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M E N E t'A I T ES«-'
M E: T: E
■ O'NEF P HÏ' fESi T'-s i
O », T R I >fJÇ H I. T: E S.
P a n o p o l i t e s . * ‘
•P E f i y j i y .M . $
■ 'P H A R.B Æ T I T E S.
P N T H E_N E, O T É S*'
P X N.A m t? s. .
PlkOS'O? ï tT E S.
■ 'S Al~T!'®sï V* 'f’
; S E B £ N N Y T E S OU S E B E C N T T ï S..'
T a n i t é s,i
T e ij ty js. i t e s ', • <
• ST H I N X T El,
X >O l f ES. J ,
Dans M. Pellerîn ,* on trouve éncorè Bax& a -
-chos avec X ü f -
' 'Nome. Tout chant déterminé par des règles
qu’il n’étoit pas permis.d’.enitéindr ej port Jt-cfièz
tes, grecs le nom de nome, -f
Les «orner empruntoien trieur dénèminafic^;
ou de certains peuples , 'tu ^ js S ü p q ^ n o y t e f f î-
dien > ou de la natiire duÿrîrljrne,1 /fwæe .ôjttFuqB ,
nome daétylique , son^Vroichaique itou * de »leursi
inventeurs, nome hieracien , nome yaJymnelïah ;
ou de Jeùrs Sujets, norme pÿthien, mome “coijai-'
que ; ou enfin de leur mode,' «o»m hypâUJiâ?*^
gra ve, nome nçtdideou aigu . fe"c.) ,,
Il y avoit des nomes bipartite^. qiÿJexhantoiÆnt:
fur deux modes ; il y avoicïnêmè ùtf‘«omtlppèfté-'
tripartite, duquel Saeadas ou Cionas fut Einvfeii I
le u r , & q u i - c h a n t a i t , flic,“Jejjtjois -ruades-,
lavoir :de dorien r le phrygien, & lé lydien.
X OM E ff. Quoique ce mot ttowekfe trouve I
employé dans tous les Bons auteurs ,‘f»ûrv'r5i§és
fortes d’engagemens par-écrit, foitqu'ils porifent ■
intérêt ou non, la jurifprudenpç romaine ep faifoic
une différence, & n emploÿoit ïgroprlrnént te
terme , que pour fignifier ce que nous appelions
un billet ou une prorÿejfe^de payer qui nplt accompagnée
ni d'intérêt / ujî nuffure. H y jptraj
des gens'qflg l'on nommait ptçrarü ou proxénète| ■
qui faifoient prôfeffion de procurer,, dês.xrèan-'.
ciers de bonne volonté^a ceux qur me’riyjÈjènr
à emprunter de cette forté. Ces jbÿëti?nerrlaif-
fpient pasd,’êtreinfcritsfur dgsrggjflreç puWkg >, t.
mais 4 ifférens 4e ceux où {ô à tofjli¥0ft 'îe ÿ # 1 i- 1
1 gâtions ^ui portoiept ii)|è^êt» Ces derniers regilires
s appelloient calendarUisÿ parce que les
intérêts »fe' payaient jto^s’î t s .mois', fe même, le
premier, ' que' l’on .nommoi: le jour des- car
'Jfejodésjyt t).
^NOMËNCLÂTEJJR nqmençla'tOT, en greç
i Le no.njcpiilqtèur éLoit,
-celui qui,difoit !é(ripm de'cHyJue citoyen au çah-
I didat, lorfqu il venojt fo|liciter les', fuffrages' du
peuple, pogr la charge qu’il cléfiroic d'obtenir.
Il faut favoir que dès que le ; magiftr-at avoir '
permis'à Un candidat de le mettre tur les rangs'
pour quelque emploi, alors le candidat fe > rerh
»doit fur la p’%ee en -robe blanejxe luttrée.j .poury
i fe, faire voir & flatter lç pjugje ; cela ^’’appellolt^
I pretifart. honore#.} p a r c e 5 q fa S i-n è - f n ï^ ^ l f e é p a S * ^ ^
1 ^ es de chaque, citoyen,, »&rde- lui
faire mille careiïes; c’eft pourquofQcéron nomme
les candidats , les gens les pflus ‘polis du monde,*
[ officiojnm nationem candrdatorum,
■ 'Le-!candidât CQiîrfifoît* ainfi. ïl^péuplè deux ans
lavant que la charge qu'il d’éîtrorf' fïït WcSftêÆe
des „comices arrivé, jl fÿ fo k fa demande
I .dans J es formas } Se conduit pas fes amis, jl fe
plaçéitffuf un monticule, appêllé c^Â'^ftj-r^/o^OT., î
|vis-’â-Vis»le champ de Mars, a'fin y ê î îe " vu^dè
|çdute-Taiiemblee GbfJîmèfc'itpîf urfê rparcfiie d \ f-
fcme de nommer chacun par'fcg.nam-^en le f i-
j t ^ &^qûê les • cari,diclats‘ rie ppuyôiêfit pas^euif-
’imêmes ,{a^€îr le.nom de fous -les «f¥n îiils qui’
îdorinbieuc leurs fuffrages il? mêndiè'nt'avec‘éltx '
|4es,efdaves, qui n'ayant eu'd^ûtir occupation^
,jputê 'leim Vie que: ;d'jp‘pfehàré1es' nétas ÿë^cf-l
Stoyensf, les favoieht parfaitêmeift, 8e les^foüeut
|âppelles no'menclftteàrs .•jc'effi'Weux 'qu’Hotaéfl
parle dans ’fqh épifre 6 . L. I. v .4 9 ; ' » .
