
2 2 ; M ;E î G
foudonne 4 eéttë v i 1 Je fciî« aufe ’det foiy '.ptefniêr
temple, bâti par Gar/lfils. dedPrhtfenèes/ Màhb,nfc
hêur de Ce.ïrè s '!(lEjiftathe n'das appr-ënÉ qi^e les*
temples de cectJ" dédïç ttqfent limpfoméSit apportés
Meyufit.y. G £.tontfpha .»attirait une "fi grande
quantité de pèlerins , que l'on fut obligé d’ établir
des habitations, pour leur fervir de retraite
dans les temps qu'ils y apportoient leurs offrandes.
C ’eft ce temple dédié à Gérés/.fous la pro.teéfiçm
de laquelle étaient les troupeaux de moutons dont
Diogène fait mentioh , quand il dit qu'il aimeroit
mieux être;bélier d’un troupeau d'un mégarien ,
que a ut e fon fi's ; pa ce qu ce peuple riégjrgëoit,
de garantir fes propres enfansdes_ injures de l'air ,
pendant q « •'àyeîè grand fôin de /couvrir les
moutons , pour rendre leur laine plus fine
aifée à'met A ety «oeuvré. Du mf&mSt'PlutaKjbe1
fait <e, ,rejfoÔ| uë-àpx. mégaAcns detSb jiçtaes D
Paffbns.ji.ux ije&g|ïïôyi néfos a laifFées desufié-
gartcîls.’
Ils e filmés : J,é § " « u teUrs, grec s jTç
pkifent Couvent à peindre leur mauvaife foi fleur
goût de pkilanrerie avoit p.i!fé en proverbe , &
s’appltcjû î t à ce: Ivorii it s fi c ommuns- p utruî.qiré,?
qui .faprin. iiy tb pàti ^jji/a un, ba^TiSrrf iPnlïqn
de ' F e f p Æ d ’-iBnlfer yiëu-dépïjis du
coeur kOnteflgapareut aufl&i ^%beHp^T prantéffes
t^qs.vn^arietjs atyt vafjeg-dç- terr,e de leurs manufactures/
ris jip,|p^Menbà Ïÿ ïu t p tr le ir dgjgafjcc,
.en’.' t^isgyé -fosfÇ dïineti ijaguix.,, mmte
qu'ils étoient aufii minces que fragiles. Les lai nu.s
des mégàrieus ,fu r en t- e-aco^;tfgai3é^jMrànæe ‘ex-
priinpes ’par-far ce , & nonÆlr de v.rais leptj.tï|ens
de douleür; d’ôu vientqi/oh en attribiuôit la c^utè
» l’àil & à f&rgBon'd'e leur’ pays/-
Les femmes & 'les filles de * ég a r e q’^oient
«as plqj i^ Ç ^ y ^ e s ^ a r^U f .yeijtu* *squp des
hommes par Ieprr.prQbtté v b ur nomqfu;Vo fd a i s
la Grqee à’ dèfi|néi|fèsj fournis de mauVaife vie^lL
L’ imprécation ufîtée cheï les peuples! voifîns,
Me^,iï£àïpher 'ne, dpvÂemie, p/us, ,fflge ^ltejlés‘f in'êga-
rgèaké!U n’-cft vraifemblablement qu’une dérifion
du qu’une déclàjrajion de Lopin.on qu’on ut oit
du peu de mérjpîvB^ dè .pèirple. Il paroû cependant
qu’il v ttrroLt jbtaucoup de r^irtid t.©, .p gee
que la .politique des nkgarieng fe's 'avoitijîkligéis
d’être"trèslîuconftans dans leurs alliancesavecJës
div'ers peuples J e'fa Grèce»; . 1
M ég ar e , dans- l’A-ttiqile! m eja peon .
Lès médailles autonomes de cette ville foét :
RRR , en a r g e n t . ,.,‘Hmxer^\\
O. en oy. ; ; --:vf§f , •
C,. eû brdfiae.
