
noms même étoient adaptés àltur rôiei anefclave
fidèle s'app.lloit Parmeno ou Saùfias- vaurien
Syrus & Geta | «ri jeune débauché Pdmfkik, ,
Un des plus agréables diveniffemèns. cheSs les
grecs , étoit de Je mafquer après fouper, & de eau- ‘
rir k s rues' avec une troupe de jeunes garçons &
de jeunes filles,qui chantoient* danfoient Sçjouoient
des inftrumens. On alloitiavec 'ce cortège vifiter
les dames galantes, & rendre hommage à Cornus.,
le dieu des, feftins.
PERSPE CTIV E . Lès anciens ‘Pont- "connue &
pratiquée . quand Us Pont jugés- uéçelF^îre. Voye^
le dicEonnaire desBeaux - A rts-ati njojp erspectiyjî,
& celui d'architeéture au root b. a s- rt Eir EFi|
PE R SU A S IO N , une,dès divin téj quipréfi-
doient, au mariage j. ç’ étoit ellë qui , trtdn>pq?nÿde
la pudeur de l’époùfe, la reniôit‘d o ç^ a ijx em-
preUeniens de l’époux. Pau lamas ’la compte 'ad
nombre ..des grâces. . Les 'romains .lappelloïenc
S natta., & les grecs Pit/ze. Voye^ te JiMtC. \
PERTICA. Voyez P erçh.b. Les romains [H'
fervoient de la perche, per/ica Stpour,.pafta_geï Içs
terres dans létabiiffement d§SîtebUY£%s colon?
aies , bù îorfqu’aprês aYsdr chaffé ks, atmjèhsÉ habit
ass d'une contrée « dont ils -s'çtoient rendus
maître^ JîlsWndbtent àfltepE-hèrbil^.terfces! si$ès
«n âyoîr fait la divjfiôn. Properce appelleLe Païj-d
tage érifts përfiêa avec ràdôuvpùiftiu^^s'a^èiëns
propriétaires fe vbyoiëntdégouiilés de leurs biens!
i 4 - I •<?(;
j Mitmt iua cum niulttiUrfarent rùrnjuvénclgf1, ?
. Ab fi ali u ex eu lias pertica àijtif âges* , \ i
t e mot.pertica fignifioit nomfeulqjnent ce- bâton
long-'de dix p ie d s a v e c 1 lequel oiî meAwoit les
rëïfêÿ'j maifréricê&ile1 fbsBdèfiWêr&ré Si étfofiftëV
Frohtiô, ’8é-d:e p'iifieurs àuîïds'âiiiéüfe^ie^Çaé-
fius a recueillis1, & qH’iFà.exptiqaés-par des notes
tiès^pecéflàires pour leur intelligence-. ( D. I. i
L E .R T ïN A X v
Pv.àxius Hbj. vins. PsRXittAtt Anus-J J
Ses médailles fonte
RR R. en or*.»- g£
Ti!RRR...en car* avec & eèrifocrationd & au
lever sTaigle , dànsle cabinet du roi. j- ;
Egalement tare aveu le bûcher * dans le cabinet
de Pdllerîn*’, i ’ ,
< RRR. en aigene.
11 y 'a. des revers 'ueS'rarés tels qae 6, çàfttç-
çration , liber atis cjvibus & menti laudande.
- RRRR.. en médaillons, d’argent d'Egypte.-
■ Vadlantren a »ggotté--uad **.-
RRR. en Ç . B. dë cpîH’tomalni .I l jr ;a des re*
vers qui font RRRR j tels qtié Iglibéialité de1 plu-
fieûj-s figurés &fes conTécta'tidns,-' j§ [
RRR. en M. B. Quelques, revers RRRR.
RRR.ten P. B.
O. de colonies & en G. B. grec,
RR. en M. B. gréé. -,
i1; RRR. en P. B.-d'Egypte. .
i Vaillant a rapporté deux médaillons latins de
bronze de Pefmax-, on'ignore s'ils font, antiques.
Or^en voit vun grec.giavé dans lé .cabinet die l’abbé
de Camps. •, ;
PER TUN DA , une des divinités qui préfîdorent
au mariage : on plaçorf fà il a tue dans'îfe|çhambre
de la rvouvelfe époufe, le jour des naces, 8e ‘elle
eiitrott en nerfoMé dans’le litpjjptialàvec jes époux.
' népfrmebpas
: fa foncHon i vdki çe qu'en dit ,St. Auguiflin ;
km t& M eat fo ra sa g a t aliquifi maribitj : vaîdl
ihhonefi/im efi ut qmfd ^àcatur ïlfa.^ 'implæat^awif-^
1 quam nîfi ilie\ De cîvit- d iij^ b . 6 . Ârnobe
\ JiS. 4 d,dï auffi: Etiamrie perfufida qu&.
in cuHcmIîs prsefia efi. * virgit}aâm fira,bqm~effodien*
PERVERSJ?( jfcdta ) ï Les foîüats ’rorhains s’af-
| femblantpourtjûclqdecopfoil-ation i-oiipôûSdftier
r quelqu'entleprifè fec^ette-"poïéôient kurssiî*3 d-
; chers féuV leurs Bras /afin qa’;?î's"fiifient, a.pfièrétis
' moins' facilement. Gétte mâfiîere d’d léë pbrter
■ érôjt dëltgn.eè par 'cesfmbts pulù pet i teWt i tes.
i noliih,Am!nià'nJl!iîücitp}Q.'p¥lfi5$V%’ ' /
PEJR.VIGJ-f.IUM,nu tentièreemployée fêt^s
de Cérès 5 de Venus, d'Apollon &,de\h .fortune.