Sd^fortmntdm fpWies^oelgratia prtfiat-, ,
^ MercéniUr fervumly!(i dîïïet ûofhirid^l^vim A
Qui fodt4t Ifijujçfa Gogit iptnstpondetp dextram
P?-rf $ J et hic jnu.hufh în
l i p r S* c-eft le fafte & le crédit qui. peuvent vous
rendre-:heureux, achetez..un efclave qui vous ap»
•prenne’ les noms dè/ceux quVe,préfentent, &-qui>
ivous. tire doucement par le bras, pour vous avertir
■4e tendre la içain à ceux qui palfent, même,au.mi-
1 leur des plus grands embarras, & qui’;jf-ous difé^
tpuéh(as l'celûi-ci difpofedes fuffragei dans la tnbu
fîbie.n'ne , 'celui là 'è f t tout-pnifl^ut dans-i la tribu*
’Veline*».
^Difops, tout auffiA*ftpuifqué‘ nous fouinrs
füt.'éette' matïçre, 'Les cand}dàt$y'pour!Ifriieux'
e.trtrép'fifës^ W ^ p W B
^hslà edx, ‘dSpéffés'didi
tnbute'urs, dèvifoires'™q\A- diftiibùékut 'ds l4aigeaç'
a chaque, citoyen, pour obtenir favoix. tls avoient
■ encore des hommes intelligens app'élles féquefires
»ÇIÇ èntrernelîcâÆ.f en grço mnywwmqui fe ch.ai-
.giôient <de gàgnetv les' fdffl'ages'du peuple, &
tenoignt chez eux les fommes 'd'argeïit
promifes. Enfin, il y avojt des gens appelles m-
tcrgoei-es L 4ont?bn'J1r few o it préalablement pour
tiaiteç des conventions, du prix-dés fuffrages» C ’efi
ainfi que fur Ja fin de la république, l‘ey charges
& leS îtjagifh-aturejjj 'fp vendopept/au:pjdÿ offfanf.;
0 \ v tlè ycualë^s ecriô/t Juguîrtha Jpoür qui poür-
,to»t t a c le fu JV;D J.jJtetfjk-
OMEffCLA T OR x eehfàriu.s ( ‘étojti .celui i^pui
deféroic aux cenfeuis’les noms & les biens,dés citoyens:.
qui n'alF.oiem pas eux-mêmés porter leur,
, déclaratij-q 5tßlo^Jlp^ge desvjcomains , pouryetre,
t (^mpris'Jaiis^le qens.» j
, c h a r g é s f a i r e placer les^öim#s.
, 1N OM IO N ychanfcini
que la ch an te ü fe Ëtiph anis c o Âpèjfi.e n faveur nui
chàflïur. ''M^nafqtie, dontéellé etbîc ^épcrdumenti
'âoequreiifed'l»1
^ N')\i lQLr. Ia?r.éd
ftyM^ufiéarqui pôrtüff'ce feqrn , 'éuS^confacré
t-.hér fiC s 'lreSj à "'A p alloy jjdfe u-' ‘f e WÊ & des;!
en fil'irs1. t f KiOlfö^dfi m îcofiie lls'tlV.nts’
^W fas s , Sf'digfies dn dieu auqusE ,l|s'yê™ient
5|N O M ' rrfp û tiq iêl î.,d ê r ojn à f n S Jfôus
. Coâlantifi^lfêsJÏÂc|fl’e j i^ >Foye5; S-oy d o-r. *
n g n p i i W ÊÊBsÊÊÈÊÈÊSà
, ù oW è$ ' ' f -furnom de Mercure..IUm-étoit
3anfiêÆ*oir^3 TO[(|" d^s, règles dè l’tloquenêe que
c,eYlieu livôif éréflie^', ramparÿè q^ll'çtôit'fè’dièu
d^ 'p a ftq u r s ',lD 'è '^ 5^ 70r , ou pdiu-
•^Afidfec fuDaufli mr^mr^.iNofniis. ^
gaidî^lfe rfimp'ÂgS d’A âm fe .