M E G
"Lé tir s typés jsrâinaires font
“ Une proue de vaiffeau, feule ou aveedes dau«
plnnSaS-ifc!
Unelyre', ^ ’d’autres atDributs.B’Ap,onqm|L|',
, Cetre ville a faitfràpper des médail’es impériales
grecques en l’honneur^ de Caracalla j de Marc-
Aurèle j de Vérus, ;;de Commode , de’Sévêie ,
Je DormiaL derCjÇçâ.J ‘
k ML g ar e 5 fîde,,(l4CréAn x roi'de Thèbes , fut
la première femme4rf?Idetcu!£C£rgii|us, rpD des
ndi5ÿeçsA|^ta|f^K,nu. Attâqugr dé. r Q ; dq, ijn è b e s ^
II<^u|epiafchkcaylir&les. mmyens.Lles tailk en
pièges, t"ua. 1 eur rpf / üti<«5.êS'l lt m.plÿA,, .Sc-dé-
livra Créon.deja fraye ur que lui av
• d e f’As tn. t Jrr C r jtir en lÆcpqi.t ifl-ru,,Je ce
lQ‘.i',lç tïjéufait quJOrtpn l ' frillan-géndifL;' miis
èxpr^ts , AieiJe»'vQù nJre afix’ enfers j &
iïpmjne'-'iiyne repa-nôtfl||ijMfus||Sn ‘le rrtit 'mort.
Il s^éley-a .%'ge ' fé’qiu’un^sdatrs TBraSe^^Lycus,,
ehel__ de9,j.glvdles ,jÿia*C iCm asjmpara du tron ; ;
ie Vf rfut ïa*re P d’H è fq & , .Lfe
reto ir imprévu lu Inros ehin >e rkoute 1 k'teVe ;
Spélivr.a Mégare'^ le5 sBes.m aî nsjd e Lytais*
& ^pÿnîtfceg^merafre de’ 5fon“.éntrêpii(e’.ljMrs
b 'd ^ î ' ajfiès les furies s,ét^nt fÿifite’f lj^ h ïf j^-par
de/l?h>îfilaeBble Junôn , L pr>ttùejit à
m-fiVôlei^Unvénie j dèlfesBaiaiiis", ceux «Çrt/iFve-
nôitid’arràche r> A i ar c rualftéld ïaîplî
qu’Btusiprde fart mOUr-i f-M ég a r edans fon Recule
yàÇr^eiix,). Ma i st as H ècçifl e ayant
perdu LoUszJtes' eqfari^ qu’il âÿoit mégare ,
& croyant' l’avoir '"époufée fous oa.malheureux
T-mlmc^s ql il k^répûdi.a , & l’engagea à ^pûfe'r
lolasJjfoh fidèle compagnon] dê'-voyage;:-- Wcéye£
ARJîUS^ ^filsBelKep^ufib.' Ayant épdufé
de qui ’Epgn^r’ld^ns Un
^^tqfiLle,. rAttique 3 ii&.i^Laày.qc tu ne armée J e
beotienér.ajpTecours melfpri beau-père.affiégé
par Minos, dandïfa dtp rate.^rsMis %ÿanr été tué
dans lé combat« on liîLôlevames,1 rrionumeçs hé-
jliqjques. ;. &è layUïev3t quiidnKpeJloiékuparavant
Ï®/Jà;y,futnommée Mettre r .qu mon» de* ce héios.
■ Il étoit père d'LIÿppomène.t jfîoÿe^ A t a l a ^ te 3
HYPPOMiNE.r
M É G A ïfiW , 'fils Je Jupiter & d:une nymphe
rMîhnide -, fe fa.uva du delqge dp” .peq'calion en
gagnant le 'fommeé dmm'onL■ Géra’nié. Guidé par
une bande a'e grues qui voloiént de c e côyé-là ,
par l’or'dre de'.Jupite'r, Megafis 'm.gia •j.ufqu’a'u
haut de cette montagne, èfai dej^is cet'évène-
ment s’eft appelle le mont Géranien , de ytç«vïf ,
grue. ■
M É G AR SU S , en Citicic. MEr. & MÊrAPSaN.
