
54* . 'p V p
les papes Itempîoyêijëpç 'ehiqrë^ I6rfqu^}f*a<cÿtr
| M æ s ' priyjlégw.v, «
. . A rBBMF jTur .uty.të’y te t,de .pi,çrrq
AdjtiMtdg VajÇpj^, ai), r^ppartjPg . faifoit
Hurpr Jfôçtge dq papier
de ,aw,4 É[àgMjiükfPtw ali' uniecimo
fe.colo ..cantipiiajje,. L’ijlujjre. Italienn«voulu „dire
fan s do ute le douzième ;fiècle , KpjHifl ^pr^^it
J?igrt<|!p Vénérable. $at}sd‘a4 bërfp^tqn qpefd’u-
lâgè,tïu:papfer(^gypte ceffa lfepi^|fctoe^Bmej
ce favant cits cornme les .derniers .munuméhs,
connus en «gnp «^ifiè^^ug^bulfe 4? fe fe aM »
•ÇPS^E^jfr » i • ÿ n dtgferôff-id^ ’.dppàipn ,
ai} p}M^.y3^ 4sll% ;S 8«i^w®S-kaiSS^â<-l1PC
truite pe^Xepri LVjft, v;>lçgfe^ë^j5&np^jXIr^
im. aui^e de. NjgpIa^J , un troifième de Jean VIII
dans les archives jpi.j,,dh'np ;
fauroit indiquer de pièces plus récentes en papier
d ni J çOipeqwÿ^ÿftS 'gn
durée au-dé|^|[ijÆijf|eïnè ^iëcIë.^E^ parce, due j
j^gs-lqçç l^|papî%de .çqtop prie FayepX^^’jèftjpsê
îÿifo^ agp§jr4 gop}i«}nçgç'. 4,ëeK?î>o|(tum
àu .^ rep ^ . '
C ".rgS^quélSpe ‘^.tçrê^fque'pd^s pmf^bns avoir ;
a nous rârigéx^dlj^^iy^^^p^l en i^ops ttdtbjqh >
Ôus éfand I ne nous jamais e ca rp x d é la'vente.
H é , diffimulons doncpas 1e? preuves par lefbueiles,.
d'êtré .d?
cle j
tiré Æs1ï|K é s tffi('Min:r^ V .^«r-Xgïj&tfït $F2H!
YiStoï-It. KH* w & P
toatique 8éforî fupplemerTt, n en^jEiîïëTlffë'aûHf
dan's -fes annales j également dééi-five "pour 1er
dixième fi.ècle. : Lin jwiÿiLèSêfj de^ljga^p^r^xrtÆa-
pTer. tMEgypse; la loi ÿpûisâr* Ilj&àjàf^J^é àil'ab-
bàyedeLMpHiïOTj' pjirj: tej pape-Jgaji >JJI J , % la
prié«;'diAd^esejîJ *>*héii^iÈ':4 e^B&qufo ei.!
v Légîpon t &
Màbiîfen '■& fu t là dùfée-dHf paMèçÆ^ypfejjipjf j
les ’ nopyeliescpre.tives qjirl,&:';ea;j^pp^Bt?rf& Mais
jjqas m e fiav on&‘p oiixq ppi^e idpërù er. •* vbùl JM P©eis
conyÿpcre;<iu'ÿu Âxiêmfcfièdfc^afâge^du mêfrt©.
papier fe foutenoit encore à Rome *. f<tcu!o etiamï
jdâinio. Rome, in ufu faiffe papyros, c\t,z <tetf?bùî|ésf
çn cêtte ip^pexéj_Fqitedu:BâpP;R$|^l4^^1iire
de pas?
