
Drury-lane^prefenter, a emn o1in:7s 1q8u,e illes preofëutefè rneen tc hdaen gleaâ tr ele- cvaoriar âêetrree duen Phhéorcoys,a ss, ’ipl rcéhteanndgaenoti tq due’i l rnelei gpiooun,
V&u eq uaep rèless Tfopne &apaotefutarfsi en ,e qpuoeulsr raqieune t fufoffuernnti r fefas rpeemntoanrdcse,. I8lc feqmubellqe upeo uvritvaen tq quu’o’inl ppaeriogîntrîto ifta prlues
ldainggnoe ifdfee dpei tiIéo nq uaem ed,’ exilé cTrea tliaoifnf eroliot rfeqnufein dpaenrs- rieuuard ,e ra, bqauiofeiqr ul’’aavlceoc rarné.p uMgnaaisn cl’ea u&te ura vqeuci éhtoorit
dans un état de langueur, craignit que fes parreoiilts
nleeu rp erradpifpfeonrtt elre, p&ro fcito nqfuèen ctiett tàe pcihèacne gpeor ulre- caraâere de Phocyas.
d•_e detaial , ddaenss ficteutattei otnrsa ginédtéiree .fpflaunftieesu,r sd ebse apueitné-s rteufrleesx iovnivse qs u,e &Ph ocdyeas s mfaoirtc efuaur xla tmouocrht,a nlso.r fqLuees »K h(a dleidt Pl’heonc ay ams eenna cpéa,r lfaonnt t dfeo rltae sm. «o rtQ )u ,’ eso-btjue,t >> redouté & mystérieux de la plus grande ter- »9* rneuuers ?; Lleess mroaulatedsie sp',o ular tfea imtro, ulv’éepr éefo, nlte cfeoun;- »» otouuvet,r teesn upno umr oatl,l etri eàn t tnoui.i t A&r rjiovue r- l1e s- opno rtaeus; »» teenr méet a,t dda’yn s fcoen gmeor.m eLn’itn mftaênmt e eoftn pna’feféft 1 plus * fi ce font les détreffes , les agitations , 0les1 >»t laen gfoépifaferes dquu ’cilo rfapus,t jaep pcorénhneonids etro uqtu acnedla l, ’aj’mene »» caria idnédjàr ef»a.i t Eln’éfpurie teu v, e a, u-&m ojem enn’ati qpulu’isl triireen laà flèche qui lui avoit percé la poitrine , & qu’il
»m eci^’étt o5 itc < lato udte renfti èfraei t,a ns ’géoc irfifee-.t.-.i.l àe Enfuind ojc’aiei ..r.e -. ** Tnoonucse lae st oéic,r i&ts dlee mMon. dHe ungeh ems’ efoftn pt lufos rrti egno. û»
ttréasd ; uiâlsi ocnosn f&ift eonut verna gpeos éefine sp, ropfieè.c esI ld ea vthoéitâ ttrrea duit
une partie de Lucain , lorfque M. Rowe
lp’uubnliivae rtso,u tp alf’foeu vproaugre . unSeo nd eosd ep luaus créateur de belles qu’il
yon ati té etén apnugblloiéiess. Tào Lutoensd lreess peoné fi1e7s 3d9e »c eetn a udteeuuxr mvoolrucmeaeusx i nda-nizs. leIl y a de fa main quantité de : Spectateur, ainfi que dans le_. !
dTea tUVirn ;c i ,e ndtre’ auBtarecso n le, s dcea rBacotyèrlees, d8e Léonard ! valier Newton. On lui attribue l’ouvc radgue içnhtei
i dtuolné t : lTa hef éclaony-dmé onédafiiteiornii , pfauriutet dàu LSopnedctraetse uern,
d1 i7ti^o4n’ la plus Eexnafiâne oqnu ’odno iati tà d eMs . Hughes l’é(
OEuvres d'Edmond
S p en c e r? Londres 1 7 1 5 , en fix vol. in -iz. àP nla a têAmtei s duu n parbemréigeér dveo lfuam ve ied e& f eds e Pfoees mésç roitns
fevcral occajîons , London 133$ , in-ix. Ajoutons qu’un des grands amis de M. Hyde,
I Mfr. Aa djÜd*i/flroeSn , mé,et‘o^ite ucrosm péacrtrivioatien sd ed c’Ae nbgelle teeirprrei t,y
sh1 mnea q, ui&t a oW’efiltt olàn ,q uaeu trneofouiss caavpointsa led odnun Wé fîo’tu- article.