'Les"‘médailles‘ aufondmes decette’ vîile font:
.h
O . en argent.’/'
Leiirtypp ordtpaife eft compofédè trois croillans.
MEMELL fu^nom de p
nommé Bîas, auquel il procura une femme & une
coüfonne. Nélée., rof ,de-'Pyle. dans le Pélopo-
nèfe , exigeoit de ceux qui afpiroient au mariage
de Pérù y fa fille, qu’ils lui amenafifent les boeufs
;qu%hiçluSfmo'urriffôît,daiiS la Thefialie , & qu’il
liaîfoit gaider par ‘ un ;chien dont aucun homme
tfMtfoit qiiprqchêxijBias , qui afpiroit à la main de
P é ro , implora- le fçeouïS >de Mélampus , qui lu j
ipfhMgît^i’iayoirl les boeufs en qifé'ftion , après qu’il
aurqlt i Çt a }u t f râ ! en prifon. .0n.le.prit effectivement
comme il.tâçhoit'de faire ce vol.
MEGERE , uji&ues. tpois fur’es d'dnLl.es dieü'x
► fo-1 fëfvoient Jpoùr>pu'iîr( les I oyimçs Son 130Ï11
fi'griifie »q’u atfpÉîe 1) ell ySriVeide'^fy^ipu*1^
invéer , ou de "e'fi^Mrqaéé ciMtémmyi;
« * MÉGI A», efidMefôflôiafeié. MEriAiTQM.
► Cette ville a une Médaille linpéiiale
grecque en jshpn^pr.dq
M EH AH , mta , niâa y, tti^iq 'àpcjenne'djirJiLgypmî&
jdi. l’Â fit .LUCjjVdot 1 «iC
8 deniers | ni(»doi^*aéfuefle de luaiiqe.ipfümif
M Rauâ.on.’Elle'valoijc, en monnoie ancienne
. j î 5
ï> x, .pondi onf, '
ou 4. ^hêips|,!sj'
1,'Ozi. è6 hodranteÿ,. f
ou ^ i ’ipè'fut'ahip 'x
MEHER Cm BS'Â 1 , B ia S Sl i ü
MEHe Uç ÜLE v ƒ forment qui revfent a
cette exprelfîofi : *Ita me "Hercules juvet. Il n’étoii
;pàs peYmis • aux’ .fomm'és'. de-'jurer' par Herculè,
parce que.jjdit l|iâOE-obe, C'SaL^ 1, i>z. ) , il y aïoit
eu cl è Se fefnm ês' q is aVoienc refu'fié de l’eau forlqukl%
toit preffé-djune fe j f ard.eiite-/.en ramenant
d ’Efpâgne'îés^hoetifs deGerion, ou plnjot lparce
quoene convenoit pas-, difent d’ autres a-ufeuts '
a w feXe’ 'fot5le ï& timide, .de provoquer p,.t. im.|
ferîSûf^Un’nêFo^ vainqqeilr ‘de la terré.L]Éette
défefiîef^îçrnfïechè" ' pas ‘Utfeftbonne vieiîllëj|; âân$
Apuif » ftyïéia/è.JlV. ) L (dL faire l(|_foi'mciy,.r.t -
dautable’ : vS'ano, dnijho tfio , Meherculë,-mec •vdnis
foniniofum figmenttés texture. Voyer EflAsi'r£)R.
M E l u S f e s î > T 0^ Cti s Tîfl
. M É L AM PU S , ét§5{,fils^'d’ Amy-thaôq& d’A
glaiu..($ n g. .rappçryp An&jjrjqt A^Phiaraus la
gcnéalogie d’A uyth,uin , <0 îjçiua (tuLmMit^ic i
que les atrteqf4’ne£q0t| pas d’accord, fur la mèr.e
de Mélafnpus. Le$»vws la ncyrlment Aglaia d’au-
t r e s hIqV^èjtç W u tqnt .qu’elle, étofi Jlle de.
