(Jemma-O) mag man mit Hülfe der Bonzen durch Meditation an
Amida entgehen, wenn man den fünf Vorschriften Xaca’s gemäss
gelebt hat. Niemand, wenn nicht im Zustande völliger
Reinheit, darf die Pilgerfahrt nach Isje unternehmen, und
die buddhistischen Priester, die beständig mit Leichen zu tfiun
haben, bleiben deshalb davon ausgeschlossen. Auch wer sich
durch Sorgen und Missgeschick bedrückt fühlt, würde es nicht
wagen, die heitere Seligkeit der Götter durch seine Gegenwart
zu trüben. Wer verhindert ist, selbst zu gehen, beauftragt einen
Stellvertreter von den Kamusi, die Schachtel Ofarrai auf seine
Kosten zu kaufen. Vor dem Hause eines abwesenden Pilgers
wird ein Stück blaues Tuch gehängt, damit keine Unreiner eintrete
und dadurch seinen Bestrebungen entgegenwirke oder
ihn in Träumen quäle. Bis zur Zeit der Auferstehung geniessen
die Seelen der Gläubigen schon einen Theil späterer Seligkeit in
einem der unteren Himmel, während die Ungläubigen in die siebente
Erde hinabsinken. Die Propheten gehen ohne solchen
Mittelzustand (Barzakh) sogleich in das Paradies ein, während
die M ärtyrer den Leib grüner Vögel bewohnen, von den Früchten
des Paradieses sich labend. Unter den Priesterinnen von Isje*)
Thiere vorher ans dem Wege hebt (Schönwertb). In dem Tempel der aus Todten-
knochen aufgeriehteten Beinhäuser sah Pinto ein Kolossalbild der Gottheit, die
jedem der Todten seine Gebeine wieder zuzuertheilen habe (bei den Tataren).
Jeder Kirchhof hat (nach deutschem Volksglauben) seine unsichtbare Wache, die
von dem zuletzt Begrabenen abgehalten wird, bis ihn sein Nachfolger ablöst.
Trifft die ßeihe ein Weib, so heisst sie die Frau Todin und nach dem RecheD,
den sie für das kleine Gebein braucht, die Zammrechari (s. Rochholz). Nanuk
steigt (nach dem Dabistan) in die H ö lle , die Sünder zu befreien, Gott will sie
aber nicht in den Himmel lassen, bis sie sich durch Wiedergeburt auf Erden
gereinigt, indem jener ihnen erscheine und predige.
*) Parmi les prêtres attachés au service des temples dans la province d’Isye
(ou Iz é ), on trouve toujours un fils du mikado, qui occupe le poste de grand
prêtre à Niko, lieu de la sépulture de Goughen. chef de la dynastie actuelle de
Siogouns, et où son ifai (ou tablette mortuaire) et celles de ses successeurs sont
conservées, (comme le primat du Japon). Un autre fils du mikado est grand
prêtre d’Ouye-no à Yedo. On désigne ces deux princes de l ’Eglise par le titre
de mya-sama. Il n’est pas permis de prononcer leur nom. T,e Sinsyou (foi des
dieux) est divisé en deux sectes, l’orthodoxe (youitz) et le riobou sintoo (cuite
A b la s s
findet sich fast immer eine der Töchter eines Mikado unter dem
Titel Saï-koo. Der Pilger, der alle Ceremonien im Tempel von
Isje und im Miya durchgemacht hat, empfängt von dem Priester
gegen eine Gratification eine Bescheinigung des Sündenerlasses
(Oho-haraki). Wer in Isje eine Fusio (Unreinheit) begeht, wird
durch den Sinbatz (Zorn der Götter) gestraft. Von der Tempelspitze
sieht man die zur Zeit des Tensio dai-sin aus dem Meere
o-estiegene Insel. Amitaba, der Unendliche, oder Kiao-schi-kia,
der Erbarmungsvolle, bildet mit seinen beiden Söhnen Avalokites-
wara und Mahastanaprepta d it Trias der drei*) Ehrwürdigen
Kami à double forme. Après une période de 500 ans, pendant laquelle le
bouddhisme avait vainement essayé de prendre racine en Japon, une idole de
Bouddha et quelques livres bouddhiques furent introduites, pour la première fois,
à la cour du Mikado (552 p. d.). En 579 p. d. un bonze venu de Corée, représenta
Ten-sio-dai-zin comme ayant été un avatar (incarnation) d’Amida ou
bien Bouddha comme une incarnation de Ten-sio-dai-zin, et un enfant (petit-flls d»
Mikado régnant), comme un avatar de l’un des Kwan-won, ou saints divinisés,
protecteurs de l’Empire. 11 fut chargé avec l’éducation de l’enfant, qui, devenu
homme, réfusa d’accepter la dignité de Mikado, quoiqu’il prit une part active
au gouvernement de sa tante, élevée plus tard à cette dignité. Il fonda plusieurs
temples bouddhistes et mourut bonze. Le Bouddhisme se mêla bientôt avec le
Sinsyou, d’où résulta la secte appelée Riobou Sinsyou. La secte Ikkosyou ou
Syodo-siou-zjou (nouvelle secte de syodo) fut fondée par un Japonais d illustre
naissance, le bonze Sinran (1174—1264 p. d.), qui avait d’abord appartenu à la
secte tendaï. Le culte dans les temples d’Ikko-syou est celui (de Mida) d’Amida
(sauveur, charitable, sécourable) ou Ku-bon-no-mida (Mida sous une nouvelle
forme). La doctrine ikko-syou est la seule (parmi celles du Bouddhime) que
révère la partie éclairée de la nation, et la seule qu’avaient reçue les Aino de
l’ile de Yézo.
*) Les Japonais donnent à l’idole Denix ou Cogi trois têtes et quarante
mains, pour exprimer la trinité des personnes et l’universalité d’opérations. Von
Kanon (Amida’s Sohn) wurde Sonne und Mond geschaffen. Mit Amida auf den
Lippen sterbend, sind die Japaner der Seligkeit gewiss, wie peruanische Christen
durch Jesus Maria. Xaca (né d’une reine de Deli dans l’Indostan) parlait souvent
dans ses livres d’un prophète plus ancien, que lui et qui avait fait son séjour
dans le royaume de Bengale. Les Chinois le nomment O-mi-to et les Japonais
Amida (Charlevoix). Un jour, qu’il considérait l’étoile du matin, Xe ou Xakia
comprit en une instance l’essence du premier principe et parut comme inspiré
par la divinité même, ce qui lui fit donner le nom de Foe (s. Couplet). Selon
les Brahmans, Vichnou après avoir pris différents formes et visité le monde