Mais l’Angleterre a produit dans le dix-
feptieme fiècle , un auteur des plus célèbres ,
lavoir Hobbes , dont on a parlé à l’article Hob-
. T ? qu,il na(iuic à Malmelbury en
wiltshire , & qu’ il mourut en 1670 , à 91
ans. Cet écrivain efl: aujourd’hui fort négli-
ge , ce parce qu’un fyflême phylique ou mé-
» taphyfique, dit M. Humes , doit oidinaire-
» ment ion i accès à la nouveauté, 8c n’eft
M ? a-3i , Pi UtOC aPfrof°ndi , qu’on * découvre fa
n xoibleiTe. La politique de HobfiÈs n’eft propre
» qu a favorifer la tyrannie , & fa morale qu’à
» nourrir la licence. Quoiqu’ennemi de toute
p leiigion , il n’ a rien de l’efprit du feerti-?
» cifme ; il efl auffi déciiif que fi la raifon.
•> humaine , & la lienne en particulier , pou^
,» voient atteindre a la parfaite conviélion. La
» propriété des termes & la clarté du ftyle ,
» font le principal mérite de fes écrits. Dans
» on caraâère ,perfonnel , on le repréfente
» comme un homme vertueux : ce qui feroic
» tres-etonnant. Un des grands défauts qu’on
» lui reproche , eft une exceflive timidité ;
» il parvint a la dernière vieilleife fans avoir K
| P“ C® réconcilier avec l’idée de la mort,
» La hardieffe de fes opinions & de fes maximes,
» orme un contrafté très - remarquable avec
» cette partie de fon caractère. » (R.)
a ^ HÀUSEN , petite ville & baillag©
de la baffe-Helfe, fur la Werra. (R A 'WlM.BERG.'Proye{ w interboürg.
WMBORNMIN STE R , W imburnminster J
ou Wimburminster. Voye{ fous cette dernière
orthographe.
’ OU WlNBURMINSTER ,
ville d Angleterre , dans le Dorfet-shire, fur le
bord de la Stoure. Elle s’eft élevée fur les ruines
« ? § PlaJ.e ancienne nommée Vindugladia -ou
vindogladia : ce qui, en langue galloife, lignifie
entre deux rivières , parce qu’elle-étoit entre les
rivières de la Stoure & de l’A len , qui vient
du nord y apporter fes eaux. Les Saxons l’ap-
pellerent ty inhurnham ou Wimburminjîer, à
caufe d uii ancien monaftère qui y fut fondé en
713 par la princeffe Cuthburgue. Il s’y fait
beaucoup d’aiguilles à tricot. On y voit un col-
^ége pour l’inftruétion de la jeuneffe , fondé par
la princeffe Marguerite , comteffe de Richmond ,
mere du roi Henri VII. On y voit auffi. une
affez belle ég lilê , avec un clocher chargé d’une
aiguille extrêmement haute. Le choeur eft occupé
par les tombeaux de divers princes 8c prin-
ceffes , entre lefquels on remarque celui du roi
Echeldred, dont l’épitaphe dit : in hoc laco quief-
cit corpus fa n â t Etheldredi regis WeJÎ-Saxonum j,
'W I N
ftiartyr ïs , q ui ânno D om in i 86y , z 3ff j 4p r i li s
f e r manus Dano rum paganorum occubuit. (A .)
WIMBURN. Voyei Wimbornminster.
■ WIMPFÈN ,. ou 'Wimpffem , ville d’A llemagne
, dans la Souabe , au Creighow , fur la
gauche du Necker, à l’embouchure du J a g fl, à
deux lieues au nord d’Hailbron. Elle eft impériale
,. petite, mais peuplée. Elle fut prrfe en
1A45 par le duc d’Enghien ; 8c en 1775. elle fut
affranchie du droit d’aubaine en France. Quelques
uns croient, fans aucune preuve, que c’eft
^’ancienne Cornelia. Long. &6, .45 ; lat. 49 , 28.
WIMSBERG, bourg de Franconie , illuftré
fa r la naiffance de (Ecolampade ( Jean ) en 1482.
Sesparens , qui étoientà leur aile , eurent grand
foin de fon éducation. Ils le deftinoienc à la
jurifprudence ; mais il £e confacra tout entier- à
l’étude de la théologie, apprit la langue grecque
de Reuchlin , & l ’hébreu d’un efpagnol. Il mé-
jprifa les fubtilités de S cot, & les. ergoteries des.
icholaftiques, curieux d’une fcience qui fût utile.
Ï1 aida Erafme dans, l’édition de fes notes fur
le nouveau Teftament r & c’eft Erafme lui-même
qui nous apprend cette particularité-
En 1522 il. fut nommé profelîeur en théoîogie
à Bâle. Peu de temps après., la réformatioiv
s’établit dans cette v ille , & (Ecolampade y eut
beaucoup de part. I l mourut de la pefte en. 1531
âgé de 49 ans. | ,
C’étoit un théologien favant, irréprochable
dans fes. moeurs , 8c qui ne cherchoit qu’à faire
régner la paix dans l’ëglife , comme il paroît
dans toutes, les conférences de religion qu’ il eut
avec Luther,. Il publia des. commentaires, latins
fur plufieurs. livres du vieux & du nouveau tef-
tarçient. Il donna en 1521 , fon petit ouvrage
intitulé de vero intelledu verborum Domini : hoc
efl corpus meum. Erafme ayant lu cet ouvrage r
écrivit a Bede qu’CEcolampade avoit fait fur
l’Euchariftie un livre fi fayant, fi bien raifonné, :
& appuyé de tant d’autorités des pères , qu’il
fourrôit féduire les élus mêmes.
