
§ 4 M E T
' Lests types ordinaires Font s
TJn épi d^rge.
: Trois grains d'orge«
>■ MÉTARCHA ( Mufiq, des anc.')-, tr&ifietne
; ME TA r© £ . «0 n appelite •sitiM | t e kifeuji de '
chaque-légion 1 oû dès centurions; qui, .Içrfque 1
1*armée étoit ' en marche , la précedoiént- pouf >
tracer la place du camp * & affignej: le quartier à ,
chaque bavailjon : M e tttto re sdit V é g q te lf'ÿ “* i
precedentes locum eligunt cajiris ( z7. ). Ces nujjé- *
cha'ux. dés ^ogis déiignoien t d'abord le hpp. ah ;
devoit être l,a -tente du .général de l'armé^,, ils
jy pja'ntoiêat qn'étehdaVt ; puis,ils marqudient‘,,eh '
^ratant filions, la place que ‘devôit dç,duper'
chaque légion*, enTorte'que lorfqüe,l’armée arri-
,yoit, ^hacyn' tecobnoiffoit- où’ il 'devçît - t e e , &
que lesrîbldats qnkbrent dans leur nouyeao’parnp,',
comme ç}aps‘ uneville dans laquelle ‘ils,auroient eu
cotitume d'habiter. -
: 'là E T A i ï , ' ; f î 7 t *
' M E T A X I A Tlt.'ü'M: ƒ Le grec ptrul*
défignoit Je fil le plus' ■précieux . celui 'de-foie.
L’irhpot mis fur cettë matière fi chère pour les,
romains fut appellce métaxiaiicum,
/ M E TE L IS v dahs F Égypte, m etha i!
Cetté ville a faîrfrapper des médailles impé-
rialèsgrèc'guês’eh rhonne ted’Hadrien.
METELLUS-; furnom de la famille Cæctt.ts.u
: M É T EM P S Y CO SE ,* tranfmigfation déd&met
daès dilféaiens'xorps. d’hpmmeS^ dlaaitetix ou dei,
plantes. ( C e mot eft formé des prépofitions frir« » j
inter,/('»;'-te*,V&; de , a««! )k EescprêtrçSj
.égyptiens âdmettoientmne -oèrcufatsoâi perpétuelle)
des âmes dans; différens *:;èbrpS^d!ahimaux
.reftres , aquatiques, .volatiles-, d«où elles révê-,
-noient animer des corps d’hommes circuit-
• qu’ elles achevoieiit ien tïqîssmflle ans. ;Gette djpé .
-trine. étoit fondée fur Fimmomlitéîde l’ame , für
la néceflké'de récomptenferla vertni&f de .pnîteèef
v ic e , & fur l’origine du mal moral & du mal,
phyfique. •
Si l ’on demandoit àPythagore : •Pbufqàbi «les,,
hommes font-ils doublement .malheureux fur la*
. tçrre , & g à T l^ ^ t e | c e s ^ u ’ils jçnt cr jindrei
dès obfëts d'U,tenons ,"8 f'p a r les'inquieradesi
qu’ils fe procurent fans ceffe au*-dqdans d’eux-;
mêmes ? Sa téponJe. étoit que cette 'vie,pft ja.pu-1
riitiahd’une v:ie_'afiiérieurè , que.-famé de l q t e . i
.me , par fes délits immodérés.; s’elTifepareê âé
M E T
Patrie du monde, qui eft Dieu même, à qui elle
'étoit unie d'e- fa"'nature. Auparavant qu'elle s'y
‘rejoigne , ;il fauèq’u’ellefubiffe plufiçurs épreuves,
'qu’elle change fourrent de prifon , qu’elle répare
fes anciennes fautes » en-animant-un Ceftairt-nom-
b're de ' porpls. Origène , philofophé chrétien ,
atioptoit la même idée;- 'Pourquoi Dieu avoit-il
Crée le monde f C'eft , «félon lui ; pour-punirMes
âmes qui avoient failli-dansEle-ctel1; qui s e toi en t
écartées de l ’o rdre, afin que les intelligences né*
•gr»dl#^!iqïtf > devotèiït < ,êtr,e'.*eteŸelièi,datS’:|i6s..'
corps , fouffrxffent davantage. >
La plupart* «dés. philofophes grecs & des orientaux
crayroient que-les amas féjbar-noient tbqr-à-
t'outodanslts corps de différens animaux'y'paffaient
,des'plH?>n<>bleteux plus y ils , des plus- téaifetr-
■ nablesiaux plus fîùpides, & cela fuivàntjlesWértus
• qu’elle^ avoient pratiquées j ou les jyisees dont elles
'Æ’émîsnt*-Touillées* dans le cqjirs dé chaque'iie.
