
Je peuple j - Pour, mettre fa
d epr-tavès. Les phéqciens\ 3 ajpes,,.ày'p:rf comble
iîlyffe de pré fens, je . fon t ,.ç0>d.mrg, à Raquej . la
on Fenleya tout endormi du vaifieau, on 1
fur le rivage » & ïe. vaifféau repartit enfir|t|
qu’il fe fut réveillé.
Neptune, irrité de ce que
tranfcqrtéi à^Itaque jun,
à qui il préparoit de nouveaux travaux, réfo.ut qe,
fe venger-d’eux, A peiiîft, Jè, vaiffe3U;dés|etd^r '_fu^-
il à la vue du port , qu’il fut tout-^-çouç $ ?n g e
en rocher. Les phêucinns cjin etôi.ènc cô^s^p^rtis,. .de,
la v ille , étonnés, de ce prodige »fe $ifo:bn$V$ ;A
l’autre L grands dieux l, qp»; èft ce, qui a l%no.oeè;
vaiffeau fur la mer, à la fin def3.; courfe.Pcar le
vaifleaü.paroiffoît: tQi^.éptiér, A!oH %Alcjpous. K
rappella d’ anciens oracles que fon pèrq lui »voit
annoncés : H fe. reffpujitit, que î^gPWi^étp;it
irrité contre les fh ia h m j^ f i t ce. qu fi&J|$§§K
les meilleurs- pilotes v$ i ’i î y épt au. monde, St
qu’ils fembloîent ne pas relever de Tui 's qti un joùr
ce dieu devoit Éwre.pé^îr gu najlieu des flots un (je
leurs meilleurs vaiffeaux^ui(.re^ndrôic de cgp-i
duire- un mortel dans f i patrie., £ ;eff, Pqùr^joq $
ordonna, que ,, polir . J«,
immolât doqzetaureau.xpÇRifîSs& qq-qdljl» PJffo
mît de Reconduire rl^ HWjfO w
afriveroit chez'eux. V.9^ \ , ÎSA\[5|-,
ÇAA , CÔRC'KKA.
, PHÉBÜS; i f rc'y«î; PHOE?-u^* i |
PH FD ftEfUle.de Pâfiefraé, 8ç'^M[lld%roj'«lé]
C rètp Joe.ur, d’Atiadtîépc^é
du nom‘,
avoit eu d’ une premièrlf; femme uiî fils , noamie
Hippoljrp, qu’il feifoit- S jk s ^ a Tre sçn fc.G e t
Èinpolyte.ïut l’inftruraept dont Vépa^fe feryif,
pouraffouvir fa cdlèté qui lui fa îfQ i^ ^ c u te t j
Tous lesidelfendins"d’y f p c d S jd ù
quels étoïi Phèdre- Ÿ o y% 3T ^ 15il
Elle la r&ndic amoureufc d H ip p ^ t é .
HLiPpQfiXÆÇ-ln
Selon Euripide , Pkedre fzk d’abord tous Hes
effortsrirôuf etouffer c e t amour; najjïanr, | ^ ^ s
-(je je. fefltis les brtrniérsRrairs, d.unfc.MlTO-.
g fermeté contre un mal' involontaire*je com-
„ mençai •àl’enfôvelîr dans un filençe prdfbtlâ.-.U.
» je me fis enfuite un devoir de me. yajpcrg
» detre chafte en dépit de Vénus. Enfin mes
» efforts-v-coptrc^eVft wÇfcPÎ*.
^ fjant iijn it ile sm a deniiqrP. ^
» recourir à la
£ vertu, eif plq§ précieçxrôu^ l f jjrçjÿ. *ts
malbepreuf^rtMijente qpL Jpf ,fflWJfoÿ fpH%îroq
.fo a f^ cK td e loft ambirr , ne chargé de K taire -
I rëulfif 8f'd’e» ’foiré ia décîahpôft[''| Hrppôîÿle.
Çéiu!i-ci èft faifi dïhorreur à cette affrsüfe propb-
utiohi 8î veut s’exiler du palais p Û s tÿ fa r r iv fcd e
| fon pèr,e. La reine iùftrùitè des' feûtîmeriid’fïîp-
; poly-.e, & au défefpoir de fe voir diffamée,,! a
refearS à. un lâché ar-cifice pour fwver feh
f njtir ; « i ’êéifîiréfâi'
| » ■ l'amoHf, niais cette tnçrt même me (vengera’,ï 8c
i f?l.mpnienneïdi'rte jouaxâpais.'dn irSM9pli(^guj^|SiÈt
» promet ; 'l*ingr.ft , devenu r^u^hfénàf fon
s-».tour, aj>prendtr^,àrr^rime'^ là., fierté
| a 'fouéhè éfemi EllemiÆan'tlB lâ’rasM^’ftiâi's'ea
j-mourant, elle tient datiLfa main une lettre'"^uéflc
[ écrit àThéfé e , ,parv laquelle^ elfe déqlaré qp’Lîip-
: p o l^ e * â ^ t voüm la âeshoââret, &^ulèüë h ,a-'
[ voit évité le malheur que pan fa mort.