pcfirae Ip fqint-fiége. avant la jap. dft -MùvJ&Jte
jÇècie ? Çës diplômes confervés jufqu'à nos jours
da ns, ’Iss ?4rçhiyè|ylcX*$6ae "5gÆmi 4ten.ù's“ avis. ;
çoriboüfajrçé dp
de ljrévpg,îjy ' dp -çriQjp'âç
ratori' npus3ddbti}rti3^î zj^amBoe ç ç t te ig ^ e^
tnéprïfé,, jj^f Jg.-pre u ve fol i de qjfiâjfnbùs .dp^dç. 1
de la,,çontinuatîopdë1’em.plç)i du plP!feÿÉg.vp|JR'
jpfqu enyîrdn: letVmilievi
trouve dans desT>üTlës3de Banort5 IX .!, dé ran
p a I
, .vues?, ^amifiéqs & décKifrées
. .tpriep jde Sienne ^mort v^s^l^opMi^eipeiit gp
._Ççsziçtne fiècle. Ses ouvrages ^andlcritSi'ilonl^ j,
. «|uél^ÿ^ie^^pàt^îdês^ii A®iiîiî» s'agit, re^fegt
en R,4fûer, . 8e tq^eljis?4gpaà^}p^ent auy: ^èRivA8
,m s 't'^^,éîàiiS.Ç|i^p4vf“^ 6ê4 ^îjl'Ç'^TBê<i
.pjenne., 4Quô|qi}e, ^prafpri'lksAcrpie "AeJ.pàpjgr
ja<mu'jtft|r i| d'pije .^p jç re
abïblument Qeciîiye^^ÆÀ^Wgw.p^i&gf'
pggyri 'de]tgaàt£f;:0 M; ‘LéS oiffiis de Jèap/XV ,
d^Agapet J l &} • de ;ÿjé|p,r JLj ^^pBÙyelJf^s pAfant
S jk iS ^ i^ P S djèijp ar ®nlïflc®^',P afo^
_||némé1éxp^é&o'tç|^ ^u'jçjjp^ÿpùtja. pjfuèi^de^jijs
^uppp^rdé;^piu<î>taupfqtpjCijfe;Çd|Ô0jà Wp,jppf
kaé%rifs P dféHvF¥i? iPWiii®4w r If
p^pi^r d, Bgy’Ptej j: •,
Mais .cj.xjdi.'éfl: d’unç” eyideçqe f à^lagWfiP? j?
S.mémej '(én, 'i i a| réft^ppdw ,uné ,l}plfe '.ïpdie
XV,-, j^çcqid^' ’a$ j j j f e ^ ï f e
trAf.F »• ;} « p »
prinÆ ait %,içpetè" pluue^tk £pis:? j qye^çey.^V
plomeétoit eti pa'jSer'apjone r c c lta -u jre fl E-
^yptfe«j L e , ^etTO^âdpr^él^liWj^lli&ids^îflJ^ËsS
eroplçÿ'e.3ê?’4 ‘*er*ŸâQe' ç^Btr ’ e^p^neti au papier
-/EEg^pipîtj pn-sjen|ery(ojt aufli* tjnIjFaancé. J^'a!^-
teur ,
æ rW ÇP • l?^&C'HPF
Mlyèprè
:J5p5^eàttpdre;.^u^^ c^^gn.. d^y;^|8i|pigjta,
I ^ançlpops 4 à0Ç » - f r ^ lm à ^ ^ é Ê m
ndre^ au moins en Itaije „^fiir la fin. du'dijiïlnie
fie.cle jjX . rnçjîïe au GQmm^pç/^eptidigfMiiijèmÇj
&ct .gp^.u *• I^Fp
perdre j, il-tie cefla pas totdsmept.lông-tems avànp
le/d^^içipe. ; , ...
. Yipov/^1 r:e ï ui el5J^He|qu4 4 hq!eiide plus '*$>
ESîS.tr 'hPP .m^a, a^grç^îaiplt parle 'Mont£àuçoÀ>
j# y aîda^^f'
du4 etn& de S- /Lpins |u.ç
i ^u papj^î d Egypte,, p Q u ^ t à' c a fa it, il ,p j
inagSjgajp^gugns etnyabje. Q p aum ’^is.jgppjk
îi^nrâentlepapier dc-kfiifFe du;defco.tqn !pour,.'dQ'
p^plFfiyfcBjjy i^iprv ^ 4 ,*^ipp«ria85^ s y p Y B e^p^1 du
cepâpier , .dar^ iîtte.iïettce'dès ..Hqrbps ., uinj(iô.i}J?
a iiô p ^ ‘èna p'aS [d ^ 0fltinué .Idfage.en’r^!me,rique. ?