M â M d P k 4& A G E S ',’ƒ\ L^- icerori ( Lid. ITITI T. dOe
) lô.uoit la fàgê'.p'oiiçéèdés grecs', qui av.oiènt:
établi pour la garde des ïpix , LEGUAI ÇUSTO-
DJAM', des ofliders,qu'ils, àppelloient nomo<I-y •
a a k ç s & qui éïo ent chai vs*de ve.il er à Itxe-*
/ Ä11^ r fPktlféni asfËîi ac.
» étoièAô
•öliges d apprendre de» et? offiÂéfsrivant lafc l-
lebratiori dyÿjeüÿ'foùdce qkrdéVbîVÿ êtiertJÊ^j
W .y|.’ Les no'mophylaces ccnfervoient les loix dans’
des'depots ; qffi eroienfotdinaireiHenf^renfeimts
dans fenceinte des temples. Les colonies grecques
pe manquèrent pas d'obferVer un étabhfiimenc
aufli fage. A Corcyre, les nomopkylaces ( Murato'r.
Infcrip. p. 737. Ariftbt. Polit,’-)ou tre la garde dès
loix, avoient inlpe^ion fur l'emploi des denièrs
Itaqt facrés que'publics :',TA iepa kai àhmôsîa
XPHMà t a . Chalcédbine | qui étoit aufli une co-
’ Ionie doriénné , avoit établi les mêmes officiers ,
'& probablement pour des forifiions femblables.
Le mot ftomopjtÿlaec eft formé de x^W.»
t'8e de, Çnfydrtjai', Re garde. ■> *
L'exêcüyon des criminels & lünfpêâibn dés
Spri.fotiniers étoient compifes aux .foins des nomo•»
phylacesi:Enfin , ils avoient ïé'çïrbit, fur de fimples -
JfpÜpÇpns,i'd'artèlê<r[èp'fr 1 pdbris , les maraudeurs,,
gc'n’s fans 'aveu’, les cqufeurs de nuits de les
mourir-Yins auye formalité s{ils avouoient
^leUrs''çrim|:s:; mais , s’il lés nioienc, les nomophy~
,^ N 'GM Ô T L ftT E , 'vaftnêiTis. Les' nomothétis
étoifenC,dffS magifir-ats d’Aihènes , qu'On tirûit au
;fort'entïé'ceux q'ui àyoïètt été déjà jügeS au trî-
' bunal des Hélîésr'Qn Ifs ahoififfoit aumoïnbte oe,
M ille§ r,un , afin aua deux avis 4.ffeiensjie puffent
qprant avoir En hombte égal de fdffrages.
'L é p t charge n p o it ' pas^ tout-à-fajr, comme
l-or*MnrfernBle lé portéryqe fin é,de nouvelles
noix'par. leüf 'au'tprité ,p é i r, 'ééffôHné‘ 'avdit :'ce
“pouvoir fans l'apWob,anou db fêftar&r là ratitica-
; tïon dtypêUpl/.LMafs; ils. .êtqfent lpfç{|oïés pour
a^*Iiér fUr lérs loi'»;' & s’ils en trqüvbiênt quel-
• qu'unç<qû|fût inù'tiV'ou, préjudiciable au peuple,
, bâ, qomraTre àu bién -ptiblic’ ils, en demandoieot;
1 abï&jmrofi’pàr “upv‘’d'écret du'p'eujilé.'dis avoiefit
Encore Jè ^ foit^ëb ipechëdyue perfohne ne la~
•bourâr'bu ne fit* dès ‘Toffés* yrôforids' dans l’é-
^rendîte' de la, m u t ile péla&ientie ; ils poüvoienc
faifir’ lts èonfievèiaiis , Se les'envo^eE a l'A t - ..
yhühtéî'"^ ‘
Aji/pefle , le pomotbete, tôûp fçü! défiggè
prefque itoiij^ursi. pans les, écrits 'des joratèurs
ig.refiS)j' Jjiluflrqj Spjyçfit.jqjulytoit regardé -comme
lelégifi^tcunparjç^eljçpee.,;,};
! 'E^mpti.loi^raeé^elVfëégê'dè vèfces ^ loi , fe
'àt Ptfr>r/^( , j ’ éûibiiillr.l'q
* N OM S des grecs.; Les Szomr des :greçsi tant
des 'hommes que des femmes , yrvt fôiijôurs’'eu
toûèlq’uéifignificaiion' (JêÊbii fMuf.**dritrà','t. II, p .
J ƒ -, ) • Ariffôte , par exemple , ou eft
iedmp&fè 3ë «gvvoVi, tres‘:bbn ? '& de ri>ts f 'fin f il
‘fighifip ‘IrePb'om fîicceirf
Les grecs'ne fe:conrenfbfeni pas toujours d’un
k n l nem, comme le^dy PauCamas ^ A a h a u ) . Us