
G.
Ganglions encépItaliques desimertébrès. Leur détermination, I , 402?
ce qu’est l’anneau oesophagien des insectes , I I , 16.
Genoux interne et externe. Ce que sont ces tubercules, II, 4^5 ; leur
position et leur volume, ibid.
Glande pinéale, voyez Epiphyse cérébrale.
Glande pituitaire, voyez Hypophyse cérébrale.
H.
Hémisphères cérébraux. Leur état chez l’embryon des oiseaux , aux
différentes époques de l’incubation, I , 6-51 ; chez celui des
reptiles aux différentes époques de formation , 61 ; leurs dimensions
chez le poulet pendant l’incubation, 35 ; chez le têtard , 8x ;
leur développement chez l’embryon de l’homme et des mammifères,
86, i4a ; détermination chez les poissons, 202; ils sont
toujours en rapport avec le faisceau antérieur de la moelle épinière,
567 ; se forment en sens inverse du cervelet, 571 ; leurs
formes générales, II, 428; leur volume et leurs formes chez les
mammifères, 43g , 545 et 551 , et chez les paissons, 5 16 et 520 ;
ils ont été chez ces derniers pris pour le lobe olfactif, 5 i 6 ; leur
volume et leur forme chez les reptiles, 527 et 533; et chez les
oiseaux, 53g ; nombre de leurs lobes chez les mammifères, 545 ;
rapports de développement de leurs divers élémens, 677.
Hypophyse cérébrale ( glande pituitaire). Sa position, H, 429 et 4g2 ;
ses modifications chez les mammifères , 4g2 • c^ez ^es °^seaux ’
chez les reptiles, 49^ > chez les poissons, 49® •
I.
Insectes. Supérieurs aux Mollusques par le degré de développement
de leur système nerveux , II, 23.
inter par iétal. Son étendue est en rapport avec le volume des tubercules
quadrijumeaux, I I , 333.
Lobe olfactif. Sa détermination chez les poissons osseux, I , 208;
chez les cartilagineux, 244 '» rapports avec celui des autres classes,
209; sa position, I I , 480; causes de ses nombreuses variations
de position, 566 ; sa saillie coïncide avec la projection en avant
de la face, 567 ; ses formes , son volume et sa position chez les
poissons, 568; chez les reptiles, 570; chez les oiseaux, 572 : chez
les mammifères, 5q5.
L.
Lobes optiques (tubercules quadrijumeaux). Leur état chez l’embryon
des oiseaux aux différentes époques de formation, I , i 4-46 ; chez
celui des reptiles, 60 ; chez celui de l’homme et des mammifères,
86 et i 32 : leur détermination chez les poissons , ig4 ; ils sont
très-développés chez la taupe et plusieurs autres vertébrés privés
de nerfs optiques, 351 ; sont toujours en rapport avec le faisceau
moyen de la moelle épinière , 568 ; grandes différences qu’ils
présentent suivant les classes et les âges ,x II, 253; leurs formes
primitives, ; leur développement, leur position , leurs formes
et leur volume chez les reptiles, 260 ; chez les oiseaux, 265 ; chez
les mammifères, 2g 1 ; déterminations données chez les oiseaux,
par Tréviranus, 281 et 436 ; et par M. de Blainville, 290 ; oblitération
de leur cavité interne chez les mammifères, 296 ; et apparition
des sillons transversaux, 297 ; rapport des tubercules quadrijumeaux
entre eux chez les mammifères, 298 ; formes et volume
chez les poissons, 3oo ; cavité interne, 3o5 ; tori, 307;
membrane interne, 312 ; ils ont été pris pour les hémisphères
dans cette classe , 3i 8 ; cette détermination ne peut être admise,
320 ; influence de leurs variations sur l’état général de l’encéphale
des quatre classes, 32 2 ; ils se développent en raison directe de la
moelle épinière, 324» de plusieurs autres parties du système nerveux
, 326 ; des yeux et des nerfs optiques, ibid. ; exceptions ,32g;
rapports avec l’étendue des interparié taux, 333 ; rapports généraux
avec les autres parties de l’encéphale, 355.
Lobule de l’hippocampe. Ses rapports de développement, I, 175;’et
H, 548.
Lobule optique. Sa position, I I , 4f)8 ; ses modifications chez les mammifères,
chez les oiseaux, 5o5; chez les reptiles, 507:; chez
les poissons, 5o8 ; il paraît manquer chez divers cétacés, 5oo.