WINANDER-MEER, lac d’Angleterre, dans..
le Lancashire ; c’eft le plus grand qu’il y ait dans
ce royaume.. Il a dix milles de long & quatre,
de large. Son fond, eft un- rocher prefque continuel
; fon. eau. eft belle 8c limpide. Il nourrit
beaucoup de poiffons., & fur-tout un poiffon
tresi-délicat., qu’on appelle charr. A la tête de
ce lac.,'on tronve.lès débris d’une ancienne ville,
qu’on croit être VAmboglana des. Romains ,
& tout appuie cette conjeéhire-
v WIÎSTCHELCOMB, ou WinchCômb ,. Bourg
a, marché d’Angleterre , en Gloceftershire..
VKINCHELSÉY ,. petite ville d’Angleterre,,
dans, le comté de Suffêx,. fur ie bord de. la mer,
a l’ëmbouchure de lat Ryê*. Cette: ville a*, titre“
de. comté;, e!eft:un. des» cinq ports» du. royaume..
W 1 N
Elle ênvoie àeux députés en parlement. Long,
. z8 , <13 ,* lat. 50 , 52.
WINCHESTER , belle & confidérable vill#
d’Angleterre', capitale du Hampshire, fur le
bord de lTtching, à 18 milles au f. e. de Sa-
•lifbury, & , à- 60 f. o. de Londres. Long. 16 >
slo'3 lat. 10 , 3.
Cette ville , nommée en latin Vintonïa, eft
auffi- remarquable par fon ancienneté , que par
le fiége épifcopal dont elle eft honorée depuis
long-temps. Les Romains l’ont connue fous le
nom de Venta bclgarum ; après e u x , les Bretons
l’appellèrent Caer - gwent, & les Saxons;
Wintan-cefier, d’ou l’on a fait JVincheJler.
Les rois Saxons réfidèrent à Winchefter, mais
elle a beaucoup fouffert fous» les Danois , &
fous le règne d’Etienne ; 8c elle eft tellement
déchue aujourd’hui , que de trente-deux églifes
il n’y en refte plus que fix. Elle a environ un'-
mille de l’orient à l’occident ; les rues en font
larges. &■ propres, 8c c’eft le féjour d’un affez'.
grand nombre de familles nobles,. & de citoyens.
aifés.
Cette ville eft le fiége d’ un évêché, l’un des;
mieux rentés de l’Angleterre ; il n’a cependant
que 35.0° fiv» fterl. de revenu. L’évêque eft fuf-
fragant' de Cantorberi. Il a fous, fa jurifdiaion
fpirituelle:, les. dèux provinces de Hampshire &
d’e Surrey, avec les îles de, Jerfey & de Guer-
nefey. Un évêque de Winchefter , nommé Guillaume
Wickham, a fondé dans- cette ville un;
beau & illuftré collège,, qù l’on entretient un;
principal, dix fellows ou affociés, deux feho-
larques, 8c foixante & dix écoliers, qu’on tire-
dé la quand ils. font avancés pour les envoyer"
a Oxford , au collège neuf qui a été fondé pat"
le même prélat.
C’eft dans, cette ville que l’an de JéfüsChriff:
407 > le tyran Gonftantin fut proclamé empereur
par fes foldats , contre l ’obéiffance qu’ils;
dévoient à. Honorius ; 8c il tira fon fils Confiant
d’un monaftère de cette même v ille , pour'
le faire revêtir de la pourpre ; mais ils périrent
bientôt tous, deux ,> après, avoir eu quelques, he.u*-
reux fuccès.
Les. Saxons , à leur arrivée dans le pays, trouvèrent
Winchefter. fi confidérable , que les rois; •
de Weft-Sex la choifirent pour le lieu- de leur
réfidence,. y établirent un fiége épifcopal',. une-
monnoie.,, & y bâtirent un grand nombre:
d'églifesv
Après là conquête des Normands , les archives;
dé la province furent mifes* à< Winchefter. Le:
roi) Edouard: III . y établit-, une. étape pour, le-
commerce des. laines» & des- draperies-.,, ce quii
la rendit eRfcore plus» floriffante.. Aujourd’hui:elle:
contient, encore-cinq; paroiffes-, un1 palàis.épif-
c o p a lu n château , une églife cathédrale fu -
perbe.,, 8c~ un. hôteb-de-vüle: au.l’ûmmontre:uneî