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• NO U V E A U X 'YORAGES AUX ISXBS
vent, ne finiflint n n 3 T1 f ' i? ^^ chaleurscxceffives,.aux ^ ^
darqu'unbîlon.-kchaleurobMgedcfe iSLTd« Î 1 'Ι'"®'"
& puis ils c,.event pl . , p r o ^ p t e S ^ p ^ ^ r K e E
pre„„e„c ca„s le „ , é L chemin. Je Ilsa,iSc en du g'^ d
n . , jam»„ apprehendé beaucoup la petit Goave, del'Acul,delfi»pes&du
mort, ma,s j a, toujours m peur,des Rochelois. : , .""^ippMKdu
ma a ies & des Medecinsi & quand mon Nous ntoions nue les ParoilTes de l'Eeta
ne m auro,t pas obl.gé à une vie fterre,-de Ja petite Riviere S^uArf AZÎS:"^"'' "« f « . . v e c ^ d e s p r & S s toSi
A l'épard f e n^-n r • « j «¡u'on pourroit établir dans tout ce
S l e ' r T r t r l • ^ Sui' o ^ X u e c " t Î Î - d T ^ Î - -
C X R OE ^ - F t e S ^
nombre les a prefque toujour, e^pofez à IVo r "¿ 1
pour
m A N C a i S E S DE L^A M E R I Q V E. ifi
i.wm: pour peu qu'ils ibient malades, les Chi- fort raboteux 6c i ^ L / U ' l ^ ^ " » - JV* A i w — ncottimocies. On parrurglens
leur • enlevant plus en une fe^
maine, qu'ils ne peuvent recueillir en
un mois.
Tel a été l'état des Paroiiîes de S , Doniingue
jufqu'en 1703. quelesCapucins
loit de les accommoder, aiÎn qu'on pût
faire rouler les Carofles dans tou« ccé
Quartiers-là. Lachofene me parut pas
fi diffidile cju'on la faifoit.
, Nous fûmes fort contens dje l'Eglife
& de fes dépendances, & ericóre plus dii
abândbnherefvt toutes celles dont ils a- ^ ^ ^ ^ w v ^^
voient foin. On n'a.jamais fçû bien au Curé, dont tout le mondefeloiioit, 6c
vrai la raifon qui les y a obligez. Les uns nous difoit du bien. C'étoit alors le Pere
V i r t l l a ï a i i ^ i A ^ v*» iv^u j "—
«ïïfoie'nt qu'ils a,voient reprefenté à la
Cour qu'elles leur étoient à charge, vû
le grand nombre de Religieux qui j
irfouroieht} maisqu'eit-ce quecelapour x
desiîapucins dont on voit par tout des Commiffion. Je me convainquis, parcequafïtitcziîconfîderables?
• i i 1. Monorij du Convent delà rue S.Honoré"
à Paris. Nous employâmes cinq jours
en ce vo'iage.
Au ^retour je terminai l'affaire de ma
D'autresdi- que je vis, & entendis, que les fautes
foient que lesCommandans qui n'étoient qu'onreprochoit au Supérieur delà Mifpas
contens d'eux, s'en étoient plaints, fîon de S. Domingue, venoient de fon
& qu'on leuravoit inlânué, qu'il étoit peu d'experience & d'aptitude pour les
apropos qu'ils demandaifent à iè retirer. Maires j de forte que je fis agréer au Su-
(^oiqu'il en foit , les Peres Jefuites- perieur général qu'il fe démît entre fes
¿nPa- fuïent chôiSs par la Cour," pour rém- mains defonemp oi>&auffi-tôt que cela
f'ifs plir leurs portes, & elle partagea.en- ft]tfait,jeibngeaiàlaretraite,craignant
î?'".'" tr'eux & nous toute la partie Françoife. avec raifon que le Supérieur general,
-^lîi" Les Jefuites ont eu tous les Quartiers & les autres Religieux, ne m'engageaf-
'^m- qui font depuis Samana jufqu'à la rivie- fent à remplir ce pofte. Je le priai donc
ïms. i-g de rArtibonite^i - & noiis -tout ce qui de me permettre de retourner à la Guaeft
depuis cette riviere, jufqu'au Cap deloupe-,-ainfi que je l'avois promis au
T-iberon. Les Bglifes du Quartier de Gouverneur de cette Ifle, pour f-aire trarifle
à Vache étoient deilervies pardeg vailler felon les projets qu'on avoitenvo-
PrêtresSeculiers,que la,Compagnie en- yez en Cour. Je m'apperçûs bien-tôt
tretenoit. On avoit eu deflein de nous y qu'il avoit d'autres vûës,& qu'il differoit
établir, & les chofes étoient aiîèzavan- de jour à autre,de medonner une réponcées.
OnfiteMfuitedéspropofitionsaux fepôfitive, afiû de me faire perdre l'oc-
Jefuites, quails'né jugèrent pas à propos cafion d'uneJiarque qui remontoit aux
d'accepterde forte qu'il n'y avoit rien-: IflesduVentj mais je uitémoignai tant
dé conclu quand je fuis parti des Ifles", Sc de repugnance de relier à S. Domingue,
je doute que cette affaire foit encore q^u'àla fin il confentit à mon retour. Le
terminée. départ de la Barque m'empêcha de voir
Le 3 Fevriefj'aGcompagnai nôtre Su- ks Quartiers du grand & du petit Goa-
J'P»'- perieur general,'qui alla-faire fa-'Vifite; VÏ; ,
au Cul-derfac. Oneômpte environ tiei- ' Il eft bon d
boa de rehiarquéf, que bien des^
J _ gens fe trompent en parlant de ces Quarfaut'bien'
' mty zeliéûesdê l'Elterre jufqUes-là. Il s'ett Quar-
•Tint-: lÀc i^i P« ^ I I - C I A C I " ,
que lés chemin foient''atuffi iierSi> llsles confondent faute de les conbeaux
depuis la grandé'Riviere jufqu'au noître, comme a fait Dampier, Anglois
Gul-de f;ic, qu'ils le.font datiis toute lai; qui dans fa-Carte du Golphe de Mexipiàitoede
iieogaee. Il y s des ^endrôliS:; ^ucj marque-le Port-Paix, ou le petit
Goave,
'^fïi:;