NOMS DES ILES
DÉCOUVERTES.
Océan (île).
Strong ou Ualau (ile).
Auckland (îles).
Sydncy-Shoal (ccueil).
Hope (île).
Paterson (île).
Banliain (île).
Campbell (île).
Macijiiaiie (île).
I.aug hian (île).
Dublon (île).
Souworoff (île).
Arthur (île).
Nicholson (deux écucils).
Peyster (île).
Elliee (île).
Élisabelii (île).
Jarvis (ile).
Minerve (île).
Hunter (île).
Bordelaise (île).
Füvcaux (détroit).
Banks (presqu’île).
NOMS DES CAPITAINES
NAVIRES QUI ONT DECOUVERT
Océan (navire).
Crozer.
Bristow (capitaine).
Forrcst (capitaine).
lilizabeth (na^irc).
Idem.
Idem.
Tlazclburgh (capitaine).
Laughlan (capitaine).
Dublon (capitaine).
Lazarcff (capitaine).
Nicholson (capitaine).
Pey.ster (capitaine).
Idem.
King (capitaine).
Brown (capitaine).
Minerve (navire),
nunler (capitaine).
Saliz (capitaine).
Cliase.
Idem.
ÉPOQUE.
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Id.
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Id.
1809
Id.
IdiS
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18 1 1
1812
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Id.
1 8 1 8
Id.
1819
Id.
Id.
1822
Id.
1823
1826
1809
Id.
Dans l’année 1792, le capitaine Bligh fit un
second voyage dans la mer du Sod pour remplir
la mission dans laquelle il avait échoué quelques
années auparavant. Il découvrit de nouvelles îles,
surtout dans l’archipel Viti’; mais son voyage
n’ayant point été publié, je ne puis en signaler
exactement les résultats. D’ailleurs ce marin n’a
jamais apporté une grande précision dans ses opérations.
Wilson, en 1796, fut chargé de conduire des
missionnaires dans les diverses îles de la Polynésie ;
il a le mérite d’avoir opéré avec méthode, d’avoir
visité plusieurs de ces îles, et surtout d’avoir
donné une bonne relation de son voyage. Ce
navigateur découvrit, en 1797, les îles Crescent,
Cambier, Series parmi les îles basses; Danger,
Middleton, Direction, Ross, Clusters et Farewell
dans l’archipel Viti, le groupe de Duffpvhs Santa-
Cruz, et enfin dans les Carolines les îles Tucker,
Swede, Sisters et Treize-Iles.
Une nation qu’on ne s’attendait guère à voir paraître
en lice dans ces climats, la Russie fut la première
, au dix-neuvième siècle, à y renvoyer une
expédition, et Krusenstern le premier promena le
pavillon des czars dans la mer du Sud. Son voyage,
qui s’elléctua en i 8o4 et i 8o5 , tenait plus à la
diplomatie qu’à la science; il produisit cependant
des résultats estimables, mais n’ajouta aucune terre
nouvelle à la Polynésie.
Son élève, Kotzebue, conduisit peu d’années
après dans les mêmes parages le brick le Riirick,
armé parla munificence du comte Romanzolf. Les