= 3 F if| • ri r if • I
àio ROMIK MS HABITATIONS DES ESPÈCES.
4
hit
h
t
hjt ; -
' • (
Vii
!
i
• f •: • > Î
movee (Eoepéd de ¥or n • r. ' ' P' ^^^
» o r a i ^ n i h c r a linearis, B enth. - I l e s du cap Vert (Webb in Fl ^
Senegambie, Cordofan, Égypte supérieure, Arabie ^
l l e r Z ^ n n e f " v " ' ? ' P™me, dans le pays des Birmans. -
Lone, journ. BoL, -1844 et -I 8/,.7) et Madère (Lemann, liste), m L croît sur
e contment^européo-asiatique, du Danemark (Fries, S « « ; . . ) de
L vonie(Ledeb iîo.s,, III, p de Wiatka et Perm(,;/), j u s q . S p t
TH;. K c non la Sicile (Bertol., Guss.), jusqu'à la
Thrace (Griseb., SpMl., 11, p. 32), la Bithynie (Sibth., Prod Fl Gr p 10
au nord de laClnne, de M. Bunge. ~ M . Bentham en cite un échantillon ^emnt
des parties méridionales des États-Unis, chose assurément remarqua s i X
^^^ ^^ ^^Vè s M L'cÎ
s o n ' ^ r f T f A«- - Manque aux îles Britanniques, Açores (Waton,
Lona. Journ. Bol., ^ 8/,4 et 847) et Madère (Lemann, liste mss ) • n ais se
irouve dans les marais et lieux mondés sur le continent euro'péen, en F ¡ n ^ d
bor s de la Dorclogne (Laterr., Fi. Bor,.^ 4= édit.), à Oriéans (MIU Î^ T I
Sy! I J T orientale jus^en Silésie (K;ch:
V Î/n ' f r P- septentrionale (Bertol,, k. It
I P ^^ ^ • - f « f ^^^^ Floresde Vienne (Neilr.), de Moravie (Rohr ^t Mev )'
Posen (Sac^L, Endi:), de GalHcie (Zawadski). - Se trouve en ï r a n s j d l ^
. ïr - P'"« à rembouchuro dJvoga
(Ledeb., Fl. i?o...,III, p. 22S) et au midi du Caucase(id. et h DG )
• (V. spuria, ejusd.).~Italieseptentrionale et Lithuan.
e (Ledeb., ite., Ill, p. 23i). Les localités plus occidentales sontdouteZs
ou proviennent de naturalisations fortuites. De l'Europe orientale, l'espècese pron
a ^ î f e t T j l p o n ' septentrio-
V c o n î c i i l«ngîf«lia, !.. (V. maritima, ejusd.). - Russie arctique, Laponie
et péninsule scandinave (Fries, Summa veg. Scand., p. 1 8 ; Ledeb., FL Boss., Ill,
HABITATIONS' PLÛS ÉTENDUES DANS UI^ SENS. Ail
p. 233), Berlin (Kiinth, Fl. Ber., Il, p. Eollmàe {Prodr. Fl. Bat.,
p. 174). Manque aux îles Britanniques, à la Belgique (Lestib., Bot, Belg.)^ à la
Flore de Paris, du centre de la France (Boreau), de Lorraine (Godron), à l'Italie,
d'où je présume que les locaiités des Landes et des Pyrénées (Mut., FL Fr., II,
p. 392) sont douteuses. — De FAllemagneet de la Russie, elle se prolonge vers
la Crimée et le fleuve Terek (Le'deb., 1. c.), la Sibérie, l'Aitaï, la Daourie et le
Japon.
T e r o n î c a Anagallis, L. — I.es régions tempérées de tout l'hémisphère boréal,
savoir, dans l'ancien moMe : des îles Canaries, de i'Ëgypte moyenne, du
nord de r inde et du Japon, à l'Islande (Hook., Journ.)^ la Dalécarlie (Wahl,
FL Suec. I, p. 9), Wiatka (C.-A. Mey., Beitr. Pjlanzk. RassL), Kasan (Ledeb.,
FLRoss.., I l l , p. 236), en Sibérie et au Kamtschatka (Ledeb.), c'est-à-dire
du 28-26® degré latitude nord au 62^ dans l'ouest, et au 58^ environ dans la
Russie orienfale. — En Amériqu'e : à Sitcha (Bongard), dans le Canada, mais
non au Labrador (E. Mey. Labrad.), aux États-Unis jusqu'au Texas (Borland,
daïis Webb, Phyt. Can., p. 148), et la Caroline (Beck, Bot.), c'est-à-dire des
30® et 34® degrés latitude jusqu'à une limite inconnue vers le nord. — On l'a
trouvé au Cap; mais M. Bentham soupçonne qu'il y a été introduit. Il me
semble peu probable, en effet, qu'une plante aussi répandue dans l'hémisphère
boréal, fût limitée à un seul point dans l'hémisphère austral, si elle y était originaire.
Veroiiic'a Becëaibiuh^à, — Régions tempéi^ées de TEurope et de l'Asie,
à peu près comme l'espèce précédente, mais moins avancée au midi. — Espagne
méridionale (Boiss., Foy., II, p.^468), Alger, Morée (ÈxpecL Grèce)^ Caboul
et l'Himalaya; mais non indiquée au Japon (Thunb.), à Madère (Lemann,
liste mss.), ni aui Açores (Wats., Lond.Jottrn. Bot.., 1 844 et 1847), où croît le
Veronica Anagallis. — On le cite cépêndant aux Canaries (de Buch, Can.), où
M. Webb ne l'a pas vu [Phyt, Can.) et dans les montagnes d'AbysSinie. —
Vers le nordjusqu'en Islande (Hook., Journ. Icel.)^ en Suède jusqu'au littoral du
Nordland (Wahl., FL Suec., f, p. 9), en Finlande (Ledeb.), à Wiatka (C.-A.
Mey., Beiit. Pflanzk. Riiss., V, p. 36), dans la Sibérie, les îles de Behring
(Ledeb.) et Unalaschka(Ledeb., Fl. Ross.). — En résumé (sauf l'Abyssinie et les
Canaries), des 36-26*= degrés de latitude nord ait 62^-63^ environ en Europe.—
Le Veronica Beccabunga dès auteurs américains est le Veronica americana (Asa
Gray, BòL it. Amer, st.).
Verònica Tcûcrîiiin, t . — Etìrope tempérée et méridionale, Asie moyenne
jusqu'à Irkoutzk et les monts Targabatai. —La complication de la synonymie ne
permet pas âè préciser lës limites dè' cette habitation indiquée par M. Bentham.
Jê ¿rois qu'èlle s'étend moins au nord et au midi.
Veronica scùtcliatiij Î,. — Hémisphère boréal. — Èn Europe : aux Oròades
(Wats., liste mss.), mais ilon aux Feroë (TreVel, Vég. Fer.)^ en Laponie
(Fries, Summa vêg. Scand.), en Finlande (Ledêb., Fl. Ross., III, p. 244), à
Easan [id.], et de là vers la Sibérie orientale [id,). Du côté du midi, je ne trouve
pas l'espèce indiquée aux Canaries, à Madère et aux AçoTes(Wats., Lond. Journ.
Bot., 1844 et 1847), ni en Sicile (Guss.) et en Morée {Expéd. Morée) ; mais elle
s'avancejusqu'en Algérie et dans le royaume dëNaples. L'habitation devient plus
étroite à l'oi^ient, car l'espèce manque à laturquie européenrie et au Caucase. —
En Amériqud, elle traverse du nord-ouest (Hook., FI: Bor. im., II, p. 1 ffl) aui
t'i h