folfliciales du Soleil y étant fort grandes, on n'a rien à craindre
des irrégularités des réfraâions, & c.
C ’eft ce qui arrive à Pondichéry, & c’efl: ce qui me
détermina à redoubler mes foins & mon attention à obferver
les hauteurs lolfticiales du Soleil, pendant le iejour que
j’avois à faire en cette ville.
Parmi un grand nombre d’obfervations exactes que j’ai
faites pour ce fujet, 8c qui donnent toutes, à peu de chofe
près, le même réfuitat ; je me contenterai d’en rapporter
trois pour chaque folitice, c’eit-à-dire, celles qui ont été
faites le plus près des lolflices.
Le lôlllice d’hiver, en 1768 , arriva à Pondichéry le 21
Décembre, à midi compté au méridien de cette ville;
j’obfervai ce jour-là, le 2 o & le 2 2 , la hauteur méridienne
du bord fupérieur du Soleil avec mon quart-de-cercle,
placé fi exaétement dans le méridien, que le centre du
Soleil pafla au centre de ma lunette, à midi de temps vrai
compté à ma pendule, que j’avois très-grand foin de régler
tous les jours. ,•
Le folitice d’été en 1 7 6 9 , arriva le 21 Juin à-onze
heures & demie du matin, &c.
J’oblèrVai ce jour-là; mais je ne pus revoir le Soleil que
le 26 & le 27 du même mois; au refte, je Pavois obfervé
plufieurs jours avant, & les obièrvations du 26 & du 27
s’accordent parfaitement enlemble & avec celle du 21.
Décembre 1768.
Hauteurs méridiennes du lord fupérieur du Soleil.
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