xjv N O M S D E S P E R S O N N E S , &eï
M D e sMa r e s t , connu par la Diffe rtation fur l’ancienne jo n â io n de l’Angleterre au
C o n t in e n t , qui a remporté le P r ix de l’Académie d’Amiens en 1 7 5 1 , & par l’Edition
fotnçoife d ’Hauksbée a v e c une préface & des n o te s , publiée en 1 7 5 4 , a donné F o n t
a in e I i G é o g r a p h ie p h y s iq u e . , . H H
M N e c k e r U fils, C ito y en de G e n e v e , Profeffeur de Mathématique en ce tte V i l le ,
:& Correfpondant de l’Académie R o y a le des Sciences de F ran c e , a donné l’article F r o t -
TEM^aB e R o m a in a fourni diffe'rens articles fut l’Hiftoire naturelle des .Mes de l’Amérique,
m ! R o b e r t d e V a v g o n d i , G éo g rap h e ordinaire du R o i , a donné F u s e a u (Géo-
graph. ) , G é o g r a p h ie ; & G l o b e . , H . . . H H
M . B o v c u u , Maître de F o rg es à V e u x -S a u le s , proch e C h â te a u v ilam , a donne le
m o t F or tin s . .. , , , , . , . . . . ,
M . D E F i l l i e r s , D o c teu r en M e d e c in e , a donne plufieurs articles de C h im ie , entr -
autres F o n d a n t , F o u r n e a u , G r é n a i l l e r , & c ..' . ? > ■ . yr.p; caé 3 v - < “’ j ï
M M . D u r i v a l l ’ aîné & U jeune ont donné différens morce au x pour c e V o lum e ,'
com m e ils ont bien voulu le faire pour les précédens. . . . . .
M . P a p i l l o n , G ra v eu r en b o is , a donné lés articles relatifs à ton A r t .
M . M a g im e l , les articles d’O rfév rerie .
M F e r d i n a n d B e r t h o u d , H o r lo g e r , l’article F u s é e (Horlogerie).
H . R o m i l l i , H o r lo g e r , l’article F r o t t e m e n t (Horlogerie).
C in q perfonnes qui ne veu len t pas être co n n u e s , nous ont donne, la p rem iè re ,1 article
G u i t t a r e ; la fé c o n d é , l’article G a ie t é ; la t ro i f iem e , les articles F o ir e & F o n d a -,
t io n ; la qu a tr ièm e , le mot G é n é r a l i t é ; & la cinquième 9 les mots F a n t a i s ie , F r a -
c i l i t ’é (Morale) -, F r i v o l i t é , & G é n ie (Littér.)
D ’autres perfonnes nous a vo ien t auffi fourni des fecours que nous n a vons pu emp
lo y e r quelquefois pa rce qu’ils font arrivés trop tard; de c e nombre e il l’artic le G r â c e
H H H G u a t c h a p é l i (B o ta n .), G u a y a q u i l (Géog.) : plus fo u v en t , ou pa rce qu’ils
on t rencontré des difficultés à la cen fu re , ou pa rce que nous n aurions pu leur faire p la c e
qu’ en fppprimant l’O u v ra g e de nos C o llè gu e s ordinaires.
M A R Q U E S D E S A U T E U R S ;
* M. D id e r o t .
) M. le B. D. H.
( D .J . ) M. le Chevalier DK JAUCOURT.'
(aI )M .B o ü c h e r d'A r g i s .
(B) M. D E C A H U s A C.
( i ) M. V e n e i .
( c ) M. Daubenton , Subdelcgué de Montbard.
(D) M. G o u s s ie r .
(J) M. d’A o m o h t .
(£) M. l’Abbé d e l a C h a p e i i e .
( e ) M. B o u r g e l a t .
{FJ Feu M. du Ma r s a i s , dont il y a encore
quelques articles dans ce Volume.
(G) Feu M. l’Abbé M a l i e t .
(g) M. B a r t h é s .
( h) M.l’Abbé Mo r e l i e t , annoncé ci-deffus.
( / ) M. Daubenton , de l'Académie des Sciences*
(K ) M. D’A R GEN V ILLE.
(L ) M. T a r i n.
{O) M. d'A i e m b e r t .
(P) M. B i o n d e l .
(Q) M. LE B lO N D .
{R ) M. L A N D O I S.
( 5 )M. R o u s s e a u , de Genefi.
(T) M. LE R o i , de l’Académie des Sciences:
(F ) M. L o u i s .
(Z) M. B e 1 1 1 n.