| Dans le fameux tableau <fé Éolygnôte, Phèdre
■ S'éfojf pçjnte J®pfgK .{d^i[t.atr6i |-]cpe
| qprae, qu’elje^ benoit, des? dgi^-.rnafhs;'g .,|s.
balancer dans les air>s j ç’ eil arniî, 'dit Papfaùiasf,
j qqq-le.g|iprip ^ Vquluçouvriï
« lequel lâ\ malhçureufe Pfièdrg^^mÇ.'féslsjoMS car
' eiléip pendit dç défefpoh-. Elle(eutfifépultupe à
j TrézéhÇ^j-spçès «d’un pjijjrijh^ dyp^lefsi£|pit|es.
I éjoj^qtjtqùtes
rn'étbit p^'vettür^Sn mais jBhÿfé.jtiçipisijqqe^
| Phèdre étoît poffédée de fa paffion , ne trouvaîi|
aucun foqjagemeftt « fâ ja tr(iitq>,âk'fpn .eqjî^f en
, s’atriufapt, à^per^^çilès feuilles, de ce rnyithe,0avee.
> fq» ai g u4 e e. c he v eu x. troi
j ■ -i®h;vdffiâ:fe villte'iL^dbvifi
}de PhèdPè-’ êù
| B&[fb?i us1 #véd .» I
j lé ttit4è -^ ^ R î ï iS ,3g ; ’
Làf ^e^miSsA’. l'a., hotirri’çë 'ag
ÎPhedrê è t 'à Flipootvtq’d'e ra.parr/de fa,'^maîtrèlTeg
! mS lè,
| pa i,,W ‘%^élrn ahu 'ZJpt&wiL [ si
f l$r de rdéui pémfu|es3 ®gï' 1
! dans [fa s aMerCÙM^m^ J f f i l lE
*£? J>rHltrc jffpjwsemps^kMei^p^-flé
{Tft^.,.gxâi^.pât,S?ésç,B|ar-t®,LPv r fw -, rlay «
p&fy f « “’’pB^rpar vdmri. pajir TeS -iQRËmjp' dé
jVéens 3r aujjt&Êjfôî
j PHE0 O N E F .J u p ite r de Dodone eft.quef-
j q u g j p ï â r â p p f j l é i î
'pa^q.;qUfi y!gvqif à.Dqdçne/un.hêjre qui>fetVPiti
;au|,ég|<^es , & danSrJdqW.1.09 c^yibit qtieljqpiter,
th^pitoif.. a
f u? Jft iPî®i »
Mi pFqt|Kd% dfeKqî^ri# dé MjÈjÊfâ't>'{
& là première qui fit parièrTe dieu en vers nexamêtees.
m è très. EU e« vivoit du temps d’Acrifius, grahd-
père de Perfée.
" I iyE N ^ O S dans l’Arcadie. 4* neon &
^ENÇAms.
■ '■ Lès médaîlîffs autonomes de cette «ville fonti ;
RRR.. bronzé. ;
* O. *én or f
. ■ O . en argent. ■ 1 * » ^ ;
Leur type ord'irfaire eft un cheval paiflant.
Cette .ville ;a fait frapper des medaillesj irqpé^
ri^e? grecques en l’honneur de Marc-AurHe , de
Plamille, de Caracalla.
Pé£n«£|*é||>it fituéè fJr'ès de Nomarus , 8c S fa -
bon'( Èf L $ï|) place entre ces deuxrviiles le rocher
â ’oh çoul'é'jfeau du Stix. Virgile (Ænid. 8. ) fait
'ênteiidie^qeie PReheos, avdîteté la demeiire d’È-
vandre & cel e «dç-fes ancêcrês.
5 ® f EN EUS’ ou PHÉi&lasVf^c de l’Arcadie où
fe fleuve 'La.don'XPjufan. 8. )' grenoft fa fource.;!
Ovhiè.affut®^ué'fés> 'eaux ,;bqes pendant la n u itf
donnent”lÿtliBrt ,'q}toqü’elles fuffent innocentes
^Bd‘,àn^B|çùiim‘ i-l
rji Eft iiiçus Arcadin , Pkeneumilîx-ere^priores »
‘ A-ml>igufpeltus' aquis } ç^as notte timeto ;
' droite no cent pot&, Jîne noxa, lu.ee hihuvcur.
P^EMSdTWS V albâtre «grpfeux qui fe trouai&it
en cGâppàdock H étoit tranfpareqt. â-peu-près
comme la« Cir'e. P ltn é f’^lî' a i. )' dit quelle' teippie
de la-bèrtung,.tVe|aïHfôiÉ5bâti tour entier' de«'«cette
pierre, fjqatop^vo.iti point de fenêtre, !&•', que. ce-
peijidaiitjyi étoit eflxttétpar. la foibie lumière qui
.pafToiteau tri^ers des rnuraillçs-.': ' ' .