I f ins-.les vigilut an ne vç^piq ,aue pfpdaqqa.ine
^partie de la ujjir., MamallX p^j^^|j..L^nBqnce
cette’- diftmâtônl
Nam vigUàre^léye efi , fiênvtgtlariq grgysf’ k.
-Vitelltus célébra, àes-pervigiliu 8ddès bacchanales
fiw> le fourni et de l’Appesanin t}S‘a était.'-Vit\lh c.
«.8. ). in <appenninv quidem Jilgis 'etbqnrpeftvi--
\m *m-Sgir\Qn.-cmaoh- ‘lé'cbarmanr.poème intitu*
WpervigiliuTn Ventrus..
I-MVTAH., prupfi f leptonJf minutum Tfëmu-
na ;t mqnpqie lanci'enne 'deJ'fiieypW & ^e l'^fie.
Ef-fè vaIorifui,v?nr^. lLuélon ( ’McWipKi. f? | | ide
déhie|jde Etaijce. "
PESi- j. mçâjré itinétaîre des- romains., ; JCfyeç
PiÉ^|-^cÿM^.!lîï; é-1
P ES CE’NNI USNIGERPVèy&MGÈK.
PÇSÇIA, capu clibaS faits! dé „peaux ,d ag^èa y:,
felorrFeftus : Pefciéài<fiabï&fïcarminéÆtîus ShloD
dEcti^^cdpiwâ. èxptllibus agninis^dÜa^quetd eti&ü
fvifêeHbp'eüis<x vitifl.i
■ ÏÈSQNï Voye\ Baianse' k oma in e . ■ ■
■ P E S SIN U N TE , métropole des galates eôüf-i
toboges. .
uccbiKorNTrnN & taa. to ac . nccciNOTNTipîj.'"
1
On a des médaillé®,' ipip.ériales grecques de cer-
te,.,yvilia.).,frappas en 1’hpnneur de Néron , de
Trajan.,.cje M.,Aurele,,de Fauftme-jeupe , de.Ve
rus, deCaracalJa. dé!G éta, déPoppée, deDomha.
Le-fleuve Sangarius couloitaupiès de cette ville.
EUd'et^eélèbre parfd.n‘teaaple dédié à C y b è le ,
& par la ftitue naturelle * de c'ebe divjnité qui éto r
tombé'é'dij(çieI j Jc'etoit une pifeïre nqqe qu’on gar-
doitprécieiifiment: -Rfonie étant affiig'éè Se ’‘maladies'
populaires & d'aütrès rcâlamoeé's publique^ ,
envoya aux pelîxniiiicînslune amBaffade , pour teur
deteâi'dér cette ilatue»d'è Cÿbèle.' ^Ses pŸëtrcs-'avec
tout^Pa^iiail du culte de- la divinité .viprpnt e^x-
mêrfiêsTà‘ remettre aux romains. On chargea la
yefiale Clodia de la p-.erre myftérieufe, qui fut portée
en ‘pçoceflipn àu.traycrs d.e layillé de Rome.
La 'Çête ordonn’éé pour Cybète à ce/fujét fe re-
nqg.v|llcdxj tous lés ansi, ^ o n ' affbtt lav'ef fa ila-
tue dans'le petit fleuVe’Alm'ôp-. Oviâe/Fafi. IV .
nous apprend? cette, dermère particularité.
^-Ewdqcàs iâ tiberimqua 'lubricus infiuit A lm q i t .
Etnomen magnopeidit in arnnemirWnx^ «
, Mùc pupupéa cartus-cumvefie facerdos ,
Alm onis -,dominant - facraque lovât aqilis.
,Denys(d'Halifartna{Te, qui raconte en-détail l'inf. i
taire dé cette rraniTation deCybère remarque que Sci-
pion Nafica,étoit-le-chéfdel'anvbalTadeÜ'es romains?
