Die Zahl der Priester *) wurde als 102 angegeben. Aus einem
Hokekio betitelten Buche, das aus dem Indischen (Tiensiko)
in das Chinesische übersetzt sei, wurde mir als Tiensiko-Phrase
*) Les Bonzes Bndsoïestes ont on grand-prêtre nommé Xaco qui consacre les
Tondes eu evêques (nommés par l’empereur Cubo-Sama). Parmi le s sectes de la
religion des Fotoques 1) celle des Xenxus n’enseignent que la doctrine in
téneure (du néant) de Xaca (comptant des adhérents principalement entre les Grands)
2) Les Xodoxins (qui suivent à la lettre la doctrine extérieure de Xaca) en
soignent l ’immortalité des âmes. 3) Les Foquexus (Foquekio) sont très austères
(en adorant Xaca) et (dans les congrégations) méditent sur quelque point de
morale, que le Supérieur explique auparavant. 4) Les Negores (composés principalement
par des gentilshommes) font profession de continence (défendant aux
femmes d’entrer dans les villes, où ils sont établis et dont ils sont les seuls
habitants). 5) Les Icoxus font profession ouverte de magie. 6) Les Arbori-
Bonzes n’ont d’autre abri que le creux des arbres. 7) Les Genguis reçoivent
les pélégrins et les Guoguis les guident sur les montagnes. 8) Dans la secte
des Mondians il y a des vieillards, qui se tiennent ordinairement deux ensemble
assis a coté du chemin, ayant chacun devant soi le Foquekio (recitant quelques
lignes). D’autres sont près d’une rivière, où ils repètent sans cesse Namanba
une abbreviation de Namii Amida Budsa (Amida, secourez les âmes des Trépassez)’
D’autres se tiennent proche des grands chemins et ont devant eux une manière'
d’autel, où sont placées des statues d’Amida et d’autres divinités, de qui dépend
le sort des ames après la mort, avec les représentations des supplices destinés à
tourmenter les âmes dans l ’autre monde. Les Bonzes expliquent (en prêchant le
livre Foquekio dans les temples (Tiras). Les filles récluses (Bicoris ou Bicunis)
sont chargées de l ’éducation des jeunes personnes de leur sexe. Dans le temple
de Nara la statue de Xaca était assise (sur une rose) entre ses deux fils Canon
et Xix i. Derrière étaient deux autres statues des dieux Homocondis et Zoialis,
qui ont aussi leurs c ieu x , où ils président. A l ’entrance il y a avait deux
figures colossales (d’un air farouche). L’une avait nom Tamondea et l ’autre
Besamondez. Ces dieux présidaient chacun à un ciel et ils avaient aussi chacuu
un démon sous les pieds. La statue d’Amida (la tête rasée et les oreilles percées)
était assise (près de Miaco) dans le temple bati par d’anciens dairys en l’honneur
d Amida et souvent renouvellé par leurs successeurs. Les vents et le tonnerre
avaient aussi leur représentation. Sur .les dégrés, qui s’élevaient en Amphithéâtre,
étaient rangées les statues du dieu Canon (fils d’Amida). Ce dieu avait
le visage fort beau et trente bras fort petits, à la réserve de quatre, qui étaient
proportionés au reste du corps et dont deux étaient posés sur les r e in s, et les
deux autres portaient des javelots. Il avait sur la poitrine sept faces d’hommes,
toutes couronnées et environnées de rayons. Dans le temple, dédié au rois des
démons (à Meaco), sa statue (tenant une sceptre en main) était escortée de
deux autres. Celui qui était à gauche écrit les pèches des hommes et l ’autre
vorgelesen: Dainiokindin makakascho schiimin anuruda kohinna
sliobayhadda dihada. Ein anderes Buch unter dem T ite l: Budsdo
Sezo eng me si so bosatz scho enthielt das Alphabet der Tien-
siko-Buchstaben mit japanischer Pronunciation. Der Yater Sha-
kiamuni’s hiess Schobondaio und seine Mutter Maya-buni. In
einem Hofe stand, seitlich von der Strasse, hinter drei Tory
(in Wellenlinien aufgekehrter Portale) eine Capelle In a ri’s, mit
langhälsigen Füchsen gefüllt. Ein Gebetbuch, das zugleich das
Alphabet und die Buchstabirmethoden des Tiensiko enthielt,
war mit dem Bilde der Göttin Quannon-Bosatz verziert, in sitzender
Stellung unter einem Wasserfall und mit dem Mond zu ihren
Füssen, während ihr Haupt im Glorienschein glänzte und Anbeter
mit untergeschlagenen Beinen sie umgaben. Auf der letzten
Seite stand der Name der Strasse von Miaco, wo das Buch zu
kaufen sei. Das Budtscko song so da ra mi enthält ein Sanscrit-
Alphabet mit zugehörigem Syllabarium zum Buchstabiren. Das
Buch Hokekio ist von Ginso San So Ho Si in Indien verfasst.
Die Einweihungsformel beginnt mit: Nabo aryabate taererokiya
haratschi bisute daiya bo dainja bäte tane rokiya haratschi his-
susu. Ein kurzes Alphabet war auf Holz geschrieben. Auch
musikalische Noten finden sich in den Religionsbüchern.
Der vornehmste Priester Nagasakis lebt im Tempel Kotaisi’s
und gehört den Jensu a n , wogegen der Tempel des Daiko-
kutschi sich in der Secte Joszu findet. Im Ganzen sind acht
Abtheilungen, als: Jensu mit den Roku, Ikoschu, Tendaischu,
Singongschu, Jodoschu, Hokteschu. Ausser dem K a tak an a (der
Umschrift des Chinesischen) und der Cursivschrift Firakana (als
Go-syo, dem chinesischen Thsa-Ochou entlehnt) finden sich im
Japanischen die Schriftarten Manyo-Kana, Yamato-Kana, Zyak-
seo und das dem tibetischen Landza (nach Rosny) ähnliche Bonzi.
Nach Einführung der chinesischen Buchstaben erfanden die
lit ce qui était écrit. Autour du temple étaient représentés les différents tourments
de l’Enfer. Dans un autre temple, il y avait une machine (faite en manière
de tour), contenant tous les livres, qu’a composé Xaca. La cinquième année
du règne de Si Nin (1654—1663) commença le Rakujo on pèlerinage aux 33
temples de Quanwon (dévotion qui depuis ce temps-là est fort à la mode).