< * } ?R | 1E N I .C IA R Q U E ; PoyeK A s i a r q u e . -
- FH ÉN IC fe . «tOINI.KijG & ’^OlNElKAICiN.
' . Son,fymbole ordinaire fur les .médailles eft un
palmier/ -,
- -Cette/çontrée réduite en province romaine a Fait
frapper desfnédoll^jmpëwâîes.grecqbes ên (’honneur
detNérdhji’de Trajan,' de CaraèallâJ’
On a pliifieurs' médailles fdé ebronzè avec des
légendes phéniciennes, qui n’ont point’éncôre ,'çté
expliquées. ■
d'RHENTÇÏE-NSjf^-’dérive’le nom dë ’phénicienj
*u des'palrnicrs appelles en g ie e f forVfjd j qui'fdf|
communs dans la Phénicie, ou d’ün tyrîen nommé
dontpatlèfaftble, ou de ia^Mer^Rouge,
Antiquités, Tonte I P ,
des bords de laquelle on prétend qtl*i!s étoient
vènus. Phcettfa Jîg.qi&e' quelquefois rouge * d’où
Vient punieus & phoeriieus color.
On attribue« auix phéniciens .p’ufieurs belles îri-
ventians, par exemple., l’atc d’écrire« Le poète
Lucaim s'exprime ainii :
Phoenicespriihi,fàmifib^^îïlp',nufi'
Maâfuràmrud‘bu$iVocenï;fignareÿiguris.
C ’eft-à dire , « les phéniciens, fi l’on en
» çrpiç la tradition, furent^■ jèç-’ premiers qui fixè-
>? renc par rlrs fignes durables les accens fugitifs
» de-la;paro!e ».-0n, dit dç plus qu'ils entjes
premiers inventé la navigation , le.ttîaficy l'allro-
pomie, fes voyages de longs cours. Bochïrt a
montré par un travail incroyable, qu’ils a voient
envoyé des-coloni.es, & qu’ils avment laiffé des
veihgçs d e je u f langue dans-prefque toutes ks
Aies «&. prefque ‘foutes les côtes dé la Méditerranée.
Ils «ont les premiers habité; Hle de Délos. Lent
trafic avec les ' grecs introd.u'fit chyz c e ’ peuple la
scorruptrou & le luye; L« tirs colonies portèrent
dausles lieux où elles s’établirent , 1e eu1 te de Jupiter
Ammon, d’Ifis, &. des dééfies-rrèrès.Ils fuient
les feols au tonrrmerFcemerit qui euffept I,a liberté
de trafiquer avecVEgvpte Dès le r-ègTïe de Necos
ils firënf le«tour de l Aroi’qûe ,|^£ en connotent les
côtes niéndibnile-s. Ils échangèrent fur les côtes
d’ Elpagnele fér 8ëf e’oa’ vrdjjffontre de l’dr & de
l'argent qu’ilVteicèvoient en retîùir, /
On peut ajouter qu’ 1s ont ouvert le commerce
désolés britanniques. Quelques tfiodernes ont
voffiifaire honnetjr aux‘grecs des commenceroens
decë'commerce ; ma s dot eqù'il tfl: très-incértaiq
que les grecs'l’a i tq ln a j,'s fan , Strabon ei netter
ment que Ifs phéniciens Fontcdmmencé , & qu’ils
le faifoient feu’sueitne's!précis q«jidétruifent toutes
les conjectures des modeires.
o Lers PnenîÈièrts, dit Wrnkcefinann, qui, au rapport
tfHérodote éroie.'t d.s homm-s d’ une conf»
t tiitidn rdbulte , dévoient être très-bien Confor-
me's,:& ’pat cotiféqUentle de (fin de leurs figur. S
doit êtreanalog.ue à cette conformité n (L iv . 4.p.
l. ijo. J.Tite-Live pafrle d’un Jeune Numide tx-
traordinairemlnt beau fait pr fo n ter par Scipion
à la bata.lfe qu’ il'HvFa à Aldiubal près de, Bdëtufâ
e*rï Êfpagpe (£ iv 17 . c i'1 9 ) La'célèbre beauté
Qarihàginoife, [Soph>^isbe, fille d’Afdrubàl, maJ
fiëè,8!‘ibi®^'S|Ï5hàiÊ & enfuite à Maflinifla., eiî
çônfiue dans toutes ieshiiloifes».
Æeiphéniciens, dit Pomponius Mêla ( £/v. 1.
e. oient très-laborieux, inftruits dans les
affairesfoùchant la guerre & la paix ; ils jouiïToient
en général d’une granje répuntion defageffe. Les
R r r r