les maifons , des voiles pour feS’
vaiffeadx; 6c qu’âprès a^bir détaché & enlevé l’é-
corcé’de la tige de cétté plante, on emplqyoit la
partie intérieure, moëltèufè'& lpbngieufej vomnie
une meche propre pour les flambeaux qù’on. portôît
dans les'fûnérailles. Voici' lés paroles deTliriè Y'Rfec'
in fruiiciïrh , Het '■ in 'vepfiùm "f cdüliuniv'e , tiequè irv lieb-'
barum auc alio ullo qiiàm fu d 'généré numertntur jure :
feirpi'fragiliS' paluflrefqüe ad tegiilum (tegilLum efpece
de bonnet félon un desmeilléUrs manuferits j tegé-'
tefque , è quo detraclo' côrticé cdndelce Itiminibus, &
funerib'usfèrviunt : firmior quibufdam in loc'ts éorum ri-'
gor ; namque iis velificant non in pado tantum nauilci,
veriim &.iii mari pïfcator a fr i eus, preepoftero more vêla
intra malos fufpendens & rhapalïàfuu Mauri t'egtint.
L’interprete de Théocrité a fait obferver qu’on
tenoit de femblables flambeaux allumés. au-tOuf du
cadavre ; tant-'qu’il reftoit expolé ; 6c Antipàter nous
apprend que la meche d^ feirpus 6c dé papyrus
étoit enduite de cire : Facem ceream tuniedm hqben-
tem , faturni ardentem lycknum junco & te nui conf-
tnclum papyro.
Daléchamp, dans (oh hifoire des Plantes, indique
deux êfpeéës de: feirpus dont on tiroit une moelle
d’une fubftance fpongieufe-, affez compacte , très-
fléxible, un peu feche, 6c de• eôuleiir blanche, laquelle
étoit employée à des meches pour les lampes.
Notis avons vu à P.aris, depuis quelques-années’,'
rëparoître cette forte de meche que Fon pré-'
fentoit auxpaffans , 6c que Fon annonçoit pour des
meelùs éternelles. Lorfqu’où veut tirer la moëlle des •
tiges du feirpus, on.fë fèrf dé deux épingles que'Fon
paffe à-travërs le bout inférieur d’une tige, dé maniéré
qu’elles fe croffent ; on les tient enfuite âffii-
jetties dans cette pofitibn', 6c après on prend lé petit
bout qui fe trouve aii-deffus des épingles ; orn le
tire, en agiflant comme fi l’on vouloit partager la
tigë en quatre partieS'égales ; mais à mefure qu’elle
fe- partage , l’écorce abandonné la moelle, qui à‘la
fin de l’opération reftéëntiere , pendant que l’écorce
eft féparéë en-quatre lanières.
A la fuite du même paffage de Pline, conformément
à l’édition qU’en a publiée Daléchamp, on lit:
Proximéque cefimanti hoc videantur effe quo inferiore
NUIpàrte pàpyri funt ufu. Ce que le traduûeur de
l’hiftoire des plantes, du même auteur, explique
ainfi : De forte que « eonfidérant de-près la nature
» de ce jonc, il femble qu’on puiffe s’en fervir com-
» me Fon fait du papyrus dans la baffe Egypte ».
Mais cette leçon varie ; car un ancien manuferit la
donne ainfi : Proximï a f imanu hoc videatur effe quod
interior mundâ-parte pari funt papyri ufui ; 6>C dans
un autre plus ancien 6c plus eftimé que poffédoit le
célébré de Thou, 6c qui maintenant eft confervé à
la bibliothèque du Roi, elle eft autrement écrite :
Proximéque ccflimanti hoc videatur effe quod in interiçre
parte mundum papyrum ufui det.
Il s’explique après, en difant, que fi Fon examine
avec attention les ufages du feirpus, on trouvera de
plus que fa fubftance intérieure peut fervir à faire
un beau, papier. Ce qui en quelque maniéré pourront
être vrai; car ayant fépaïé la tige du feirpus tn.
