n. de „ . Olympiades. Ann. Vùnqueurs.'
r vuîg.
t C X C V . Pammenes.
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J C X C V I I ' Âftaticus.
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9 C X C V I I 1 Diophanis.
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i j C X C V I I I ' 1 Æfchinès.
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17 C X C I X X Pollman.
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x i# c c 1 Damafias,
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i f C C I 1 Mermogenès,
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Fajlis de thifioire * grecque. 'Archontes
d‘Athènes , Qfc.
Lucius Céfar meurt le 10 août, âgé de 17 ans.
Conjuration de Cinna. Augufte adopte T b é rè .
Tiberé nî^che contre les germains-& les panno-
nî’era.
Tibere eft rappellé pjr Augufte*
La Dalmatie fournife aux romains.,
Guerre de Dalmatie terminée“ par Tibere.
Tibere a dédié le temple:de la concorde.
Tibere & GrrmanicuS vont en G'ermanîé. , ;
Tibere .triomphe des qalmates & des pannoniqris.
Augufte fe charge de la république pour dix arn:
Augufte meurt- à Noie le 19 août.
GermànicUs rait la guerre' éonftgCles gemains.
.Tibere interdit Içs habits de foie & les và.fes jgynu
Gérmanicus triomphe des Germains.
Gérmanicus vifite les villes Ae Grèce- ■
II va éfi 'Êgjîpte & 7; meurt.
Pifon accufe de céttèTmort fe tue.
Révolte des gaulois, t. _
Tibere fait.Drufus. tribun du -peuple..,
Sêjan efièrefié à montetiur l é tiofté'P 1
Tibere fe retire pour toujours en Çampatsié.
Les friions fe révoltent coôtrè'les ‘romains.
Les faftes confulaires fuppléent à la fuite des Olympiadesqui cefsèrent d’être employées généralement
dans les premiers fiècles de l’ère vulgaire. ;
O L Y
; OLYM-PIAS;; fontaine voj%^dC»onf^l»mpe
en Arcad I ; Paufanias dit qu’elle «donnoir alternativement
de l'eau d'une, année à 1 autréj,,fi eità
dice qu'elle coulot'.pendant une ..annae^ &
quelle ,ne couloir-;pl us l'année, daprès'. Dans, le
voilinage de cette fontaine, il fortoit de terre
des tourbillons, de flammes : les aréadiens „regar-
doiejpt cela- comme une fuite du combat, des titans
contre les dieux.
(•TOLYMPIE oq O L YM P IA , ville du Pélopa-
p èfe, dans ï’Elide A » P rQS. de l’Alphéei On..y
voyoitî'un temple .confacré à Jupiter OJ^mpién,
qui y.rêndpit des„or?cl^s. Cet endroit.deykri.-fa?
meux J blôènt pourvoir la célébration des jeux & le
eouTomiement des vainqueurs. Fuyei OtYàLn-
QxMsasvJ'é
QLYMPIEN-/funiorti de Jupiter, qui avojt un
magm&qu% tsmpfei;01y.mpie en Elide.Te temple.
& la-llatne de Jupiter-jttrenr le fmi’tdes dépouilles
que- Les., eléens^iÿmgsortèrent fur tes j|Aitans de
étbit tOiït*érîv'ilenriéde c«lônoêsC£eif n ÿ a vo iY
èmplby^qiie^des piasAs d'ünd"b'eiü’té'’ fine u !i ère.
L'edlëfc'èt'âvbit 'foixâtité-hfuit pieds grées" de hau-
téïndf 'qub#é-VlVi‘gt ' quinze “de, largfKte,; & * deux
cenÉs'1trëîît|lds?ifèn|ueûr. IPétoit -coUvért, mon
de~|utle^f’temài'i d'un beau «Arbre-péiifélfque, 81
tâife'$i$$fbiihe ’dé/Vuil^s.îÂbx deux'é'xtrémkés
de 1^ V&ûfè, o,U%q|joit deux »chaudières d'or fhf-
pen lues, & dans le^rnteu une\viâoire de bionze
doré^fuppqrtée par un bouclier d'or.
3 La ftatuf^dudieu /-ouvrage de Ph'ditfs, fameipt
fcièptenr d’Aihenési jSâjk- dW, d'yVo.re : Ju-
pitei y jA-to ffdîf»‘affî's*fu f ' u n - trôné1, îayfrnt fur fa
tête 'uné,csUHïndélde-fèmite*cf 01i vfèr ;»t-ftàr,t de
la irgpù.drske-une Vi^.'re.aùffi d'oi J& d'yvoirèf,
ortjéb- dS Bandètelsés' 8t coûi’t^rïéé^.isSpde Ira gau
c f e ! '{fcfefArë’f ftfrqfê^bsut duqutU<“îe|iofoit un
Ti«?- j.;'& dÉ^-ilîtiidjsient toôtes*,fortêsl tfë'tîiétaux.