PESTI. / Voyté^ P cestum. ’
PÉT. Les égyptiens, peuple fuperftit-eux adô-
roient jufqu’au Pet. On montre aujourd'hui, dans
certains Cabinets, des figures du dieu Pet. VôVëz
* 4h > |l" 4iK
PE TA t, divinité romaine, quipréfidoit aux demandes
que 1 on-avoit à faire aux dieux, de qukl'qn
Cdnfultoit „-pour Tafbir fi ces, demandes ttqioijt
jutles ou non. Du verbe petere , demander , bn .
avoit'fait Je nom Pcra. 'A.rnofe i l .p. i ; i ;,) dit, :
Dea Peiû j que fr'eftb ora't rêbuf pettridis. \
•PETALlSME. La crainte que l'on av-oit à ArEè-
n.e,s de? citoyens trqp;puiffans , 8e dont Je ’’crédit
s etabljffoit Auprès du peupler, fus iftttbda'irè’dins
cette république l'oftfaçlfme {Voye\ Ofiracifmzv ).' -
Un ufage femblable fut établi à Syracufe on te
nommapétalifme, parce qu’on écrivait le nom de
celui qu'qn voulqit bannir fur une feuille d'Olivier*
Ue mof vient du fiiot grec x'trnkiy. Le pétalifme
etoit itae inttitution beaucoup plus inique
! goureufé’ que l’ofiraciftne merre, vd que Irsîprin-
| cipaüx’ciùoycnS de Syracufe fé banniffoient les uns
les-autr-«’, en fe mettant ufle febille d’olivier dans
S ?wj main.. La l.»i du pétalifme parut fi dure , que I*
^ ptarpârt cips citôyeïis ddhngués de Syracufe pre-
hôieÿf'lé parti de la fuite , auflfi-tôf qu'ils cra:-
, gnoî&nfqti'e leur mérite ou leurs richefles ne fiffier t
ombrâ|e 'à'heurs cencitoyensi; pailla , la' républi*.
qué fe trotiyoit privée1 à £ fês membres lespius «ti-
îéS.'l©ft ne1 tarda pofnt-à s'appei ce voir de cesinconj. .
vénienSji&lè pétrplëfut obhgé lui-même d'abolie
i Ûnelpi fitunefte à la Ibciété.
PE T AM IN AIRE, ou PET AMEN AIRE f.m.,
; L e nom qui figu-fie proprement,qn homme qui vote
en, ! air , £q donnait autrefois à ceux, qui faifaient.
dès fauts périlleux j des tputs dé foiipleflc dange?
neux 8? firprenaiis , aux voltigeurs , aux fauteurs ,
j&cvd^e mot.fe tfouye dans S,alvien , ( L. I I I de
\ptyyi4e'lt iâ ) & daps.FqçnicuSy Qi.iv. V I I I , c.t 5.).'
j Onjifoir autrefois dans le premier Peiaminartus ,
j ®ais Saumailq l'a Eo-t bien corrigé par Eirmicpti
i G&mbiyjéhfe^ «r|^£jb« yiè vole î xerdfiat?, qui
vole. Quelques-unstraiéfit qu’on pourraitauffl dire
petiminarhis endeitarant de j e t im e n qui félow
_Servius , figrti fi s la boffe’-d’un chameau ; & qu’orr
j I f dôriabit^kS (aûtèhi^^réé*qihéri %iMnt 8e vol-
figeant1 ils plîérft toüt B corps 8e le mettant en
. boffe.- La préàiièrè'étÿmb'.agié é-ff plus naturelle. ’• -
VPETA-SE ,.c ll ipyauqu boonrt ganji.de Lords
! SpfP.pr du lo le il, à j a différence A,u pUeiis
bonhe^ifa^s,bprds, Voyei,Bonnet.
Le pétafe ailé ell le fymbble de Mercure. •
- ;^es ^cqSjPorioienr ordinairement,en. voyage le
..ikefialicjd^. Les yoya-
geprs ro^ri-ai,ns en qÇqicnt dèjtniêrrie ; comme, nous
^ p p rp^ s 'd e iG rq é rq n {Qp fam. 1 j , i7 . )\ qUf
s excui^de n; avqip point écrit de lettres en,certaine
» °£çgfîon , fifi ç f que les porteras ( ou copxiers ) ne
Mlpipn ayoïent_pa,s,dphng le tems « Ils fe préfeitr
" tent a, mofp^ it'ilp offqü^s '^nr prêts à partir
» 8i ,eq -hapirs ae,voyageurs.. . . ’.Sed pctafatl ,ve~
portant.xxptàâre. dicunt- ci.
C ’eft pqurqiioi,8petQnç ( Avguft. cga. n. 2. ) reinar?
que d*AognifoU5»frwnft qîjetrçiiofe exEtaordinaire
!,q|ï’i |^ q ^ t5W |# ^ d â f à fix lpalais, lorfquiil s’y
■ p(r bmeppi t à j 1 a ij. C e qui annonce que le pétafenç
fervoit’qù’aUx vbykgéurs ^pu à ceux qui faifo ent
danslfs ryes de longues marches.,
P mtasus défignoit aulfi tout cç qui avoit la forme
d’ün^rayê , tel qu’un' toît rond avec des bords
.appl^î&ii^ :
• PE TAS.0... Voyez, P euna.
' ’ PE T 'A lÀ lSTA , V 'n : ' . ’ . : <
R E T A U RUM , _ J., U>y^»s,( R e tu e t lfq u i.
quités , tenu f l pl. §&. b°. ; i
P P PP LJ