
Il eft vrai qufon ne-pouvoit?ÿ pêcher à ladigtie'dans
le ;nomé ôxyrynchite, & qu'on deyoit y jetter.dans
les ’canaux du dans le fleuve *tofts les -brochets
qu'on y prenoit au filet. Mais cett^„eapture:,>dobt
çn fepriyoit volontairement, n ’étoit d'aucune va.-
}eut,' AuTelle, j'ignore qtfiéHe-peut être la fource
dê'l’crreur qd ’St'ràbon, eft tonibéj'dfr'ftjjfil ’a -crji
que tous les" égyptiens révéroieqt le'-bi ochet,,qu’on
aceüfëîtl 'dans le-ftyle allégorique', d’ayoHr dévoré
les parties génitales d’Ofîris,-'&rqui à caufe de Ça
voracité parojfToit 'être uneprodudfipn firfjtèmiüf-
quible du mauvais principe. JVdici une rè'^le„generale
"à -cet égard t aucun de-tqus des animaux ^dyTr
Jèfqüçls' les piètres' a voient de l'averfiôn ?5 n’a été
févëré dans toute l’Egypte ». ^ e y ^ f’LATO.s,
' , On Ce repofoit fur les oxyt&pçftîtts pour l'eptre-
tien du grand canal, connu Aujourd’hui fous le
nain de Krilitj UMenffi , ffos quoi le poiflon .qu'ils
révéraient fous le nom à'oxyrynthus , rtçxù. pu
arriver chezeux. i n
O X Y R Y N C H U ? , dans l’Egypte ohïptRXKTÛN.
Cette vi’He atfàit frapper des médailles impériales
grecqu.es, en l'honneur d'Hadrien, d'^fttonih'." ’ ”*
i .©YE. Voyei OrK. Les égyptiens les facrifioiènt
à Ifis ( Plutqrch. de IJid. & Ofirî. ).
"OZOCHOR, nom particulier à Hercule égyptien',
qui avait été général des armées d’Ofins, 8s
l'intendant de fes provinces* ,
OZOLES. Voyei CENTAURES.*
O Z Z A , dieu des arabes avant le mahoméufme.
P.
petit‘diÀifer WP-désfoahitfcrits , marbres
& médailles èn» cinq fériés ', lub'diviïees elles--
mêmes en^plufieHis foùs-fériesi;
« Laipiémiêre grandeïf^Le dù 8 femfelabfe :au
gr.ec ÿ ou en .apptdohanéi beaucoup v remonté
y©<3,l(ans.& plus.avant Jefus-ÇhiiftïCetté forme éft
trqs-fréqucnté avant fa ngiffance ; plus on defcénd
d,4p^iîiplws elle d^vient.tate. Lés exempJénès'pius
taà^ifSj que nous; en ayons rencontres font du
dixième; fiècle en tAtJgiete,rre„. C'étoit alors, &
gep-êîte dans, les; fièçleji> immédiatement | anté-
■ g^rs^.^littêt uhédjùitaqttïdes grecs ,. qu’une
continuation de l'ancienne figure latine. Première
fous-férie en r jt deuxième,; cstêplus court def--
Cendant ,à plpmb•troifiëme >. obliquement .}■ ■ quatrième
>, fe rçcotirbant. en-dcffus , après, s'être
^aiTééLffwwiéln#'»<PnfofilWié§ 5 ..fix-ème. ; : ré-'
guliersjd^ns toutes leurs formes i feptième, côtés
égaux 91 :
«»Le caractère le plus général de la: deu-
x,’ème ferlé ),ell d’-ajWi fes P ouverts j el&in’eft
gu|rjS. puftérieure à la précédente dans -fes bui-.f
tième ,tneujv;èrriejQ,Ui' dix.ème fous-fiétie. St les^
{piyantes j nej remontent|j paSfrtout-érfait, fi haut,
idater depuis;lerCommeneement du
premier-fié,ele jufqu’au neuvième 1?. j or étions
aiguës par le haut; feulement , côté, droit oblique f
Z - un peu plus .Courbé par le bout ; inférieur }
3 tranché par le bout fupérnur} 4®«pâpfoarron-^
die,j‘ j° . uqie aû-deifous du bout Supérieur de
1 a halle ; ;16S),.pairarit- par-déHiis.5 • 7°£.>.rabbattoe <
an-dèlâ j Sl'. eleyée au-deiïus du montant, &ip-
9®«„fâns le tpycher > tWiP.ouvert* ducôtëgauchfcjl
i^^'.en-dtfius j j i°. de .plus tranché 5 150. à
panfe deta.chée ou (upprimée , 140 fans pan fe ».