différentes lames par le moyen d’une aiguille, on a
des lames fort blanches, & même plus fines que celles
qu’on féparoit anciennement de la tige du papyrus
d’Egypte; & étant defféchées, elles font également
flexibles. En écrivant fur l’une de leurs faces,
on ne s’eft pas apperçu que l’encre pallat à-travers,
ni qu’elle s’étendît, ou fît des bavures. Auffi Her-
molaiis remarque fort-à-propos, que plufieurs auteurs
ont confondu le feirpus avec la plante que les
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Grecs ont appellée biblps ou papyrus, Côrtfufioii dé
nom qui paroît avoir ëté éhez les Roimins' & chez
les Gréés? On a tout lieu dé-le conjéclùt-er 'par ce
vers de Martial, ad titulum far élus .papyro j.iim lîbi '•
cliSfïisjci'efcit; & par un paffage- dé ôtrâborr, où én
pâHànt'dëycértainS' laès 'de là Tbfcàrte ; il dfty'rùçn
f i y.ai vÜTnifDÇy ctr&vkirvï-hrtfhxé 'KaVkKtfpi/QŸkt'-istïTât*
utïç 3$ Kp VÙfÂW , ■’ v t . f ivé'iS'caaiv ai kifluàr /x^Ttî1
TiCipidç. E t typhe & pàpyrüS'<Si anthéla milita, dffer*
tur Rômani per fluniina quee derniitunt lacus ûfquc Ti-
bérïùib- c-:*
On voit par ce paffage, que dans les laés ,4e la-'
Tofcane il çrbiffoit- une plànfe , àlaquelle on'don-
noit le nom de^papyrus', 6c dont on faifoit à Rome
des çorifommatiqns bien eonfidérables, puifqù’bn'
Fappbrtoit- en grande, quantité, copiosè. Mais on:
pourra demander à quoi les Romains -empldyôiënf
cette plante 6c les deux àutrès-çonjôiriteni,éfît''éitées^
favôir le '-tÿpha ,’'ôü rmaffe'-d’èâù., 6c V.anèheïà \ que
l-’bn penfe n’être àutre 'chofe que le pânàëhe des
fleurs d’-uhë-èfpeéé de rofëaù aquatiqueyauquel les'-
Grecs bnfRonné lé nom dé , 5pa-f-*-r^ppôrt
à fes fleùÿs-qui font chargées ou environnées' d’uli;
duvet fin-•& foyeux.
- " Quoiqu’il né foiï pas •àîfê dè répondre à Cettè
queftion , les anciens ne s’étant pas- affez expliqué
fur ce Tûjet', on peur cependant y fatisfaîre en quelque
forte', inais fur-tout- par rappOft*'à;.cétfê éfpèce
de p a p y ru s , fi l’on 'fait réflexion lhr de cértàines1
pratic^ues-que le> Romains' bbfervôient dans leurs
fuiïérail'lès; Nous apprenohs par le vërs- de" Martial,
que les lits des morts'qu’on portoit'fur lé bûcher,
etôiënt remplis de p a p y ru s ,. farclu s papyro- dùm tibb
thorus creftit. Voilà fans doute le p'apyrùs dont' parle
St'ràbbn-j & un dés 'ufages qù’on éiï faifoit-à Rome;
màis‘il hè’ -faut pas erbirè' , commë Guilaridin fém-1
ble l’avancer; que-ees -litS'fuflënt oompofés des racines
du papyrus apportées d’Egypte: cette ‘matière
étoit trop utile, trop Ïiéèeflàire, 6ù fi Fon peut dire»
trop pi-écieufe dans le 'pays , à caufe !de la rareté des
autres bois, pour qu’il eût été poffible d’en tranf-
porter ailleurs une certaine quantité. C’eft donc un
papyrus commun 6c - affez abondant dont on a pu
faire üfàge à Rome ; tel-eft'celui dont parle Strabon ,
qui venoit des lacs -de la Tofcane, 6c par les rivières
'qui fe Mégôrgerit dans le Tibre.
On fe perfuadera peut-être que Ce papyrus doit
être l’efpece qui fe trouve communément dans le$
marais de Sicile, de la Calabre 6c de la Poùille : cette
opinion pàroît d’abord fort vraiffemblable, 6c elle a
eu fes partifans : néanmoins nous ne croyons pas
qu’on puiffe l’adopter; car il faudrbit', pour en prou*
ver la vérité, qùe l’on eût découvert la plante de
Sicile dans lés lacs de la Tofeane, & notis ne voyons
pas qu’aucun botanifte Fait obférvée autre part qu’en
Sicile, dans la Calabre , 6c dans la Pouillë ; ce qui
femble nous affurer que l e papyrus de Strabon eft
une plante toute différente. V o y e^ P a p y r u s .
Le favant Micheïi, qui vivoit à Florence, étoit
le botanifte le plus à portée de faire cette recherche
; cependant il avoue qu’il n’avoit pas encore
pu vifiter les lacs dont parle Strabon. Il faut efpé-
rér que les botaniftes qui vivent a&uellemertt en
Italie, s’emprefferont d’eclaircir un point d’hiftoire
auffi curieux, qu’il eft intéreffant. Mémoire des In f -
ic r ip lio n s, tome X X V I . (2?. J .)
SCIRROPHORÏON, f. m. ( Calend. £ Athènes. )
mois attique ; on le nômmoit ainfl , parce que pen-"
dant ee mois on celébroit chez les Athéniens les fêtes
de Minerve appellees Scirrophoria, à caufe que
dans la proceffion en l’honneur de la déeffe, on.por-
toit un dais, c«r a-mppov fignifie un dais, un poêle ; oC
le droit de le porter appartenoit aux théobutades I
famille facerdotale. Le mois Scirrophorion étoit le dou