Enftif1 l^ t f^ é atlju-"'(lieu>étbit tout brillafit d*or &
d a ipM rfes. p r ée MW e s ; l'yvqiîe & SJ ébène y faî
faifi&paÿïeur tnt!ao|'e’ tirre' agréable variété. Aux
qüatrèrcblns 'il y 'avoit'"quatréiViâuiF'es qui fèrn-
b !é‘. enY f è 'dO fe rîe r ^la Sb arn ^dûr ',dahlfer-f St dëbxi
autffes»^n.iX .p'tfef.s-dë' JctpTterl >A les plüfi
éleveTd-ü trolrti ,-JSü-deffn's demWêîe " du'!dié'rfL,'
ofi avoir }4acé'»d'ûfi 'crAté-les ^gtaces deîl'aâtfél
les Iheufes,, Ils Unes & les'aùtrcs cdijfltnïfilles de
Jupiter.. Gette déJTpri^fîdtv'du témple de Jflpi&F
©iÿmpien eft rÿ-tj^'ite d « P a ufitil a s ^ '^"U i pâjb l'te B
h-fin j « bhabilëté!'de PoüVïiér^ut Jupiter rr être'
pour apçùbbareur jwarPhidiâs, après av'orr-' mis
la d'eripèrë-main-’à fadlatue i pria le dieu» dé.rtta'r-^
qéèf^^ar't'qùélqiïê 'Bgflèÿ’fit'Oét-1.ouvragé -lui;» é^rijb
améable-j ,& l'oti ,dit qu'auffi-tôt le p’dVéï'du'tbm-i
çle!.fut frappé d? la foudre. fans en être 'er.domf
t p m
On ,coiifervp.iç dans, le temple une pro-
.(hgieufe quantité, de très-riches préfens * envcryës
non-feuleme.it par- les ^princes grées, mais'par
jd o
tà Le;même hifiorien rappq'rte une m.erveillfe de
jupi|érfr;Ê)0igz|i;en î dit-il, ; que
les ipTans , ,qui,de tous les oileaux de. proie font
-Jes plus.,ca 1 naciers rçfpé^ént,|e temps du f*-
ctjfice. ‘Sîipar haza.rd un .tijjlar) J&ijettoit fur les
entiailles ou .fyt la chair q.es viébntes , oheri droit
,J^'...^ûiV^.adg%(ig, .%>ffji^gpi#YïOSk .'fs‘
Danï'le/tpêmè tèmp'e. cje/Jupiier»,. les,.éléens
^XOTStt érigé Jix autels ,à douze dieux ; en forte
^que, l’op facrifioit à deux d : v i n i 1 és,, to il t-â-la-fo i s
fur de même aujél : à Jfiipiterj,& à Neptune fut le
.premier ; à' J,unon & à Minerve-,fur le feCond-j
à Mercure & / à A pQjîpïi[ fut, le., troifième i aux
Grâces & à*Bacchûs (uf je quatrième^ à.-Saturne
& à Rhçea foWe cj.nqqi|içe,-à y,é|éus.&yà Minerve
Çrganéjfur fe fixième.
^ O ii^ p fÈ N l.^ L e j deux«-). Ôn donno"‘t ce nom
a dopte div.mtes qu’qp apggllojç autrement Corv-
fenres. Ils ayotor iui>autelà Athènes, qu'on norm-
moit l:7utel' dès douzefdiefx : on lès appqlioit aufli
iîmplenpent ,]é<srds>u$e3 ,|1 y. a y q i t fix dieux & lix
déeHçf.'T^Si.'aui boiysrNjis,, où nous-
^pns,s;appo.rtp' leurs 'rpins.' .11 faut, cependant
feérSquep que Martiahus Capella dans fon pre^
pier livre ne ir.ét poipt Jqpiter parpri les dieux
'UjÆmeS/ bu 'olympiens , mais au deffirs de tous
& de rang, & c^ux-ci immédiatement
àprèvlufe s ;
?I^ )L YM P IE N N E , jiitnom donné à Junon,.patrons
d.es jeux-oRnipiques des fémmfs^ t
^ pLYJyfijj^^TIQL1*ES, ^ t f t ainfi qu’on appel»-
loiît ceux)qHiÆt^K-n-VySjatiytix. dans les jeux
oYmpqkesf'' bes My'ipft a^uques^f tp 1 c u c extrême-
nK'/t,|i'cS ï 4 s «rAfeùif R-trie, parce qu'ils tto.-ent
cegfes.^ûÏMre b^ucoup_d'bonrieurfTes athé-
niéns,\ fur tout j'S ifo jç u t fapt de dépénfes en
\ reT nsjknir les o^^f^ÿ'^^ÊltSv^ompbtrtotes.*
que' Sôlou crut 'Içs, lpix>àçyoienpy. mettre
des bornes^ Sa, !<j$ porte qy^da ville' ne donnereit
aux ojynwiqpiqiie&ç^ qîgq cens dragtnes-d’argent,
a^tpicu^peu Kffîs Ae neuf marcs de notre poids ;
r,&|qui'ne" fait pasmnergcofte fûtomp. , •
0 L YM PIQ L E Lucine.
Oi y m p i^u es. Les jeiix olympiques étoient les
.îO^qs^cé!ébrgs. de,, la Grece. Vj>i,pi ce, que l>aufa-
avcîrfappns.fur {es lieux mêmes des
éiéens,.,, qui.^ip^nb naru les plus habiles dans'
1 .$£l<m:« « , Saturne ell le
premier qui^ ài^: régné bans le Cièl;,;.& dès l'âge
1 D d d ij