« La-mifième grande férié à P polygones n'ap-
pro,che pas moins de, l'âge de la première s i°.<[à
panfe quarrée ; a®! en polygone irrèguljer ; j° . en •
triangle ; 4°;. compofée de deux parallèles unies
pàr uqe courbe ». >
« La panfe, fermée caradtérife les P de la qua- [l
tnèrrie férié; f°. regujiers 5 i% ixrégulie,rs, dans
leur bafe -, à panfe prolongée au-deffus de la
batte î 4°* P aigu. Ceux à panfe aiguë’ annoncent j
la , trèsThaute antiquité,}, les plus élégans tiennent
ati fiè c^ d ’Augiifte ». , 1 T , ,
• i'&LMj traitg excé^edS/fe là, Forme .gothique,
dillingueht la c i n q m ^ m | ] ; f é r i e } d e
la panfe au-dëffîis dè la Kaftè’ i z°. cèlfe-c1 plus
h^ute que la. p a n f e S ic . 4 0. P tout-à-fait go-
Jtnaquîtes ’Torttç IV .
thique ( Nouvelle diplomatique , in-40. tam. 2r
pa%. v
.. Si l'oiï en eroit urt vei'rd,"Ugiiiion, lé P ëtftit
lùne lettre numérale d e 1 même valeur que C ', 8é
j';ma|quan|/éél^î -» l ,
P fimilem cttm C nurtierarn monflr,atur,\kabe^e% .
Cependant lé P fdrrnoaté â’üne bai fe horizon-
i taie , ,vàut -, dit on ,* '^qqoom. IC’eft une mcoft-
[féquence dansée fyftême prdjnaire,: heutéufement
cèttë ‘dtfficulcé;
(nous avons dans le fyftêma moderne dp la nu-
«■ iér.atibb , de quoi nouk. confol,er de la perte de
| l’arièien. Dans la numération des grecs
l'fië-ob.^ ’
■ , Les latins e^plojtqiédfjfoiHîent Ppar abbfévîa-
tien.Dans les noms propres , P veut dire Publius ;
dans S. P . Q. R. c’eli Popalus x & le tout vqut
dire -Striât. Populàfq. Rorrian- R- P .'c ‘ ei\-a-dire'
Refpublica ; PJ'C.* c ’eft Patres 'ïèïiCçripti-. C . P.
(f eit conftantinepolis, & far les ehfeignes , P d é - ‘
lignait les foldats appellés'P/'inc/^w.
^ PA AM Y L E ou P A AM Y L 1ES, fêtes célébrées
»par les-égyptiens en rbonnèur. d'Ofiffs retrouvé,ou’
d î Paamÿfè, pdlttemps. Enfangue
iCÔétë > Paamt~heïs "fighifte 'jouf - de - la - Bonne-"
Annonciation. On portôit. alors eh. proceflion des
figurêsd’unè coudée de hauteur ; ayant des mem-
Sbfés. yi|ilÿ de la mêiiig;longueur-, que l'on faifoic
mouvoir par des cordes cachées. Ç'étoîc le fjtm-
bqlè diï foléiT réhaifiFant j fource.déJ toute genë-
raïio’n. On y pbttoit éiiporë, pt;urla même raifoh ,
•iuu phallus triple o,u à trois branches.
PACAL ES y ôu P AG ALIËS, Fâes éohiàines
giiife célebrdisnt ën ‘l’hOhrièar dé ld paix. Vriye^
r Afx.
j : AL ih e !in u s .( ( ,é e f'£2«é. Vjrgtm. c.
pare, t. X I I I .(p. 47, ) parfait dessfçtès'i St : eérér
iinonies impures du paganifme, es nomme une
Pænatta. - Grïmjifvias’ ■ prétend qûë1, ce texte eft
corrompu , qujil n'y avoit point de fête-nommée.
panalie, & qu’il frut lire pacalia , ou pe.ut être
palilia. Si z t^Lpdc'aiiac ,■ c'étoitunè Fêté àrhonneur
dè la paix j. de p a x , pacis , la paix.
PAG ATIEÎsf | tyran fous Philippe. •
; J g l U MîAsR- P a o a t ia n u s A ugustus. .
Ses médailles font :
RRRRr en argent. On en comaoit plufieurs de
teveis différens.
Q d q