Plufieuts ajout oient que la' même am'é,‘ pojur Mirer
oit de peines, allait.enoore s’tnfevélir dans |jie
plante ou dans upe arbre, peEfUadés,qiietoûî ce
qui végété a du fentîmeftt, oc partfcii^' à’ Tmtel-
ligenceuniverfeHè. Lucainlappèlle' cfcttéverreur un
officieuxrjhenronge, qui épargne les frayedls de
la mort, 8c qui entretientwdahi'la,.douce .pçnfée
que'tPamé ne. fait que ch'angèr de tdemeurp > &
quon ne ceffe de .vivre que pour'-,reqotnrnèncer
une autre vie. Cette dqâàpe«fait eo|stfFi|®ttr."
d hui le 'pr.ncipali,fondement de la religion de
T’Inde Sc dè.ïaChinev. q
METOMPTOSE*/Oh fe fert de ce/nof dans
lestraitëS'dû calendrier,pour exprimerjjl'équa^m
folaire, qiKiI ‘ faut ffije tpoui; xmpecHéjflMMles
houvelks lunes n”arrivent ' unijptyt4 ®|opl'|t,à'rd ;
commSbn’ nommepw&mfcfeou éqtm|wp^f^e!,
icelles; qu’il faut fairérpour .ewtpeéljef q.uê’K s
ncaivelles-ilunes. n’arteent un îjqtiir?jtr-o'p ,tôr. L es
nouvelles lunesjjennent dlun jpur.-èntierplutôt au
boqt de/312 ansloc demi. Amfi,pareettejë^pm.p-
ttùiè., ton.hjoutg un jour -ans, les 30s dns de
-prus tous*!«' 2400, ans,■ Dia-ilhnts --a .oaufelfde la
métemptàfc.j il Emtifup.piimer un biifext^eYignis
les 134 ans! 'jc’eft-àdlire , tro 1 s‘ fo i s* e n ^40 or. 0%'ne
-fait ces chîngèmens,qu’au bout'dexhaque-fiecle ,
parce que jee terme ’ tlKplus remarquable.^ &
rend la pratique du-calendrier plus aiipà.MlE-a
ttdis iiiègles, pour faire ,cst changement d’addibon
louidetfiippr^ffitedu joufc, b.ffextîlè, & palHmfé-
quent pour changer l^indice 'des ép^éles. 1 .Quand
iil y a métempiafi,fans proëmptafe 0 il faut prendre
i;ljmdicè'\fuivant ;ou,, îr-ferieur. 1 ., Qu-apd il 1^; a
^ptoemptofe i£ans.‘wéfe«ptoÆ, prend * & 4lice
& niétemptofe $ ou’qu il n y a ni rudenin?4Utr&4,qn
garde le mmoï ind ce. Ainfi tetéo© <on avoi| D.
r'En-iy.çiëiy/îà .cat'Té de la méterflfnofp'^àn prend C.
• En.d 800 il y a proëmptofè 8c méunfptojp,, dijinfi
M ET
I n revendra Vindicç, C . En '19QO il y aura encote
fhétemptofe 1 & eh prendra B , qu'o'n (retiendra en
R000’, parce/ qulih n'y autâ ni l’une'éhTlàutïel. 1
^oyt^Claviu'S qui a tair'leoai’ctil ■ d’ùfi ’éfcle'-de’, !,
bout duquel teqjbs-lesmêmês indices
»viennent & dans-lèiifiême ôrdïé.
I Ce tpot vient de' irîrfa } je tombe j & dé
f c / t e - '
K MËTEIylSOMATOSE, terme grec & dog-
BnatiqueW,Sdon't. ow trouver! tliexpUt-atlon' daiîs*.
■ ’exemplç^qui fuit. La deftuïée de l’ame au fortfr*
Bu corp^j-dansde fyltême des druide^ p n’efl: pg|;,
Eue chme-îStsfiei-decider. Admettoient-fis^ilbe
métempfycoïé .ou^qiep 'ûne‘fmnfpfomafoj}^1 ciétr-
E-dire j .admettoient-ils le retouxde^ âmes dans de
Rouve^df- xorps -(Æmla^la* jnétempfyçjq^.) , jou
Emplement.^teg'npient-ils-.ùi^pjiy^ihcpnnii
les amtsjalliff nt apiès la mott t Crnyoi4Dtjilv*]p|
B e poe,de? âmes, Hbhrïp'lùfeurs-hatltfus fauvàg'es
f ( rol£vt aujpiixflfhi$i.dp!ait.a.l'1 J C ’elt ce qutpn
B [ uielonj.^j* ,
I T ^ ^ O R O M ^ N Ç i ÎE ’ , divipatîqn*^>ar les
B é teq S s j.;8e cqnjme'les, météores ‘ignés font ceux
Bui'j.et^^l^'pliiS’ de q^icite parmifjes hommes;,
■ a r&iqMmc&ciê'^tfigné p^tteteientda di-vina’tioij ]
Bar le ' K q d n e r l e Ce||e,,éfpèûe dé
■ ivinatloh palïa dès.jtpRfsh5'* romains , fai}^
Bien perare" des;|eekqî| ellg a\o,t de hivole. S<.y
Bièqqe^ous appfençi qué^fieiix auteurs graves ,-;8e
K]u,h avoièpt exercé des magjftratures ,]gcr®i,qient
à RomeÆar,. ‘cette- matieie. Ilfernhielmême que
B'utl^tejîx l’épuffa euriéïïeinent’j car îl'jdôbnèit
Kn e liflg?e?aa|^les differentes oipeqes.de ton-
Berrqs. Il-tcirçonjîa^^it & leufs4îoms & lés -pro-
■ i» » q u S é n ' pou^Hiffi tirer j lë|tout avec Un
K ir de çônfiàneefplus îùrprénaht encore que*-1®,
Khc[^s».qu'4-_ WjP^otyiiit, Qt% ëut'jdl^^jtantî'cette
Kn a t i è-çe', rr\hêoro logiq u^} 1 pi, étoit familière , qu’il"
K om g tp i - f .t a b le a u x de -fa galeriet, ou qu'il
Bfalîoit^la defeription des’ fleurs de fon jardin.