Phérès /fils de Cléthéus. Mélampus avoit urqfrère
IJ y a.voi.tfun an qq’il étoit en pr’ifon;/ jorfqu’i 1
'ehtfr/djlj-le b fuit que fâ'foieht des vers qu<i ron-
geojent|la pq’utï'e'dïiMïtf.' "llleur demandacombieri
ils aybjent eocoiqà rôfiger-j'ds répondirentjqu’ils
a v c d e n é / î b W f d e m a n d a d’être trans-
fa fé i ^yîrqiqe. l’e&j>il iÇfé, quq, la nfaifon tombd*
©Vditàjife dans c'et<i:ej!prifon.iLréto'i,t Jèrvi par un
foçt, rbofi j>homniemàyé 3 -une-, fôrt méchante
femme, de,qui il armîriréyu.d.e fort mauvais^jtrai-
terriefi.s; : que lesjyets uayanoapnotfiîé4 a chute pro-
1 najoç» cl^Rrfiifon , il feighiti d’être..malade , 8c
qb,t!nt,qu oh le rrânfportât çvsMi fon lit. Le mari fp
mit d^v|fit,,& la f^mt^îfdettjèr-e. Dès que le lit
fu t dffi Q,iL*l> t e fq i^e- tô ut Entier,, la maifon tomba ,
&,ecrafa la femipp. L e mari j infljuiL de l’ évène-
yneptji.le fit fayoir à IpHfo|us.,1 qui.•Jcomprii que
Mélampus étoit devin f i l Je m* en liberté , il lui
^ernaqda, de quelle- matuere il poûryojt avoir des
'iqnfafis d’Aftioehe fa)ferrrme , qui ctqjt fiéiil'ej Le
prçPjhptè-T-prQmïf de fâu'p.»celteficeBe ftérihté
ppuryir^Qu’on, luiJjennât Içslboeufs. *pn les lui
p ro ra i fSI 1_ évo qr^a îl/s ,0 i fe a u x 5 .un1,vautour fe ,p.ré-
|eht3 .qui lüLditque.Philaqùe père d’Iphickrs,
mutilant !Jes béliers-* avoit plaidé- proche de fon
filsjlé coûté'aii touL ^ngfanlv qu’Jphicîus effrayé
avojpipîjs la fuite, & fiché)'le1 couteau dans un
ai®reiqù il .étoit encor^î qu’ il fallrtif-Len reîiier ,
«^qlôter la ro a ife , & la faite.boire à Iphicius
gendanj to jodlns,dq.,.fmte y.daus du vin. La re.-
Mtte réùffièi.'dphklus devint père de Pardachçs.
Jfcç, devin emmena les boeufs qujür falloir donner
à Nélée , fij ^célébrer : lésa qcrces de’ Bia s , & de!.
Peid-, dèi.s’arrêta à Mefsèse.tQuelàues -écrivains,
dûti'âjuqpe\ce.ne fut.pasïiâi^cqutfeau qui opéra
ce' p , r m a i s quet#Jir!aque , irrité un jour
Contre ©n|fiJs,/Ka;voit p.ou!Éàfivr l’épée à la main;,
IpljMus-, çut.fiigraride peur ,■ qu’il en devînt ,im-;
pujffaht.ÎJ& l’épé-e é-.tdk : reliée dans.,un poirier oà
Phdaque 1 avoit’fixhee , njayant pu atteindre fon
fils^iSfèft amfîJqui’il.;obtint une femme-pour fon<
frère. .
- VbicnComment iî lîi! acquit un royaume. Proë-
tu s , roi-dlAtgps ,'ay.qit-.trois filles , qui-devinrent
foliés,»mp'aifitipp-d’un ade d’ indévotion. Voye%
-J-pHiAN'A.slip Leur foreur .devint fi.violente ,
cjfflelles, Ce, mirent 4 Cour ff les .champs avec toutes
faites d’indécences. elles fc croyoïcnt vaches.