
u ll? 7 e P„ ° f1 !q" e* le traité.
surpris ^ Z T ir 'T e‘ h C°Ur aVaient éti
s’a .L d a ieu , de notre * * * * et
plus rigoureuses après la prise de'Tan!? '" “ 8 beaUCOUP
£ 5 k 5 £=3 s S
S s S T S B S
e t T s o n Ï Z S Z S J ? ” ' ’M itU d e d » " - i n U r f a r i v o ^
conclurent que iT h c ;™ ^ aP,def «"* »“ Spccte. Elles e„
Sur le consetl du général Duchesne, la reine “ s!a„a
l ï ~ Rt r Ï té™ Ur Rainitsi“ W y « T e !
priété royale à T s ^ a T t r a ’ ^ ¿ Ut ™ temé dans un? P™ ~
Ve™eUr ^ TamataV6’ fut ¿omméaL n T sT d eT in té r ieu !"
SmeSUreS pnses par ]e g^éra] Duchesne et M. Ranq
» e p c
« L organisation politique et administrai'1*6 ¡ S Î existant a Madagascar,
imparfaite qu’elle soit, nous sera Î H é h ^ T 6’ 81 embr70nnaire et si
le fonctionnement de notre pro’tectoîaf Les SeC0UrS P°Ur
avoir heu d’y introduire devraient être étudiés S qU jI PQHrrait T
dans tous les cas, être décidées a n 1» ri - a a v e c som et ne peuvent,
Tananarive. Vous vous garderez d on^dvTT“ f ^ de D0S troupes à
pouvant engager l’avenir » (Lettre de M n mesures administratives
étrangères.) le t t r e de M. Hanotaux, ministre des affaires
chot améliorèrent la situation à Tananarive et arrêtèrent
la résistance dans les provinces, où, sur les ordres mêmes
de la reine, presque tous les gouverneurs hova firent
leur soumission.
Ce calme ne devait pas être de longue durée, car, dès
le 22 novembre, date de la fête du Fandroana, premier
jour de l’an malgache, un mouvement insurrectionnel
éclatait à Arivonimamo, à--4o kilomètres environ de
Tananarive, dans le sud-ouest de l’Imerina. Le pasteur
anglais Johnson, sa femme et sa fille furent massacrés;
le gouverneur hova et ses principaux officiers, qui s’étaient
portés à leur secours, furent également tués.
Ce mouvement, fomenté à la fois pour chassër les étrangers
et ramener le peuple au culte des idoles,- encore en
faveur dans cette région montagneuse, fut réprimé en
quelques semaines, mais pon sans difficultés, par le commandant
Ganeval (').
Dans la région montagneuse du district de Mahanoro
et la basse vallée du Mangoro, il fallut également combattre,
au mois de décembre, un autre soulèvement,
dirigé principalement celui-là contre les Hova, qui depuis
près d’un siècle avaient opprimé le pays.
La situation en France, Déclaration dü 17 novembre
1895. — En France, pour répondre au sentiment
public, le gouvernement était obligé de faire connaître
_ !• « En général, les gouverneurs des provinces manifestèrent l’intention
d’obéir aux ordres de la reine. Le mouvement de la région d’Arivonimamo;
en novembre 1895, resta isolé; il était dirigé (comme devait l’être plus tard
1 insurrection de 1896) « contre tous les éléments emropéens sans distinction
de nationalité ». Les insurgés massacrèrent d’abord vingt officiers et soldats
de la reine, gardiens de l’ordre, et aussitôt après, le missionnaire anglais
Johnson, sa Jemme et sa fille ; ils mirent enfin le feu à la Mission, u (Note de
M. Laroche, résident général.)
« Cette insurrection paraissait être dirigée non seulement contre le gouvernement
de la reine et contre nous, mais d’une manière générale contre tous
les chrétiens. A sa tête se trouvaient plusieurs prêtres des vieilles idoles et
un ou deux sorciers. >> (Rapport du général Duchesne.) -