B M E TH AtfAi-^ ii^ -l’Argofide. me.©ànÀ-iû n .
K Gett'e -ville a fait frapper^del ra'édaîllés”impÇ”
I riales grecques efi f honneur de Julia Domna &c de
BCairacalla. -t"
B METHON.t -tT-ayei M é t o n /
B ME TH ON Ç', danst^Macédoine.
I Gbltzius feul a attribué déstóédailles impériales
■ Sftcqé^a- cette v,lllç.
I 'Meth6 n i&u e ,7 „ . . .
1 methonien I ƒ Me-
K r o S i ' -*'M
M E T
'METHRÈS T péri t-ftls^d'Agéflor / & aïeul'de
Didon; •
M E T H V E R , furnom^d’Jfis T’qtefifem'fie en
çopfhe “fcltïhe'j dèïfoKë' créatrice fôuklonskiï pantki■ !
£gypt.'Éb\ :UI.
M E TH Y D R IU U , vi}1^.4 fArtea’die, ddnt± fef
né’ vhit des médaillés que dans Coltziüs. / 1
WHFsyèivoirpfèsde'céttetvillehn fVmpîeïdé Nép"
mûé§§ùçMè¥'ùu\Utp/$tf,* & hrîe mhtiéafe'ne Jirr-
nomméè tkâàrhafle\ oti mtfdeutèufeîlOriFtfefoit que
ÿjriïcîèKetdriontaghet-ICybèle,,açequqhép de Ju-
piteii^.avoit' tçqmpé Saturne, ert luf ‘donnant à
dêqp|èqu|fe,7pjerreJâtÈ lisu de 1-’enfant qu'elle mie
au morte. siOn y;'rtoatfojt vapfli Hajcayerpe de
cette daeffe , danÿ'laÿjrjelle bjj. ne "lajitoît entrer
t ^h'ej&es 'fe ih te ÿ cattfafciiees' à fon cul-té*< 1
v METMYMNA J danï)l’|pdej.Le^bosv..MA©ï U
mhqymnaIisîn« l
ÏU.R R R . en .'at-gète s1’
“O . .en ,or. ,
R: en-hron-ie.- r
'^ K u r w p h s ordinaires fo^t i
, V jÇn® rey_»vf|
^ ) 'Uhë 'diotéi -1 4
-Dp
Cette ville à'fait frappfer, fous l’autorité de fes
préteurs. , des 'm'édâjlles impé.ria!es’'g.recques en
TJtehfeur de ‘Domitien > de Fâuftine jeune, de
SeptimêhS&ire jttM, 0 r ip n 'p <dé^6tta‘’T
leXandre' Séyèrë^ de Commerae , ' ’de Liviê avec
’Aûgulte-, ‘&-dé-Trajan.
' M É TH YM N E ^ vjife -fituée, à-la «partie-ocj
cidentale^de. l'xle de .Lesbos. Elle, étoit cdjqbre
par fes‘liions v f e Eétolt “'ençïïre ,par la naif-
fau,èef d’Arion > qü® jette dans la nier, fût reçu
*t8è./p>qftétpar un ,cbiHphjn,jufou’ au capj^énate,
-près.de Lacédégiopf) y Voyoït.du .t.empslde
Paufanias fa fiatue affile fur un dauphin, t
Elle avoir pris fou nom-dé- Methymna, fille de
■ Macaris.
- METI&Efièrtal- ;0 q 5croit que c'éft la porte
Efqufiîne M®ie''Plaule indique fods ce rfom dans
les vers futvans (J^jkddoMs , 1. 3. A ;
Extra portant Metiamt currendum eft,prîtes
Lanios M è arâejfam-dlL0S',çutn t 'ùnimadbu.lis.
M É T ICH É E , tribunal d'Athènes. Il falloîf