(£. R. M.) MM. D o u c h e t 8c Be a u z é S*
annoncés ci-deffus.
ENCYCLOPEDIE:
O U
DIC T IONNAIR E RAI SONNÉ
DES SCIENCES,
DES A R T S ET DES METIERS -
F O
O A N G , f. ni. (Comm.'J petite
monnoie d’argent qui a cours à
Siam, & qui ÿ vaut quatre fous
& la moitié d’un denier de la
nôtre, à 3 liv. iô (. l’once d’âr-
gent. Le foahg eft la moitié du
mayon. Voye£ le jbuïnaL de Siàm
de l’abbé de Choifi.
FOC A , FOC AS-, f. m. ( Hijl. nat. bot.') fruit qui
croît dans l’île de Formofe, & qui a , dit-on, la forme
& la grandeur d’une poire dê bon chrétien. Il vieiit
fur la terre comme les melons, eft d’un beau rouge
pourpre &C d’un goût exquis. Hubner, dicl. univerf.
FO C A LE , f. m. (Hijl. anc.'J efpece de mouchoir
de cou à l’ufage des anciens, qui s’en fefvoient pour
le garantir la gorge des injures de l’air. Les Allemands
ont encore le focale. Diclionn. -de Medecine,
FOEHR, ( Géogr.J petite île de la mer d’Allemagne
fur la côte occidentale de Slefwick ; fes habi-
tans confervent le langage, les moeurs, & l’habillement
des anciens Friions. Voye^ Herman ides, Dama.
defe. Long. 26^ i8r. lat. 64^46*. (D.J.'J
* FGENERATEURS, f, m. pl. ( Hijl. anc.'J c’étoient
à Rome des efpeces d’ufuriers ; ils prêtoient fur gages
, & à un gros intérêt. Ils s’affembloient autour
.de la ftatue de Janus, aux environs de l’arc Fabien
& du putéal de Libon. C e commerce odieux fut défendu
; mais on ne tarda pas à fentir la néceffité des
emprunts, & l’impoffibilité de trouver des gens qui
prêtaffent fans avoir des sûretés. On réduifit donc
l’intérêt de l’argent à une fomme modique, & on en
permit le trafic fous la forme ordinaire. Voye^ Intérêt
& USURE,
FOESNE ou FOU ANE ; fub. f. (Marine & Pêche.")
c’eit un infiniment de fer propre à la Pêche, dont
on ie fert dans les vaifleaux pour harponner la dorade
& la bonite $ l’avantclu navire, La foefne eft
Jome VU .
F (E
faite eri manière de trident, & a une corde attachée
à foii manche pour la retirer, après qu’on l’a lancée
fur le poiiTon. (Z )
FCETUS, f. in. ( Phÿjiologie,) Fcétus dans l’économie
de la nature fe dit de chaque individu formé
dans fa matrice, voye{ Matrice; dans l’économie
animale, de l’animal formé dans le ventre de fa me-
re, & par conféquent de l’enfant formé dans le fein
de la femme : c’eft de ce dernier que nous nous pro-
pofons de parler ich
Quels font les premiers principes de ce corps ?
comment commence-t-il ? Eft-il d’abord tout formé ?
& ne fait-il que fe développer? C ’eft un point que
toutes les recherches & les obfervations faites fur la
génération tendent à éclaircir. Voyei Génération.
Ainfi, fans nous arrêter aux différentes hypothèfes
que les difTerrateurs plus ou moins appuyés de faits,
ont imaginées pour expliquer les principes du développement
des corps animés, remontons à la forme
du corps humain la plus petite que les yeux les mieux
habitués à ôbferver ayent pû appercevoir. V oici ce
que nous apprendront leurs obfervations.
Les Chirurgiens, les Accoucheurs, les Anatomif-
te s , ont obfervé que trois ou quatre jours après la
conception, il y a dans la matrice une bulle o vale,
& que fept jours après la conception on peut diftin-
guer à l’oeil fimple les premiers linéamens du foetus.
Ces linéamens néanmoins ne paroiffent être qu’une
maffe d’une gelée prefque tranfparente, qui a déjà
quelque folidité, & dans laquelle on reconnoît la tête
& le tronc. Quinze jours après on commence à bien
difthmier la tête, & à reconnoître les traits les plus
apparens du vifage ; le nez n’eft encore qu’un petit
filet prééminent &: perpendiculaire à une ligne qui
indique la féparation des levres ; on voit deux points
noirs à la place des y e u x , deux petits trous à celle
des oreilles ; aux deùx côtés de la partie fupérieurç