s AUX ISLES
oit au-deíTus de la porte de la falle.
fenêtre dévoie être ouverte jufbas,
pour donner entrée dans un
n porté par la corniche de l'ordre
ue en pilailres qui ornoit la prin-
: porte. Toutes les fenêtres étoient
§es, & l'appui étoit foûtenu par des
ures. Une grande corniche devoit
r tout autour du Bâtiment pour
r unebaUiftrade de pierre détaillé
des vafes & des globes fur les pié-
IX, pour fervir d'amortiflement.
n'y devoit point avoir de comble,
une terraiTe bien carrelée & else
, oij l'on pût aller fe promee
foir, 6c prendre le frais,
loiqueles murs principaux de ce
lent ne duiîent avoir que trois
d'épaiiTeur, je donnai fix pieds de
au fondement, & je le fis avec
£ foin imaginable,foit pour le choix
erres, foit pour le mortier & la
, afin que l'empâtement fuppleâc Emfé
de profondeur que je pouvois leur '«wei
:r, qui ne pût être que de fix àfept""'-^'
de profondeur, parce que dansf/f^l
;s endroits-là, comme je l'ai déjà aux
qué, plus on creufe & moins on
e de folidité : jufques-là même
en a où ceux qui veulent bâtir/¿.J"
quelque apparence defolidité, font
zz de niettre les premieresaffifesfur
on, à moins de.vouloir faire un
¡e qui coûteroit plus quele Bâtiqu'on
fcroic deiTus. '
in voit aiTez parce queje viens de
que j'avois difpofé ce Bâtiment
maniere à pouvoir lailTer tout l'éiu
rez de chauilee à quelques Offile
confideratioh comme unViceû
de France, ou un Lieutenant
al qui voudroienr prendre leur loit
à terre pendant leur féjour à la
nique, fans que cela nousincorac
lé ttioiiis du monde. Ainil on
_ p&u-
'Tártí. J K 7 ff".