_$c ,pji}t-£tre ef&que,lqiieicon.tvës d Orienr J fupr
pqpyosi g iu f eu;çflfKcjji&,4 ’âjiplf r- avec la .chute
g|4 ^ p g î^ j i t e s 4 e ,:c^,;pâè$er
tatne.
.. -ÀjM’^ J Î ^ U i t r . M q b i l j ç l i ' f ô i t
îqpidee op^qufellft ne 1g fpiç pas j^il’pFagç du par
piçt.dlEfiyptêj, âpiplument'jbolren -Europe avarjç
leTCefeieiîïènede ikonîonaftuVreïïourcefaccufation
F A R
fattonde eaux qui donnent une origine plus ré-
• ceptes aux pièces eonfeWéès 'en cette/ matière.
Simon , Raguet & Germont font de ce nombre."
La chaleur de la dlf^utedés ‘emporte qii'elque fois1
jufqu'à repréfenter des archives refpeâables y
comme fe rempliflant tous lès’ jours} depuis un
fiècle , de Nouvelles chartes ë jt papier d'Eg^|fe.!
Î Hardouin fait remonter au quatorzième lîècle
la ^fabrication 1 des diplômes', y. qui ont trait* aux
._ r0-is de la première ou fécondé race. Seloft-- lui,
toutes les chartes de France, en papier A'Egypte ,
ieront convaincues de faux , par cela feul'quelles
fe rapportant à nos anciens rois| & qiteflës ‘Aip-
PP;Ce .qxiftëqce dë ces 'monarques. Syilêne
d autant plus infoutenable , qifon n‘a pii fabriquer,
depuis quairé cents ans, des pièces reepn-
nues pour être eflfeéfivement de cet'ancien papier,
par les ennemis, les plus déclarés- des archi-
ves- Car corn ment a f-on pu forger des diplômes
-en papier ÇEgypte.fàns enavoir ï Comment a-t-on
pu en avoir fi long/renis après: que les mmuhe
- £ulef , °ù il fe fabr-iquoic i "et oient entiéi ement
tombées ;J & qu'il .ne s'en trouvoit plus dans le
commerce ? N efl-il pas de la dgfmqr^extriia-
' - r ,bd,QE-èn' ^ ^ F,g li!t''d^>.ma: ;
. gizins -, pour préparer à des fucceffeurs , e'Iojgnés
de plufe uW ? h'è fcl ts ‘/ ' H à 'matière* fur 'jaqu'clle ÎU 1
dévoient ftrppü&fe'f urfe- ïqffle dl,-f|üx4i/res;r w?,
» »SÉbû, Màfféi,' ii T'VJ^^ègn^àVis qulHe^pap
erd Egypte n e!t plus d'ufage , pas même chez
les' Orientaux;. Mais quelqjiè".pirti qu'bn em '
*lVl‘'le 1 olt U2 fao oh nier que dès le treizièmè.
; hecle , l’art même de la fabiiquer1 ne fût abfolu-
ment été-int i é Ttxtiq «jnfo.tixrrtu > ors ram. de '
■ reliüti eft. C efi: ainfi qu’Eullathe , qui vivoit fur
la* h n du douzième , ‘s’en explique dans foh com-
■ mentaire fü;0 é:,XXle. livre de r 0 dyffée. Ce fe'ül
tjaitfuffit fans doute pour diffiper: les Toupçons-;
injultes.&' IçX'prérentions .chimériques des auteurs
que nous coiiibaffons.
PARABASIS., terme de théâtre des anciens jl
î.SBa-fioPihè .un épifode , une digreilion ; c ’ctoit
r?| tëms où les âàeûrs ayant difparu, le.' choeur
* ’ s adeeffoit au p.eüp!.è peur lui débiter quelque feu-
tence , ou pour fjjrè quelque cenfure. H
,\^ A R A B Â ,TÆ r ^qrmejdésçj^uX dukifquei, par
• i equel on -defignpic ceux qui .,;' après, avoir .couru
- fu‘ uti;çh.ar: conduitpar.un cocher, coufoient en-
:; CO-re è-pie-d : Einkù çnim eqitorurh 'cenamine' , dit
Denys d'Haliarbafe (Lié. 7 . ) , ciii■ jvte^ in pedâ b
. cur.rïbus Aeji/iénte's i qÿihfls utih cilm: âdrigis Vf cil
erant,- quos pobt& ,pàrabatas , athÂnienfésiapobàtas
yocantq curfu ffadii inter\ ■ 1 cçpcant. .
W- PARABÔLa N ou P AR A BO LA IN . Chez les
Antiquités't Tome IV ,
p a r m j k
anciens , c'étoit une forte de gladiateur qu'on
àppelloit a.üfli ctmfeSor. Voy. CoNFECTOR.
:i -Ce nom leur fut donné du grec Kfelï*dKoè , de
/3«Affl , je précipite , p’aree qu'ils fe précipitoient
eux-mê'mes dans le danger de mourir.
Pa r a b o ia k s ôu^a r a b o l a in s^ nom que Ie$
auteurs eeclc-fiaftiques donnent à une efpèce dé
clercs qui fe dévouoiènt au fervice des malades ,
& fpécia-lement des peftiférés.
Ch croit que ce nom leur fut donné à caufe de
la feiiâiion périlleufe qu'ils exerçaient xrepxpoxàl
W ' } ’caries grecs appelloïent x x fn ^ ^ s , & les
latins pprdbWôs & fyârSbèlkHeS, e e tix qui, dans
tes jeux dè 1 amphiüheâcte-, s’expôfoient à combattre
contré les bêtes férocesr
Il^y'k apparenté !qu'ils fifrent inflilués /vers le
tefnp’sdlü Çonllÿçlinpèt'ïjtfiFy eh êücdarîs toutes
; .Fiais ils.
n’étbient nulle part efi fi grand nombre qu’a Alexandrie
; où ils^èArioient un cBfj^s'dê'éoç per tonnes.
Tlféodofe kq'eu'në l'augmenta,encore de 1 0 0 , & .
les’fqum't a,laj-unfdiélion du préfet.auguftat, qui
éwte j'a jlrçmîc^mnigiftrat de cette grande „ville.
Cépënd¥iif!j ils dévoient être choifis par 1,'évêque ,
& mfnifière -
de charité „auquel ils s'étoient dévoués. Comme
c’étoient.pour l'ordinaire des hommes courageux,
famiiiarifés avec l’image de-la mort, les empereurs;
avoiènt fait des'loix extrêmèment févères poui les
contenir dans le devoir , & empêcher qu’ils n'exci-
taflent des ieditiofis, ou ne prilfent part aux émeutes,
fur-tout à Alexandrie-, où elles etoiert fréquente^
On voit par le code theodofien que-leur.
:nombre étoir fixé, qu'il leur étoitdéfendu d’afifC-
ter aux fp-.fl::ic!es & aux affembléeS publiques , où
même aü barreau , à moins qu’ils n y euffent quel-
qu affaire perfonrié|le, ou qu'ils ne fuffent proeù-
reurs de toute leur fociété; en,cor.e ne leur etôit-il"
p3S permis d'y paroître deux erifembie, & beaucoup
moins de s'attrouper. Les princes ô£ les ma-
giftrats les regariiqient comme une efpèce d'hom-
mes formidables , a c c o uiri mes : àmé p ri fe r la mort, "
& capables des dernières violences, fi fbrtant des
bordes, de leurs fonétipns, ils ploient s’immifeer
dans ce qui re'gardbit le gouvernement. On en
avoir eu des exemples dans l.e conciliabuled’Ephèfe
trnuçn44<), où un moine fyiien, nommé Barfuma/,
Ulivi d’une troupe de paraboiàins armés ’ avoir
commis les derniers excès', & obtenu par’ la ter-
reu£ tout ce q:u il avôit voulu. Cette expérience
avoit fans' doute donne lieu à la févérité des lojx
dont ori- vient de parler. ( Bingham. orig. eccl.
tOJhJ'Tl^li. I f l , ç, y j §■ * j 1 j,? 1 4«) *. î
un/ ,es c'nù principaux trftur'
naux g Athènes. Le pjraèyfte étoit fitué dans ua
; Z z g
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