
OVULÉES PRIMULINÉES BITEGMINÉES INSÉMINÉES — HEISTÉRIALES 597
corolle, i'arloul aussi le nistn v f , » '
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de manière que le A-nït I f e ^ i i f , t "^ ^ a n t ,
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noalions imposantes,
IlEiSTÉRiNÉES. Í dialypétale ... corolle < , ^^haunochitale's n
( gnmopétale. Ovaire f ?"Pere // e / ^ i e r . 'X p '597
^ Erylhropalkis, p 599.
Etudions séparément ces trois alliances.
ALLIANCE I
CHAUNOCIUTALES (voir au-dessus p. 596)
*
Androcée í í^iplostémone, superposé p hsosteraone, é p i p é ^ . . ^a r Ppaaiirreess aanuyx nppetfaalie. s. Scorodocarpacées.
Chaunochitacées.
à fleurs hermaph odites et i^olees et sans stipules,
la corolle dial/pétale avec deux éH ' t . gamosépale,
pétale Le nisi H fn^ml ^ '^^o^^i'escentes à chaque
%
à simuler une corolle gamopétale. L'androcée, isostémone et épipétale,
a ses étamines longuement concrescentes avec les pétales
parlem-s filets. Le pistil ne développe que deux de ses cinq carpelles
épisépales, qui forment un ovaire biloculaire dans toute sa
longueur, à loges uniovulées. L'ovule est hémi-anatrope, à raphé
et chalaze externe, à micropyle interne appliqué contre la cloison,
epinaste par conséquent.
Le fruit, où ne s6 forme qu'un seul embryon, accompagné d'un
albumen, est une drupe, enveloppée par le calice accrescent, à cinq
côtes saillantes terminées en haut, autour de la cicatrice du style,
par cinq cornes.
ALLIANCE II
HEISTÉRIALES (VOIR p. 596)
Caractères généraux et division en trois familles. — L'alliance
des Heistériales comprend les Primulinées inséminées qui ont la
corolle gamopétale et \ovaire supère.
On divise ce groupe en trois familles, ainsi définies :
C Tubes laticifères et poches sécrëtrices Coulacées,.
HEISTÉRIALES. < Tubes laticifères sans poches sécrétrices Heistériacées.
( Ni tubes, ni poches * Cathédracées.
Coulacées. — Les Coulacées, 5 genres avec 6 espèces, sont des
arbres à feuilles isolées, simples et sans stipules, ci^oissant au
Gabon (Goule), à la Guyane (Minquai^t), au Brésil (Eganthe), au
Pérou (Enduse) et en Malaisie (Ochanostache). La tige, les feuilles
et aussi les diverses parties constitutives des fleurs, qui sont hermaphrodites
et pentamères, renferment dans leur écorce à la fois
des poches sécrétrices à résine brune et des tubes laticifères, non
cloisonnés et incolores.
Le calice est petit, gamosépale et persistant ; faiblement accusée
dans la Goule et TOchanostache, la gamopétalie de la corolle est
plus marquée dans les trois autres genres. L'androcée, concrescent
à la base de la corolle, a tantôt vingt étamines, cinq devant
les sépales et quinze trois par trois devant les pétales (Goule), tantôt
quinze, parce que les épipétales médianes font défaut (Éganthe)
ou parce que les épisépales avortent (Ochanostache), tantôt dix
seulement, cinq épisépales et cinq épipétales (Minquart, Enduse).
Le pistil a ses carpelles épisépales^ ordinairement au nombre de
trois seulement par avortement des deux autres, complètement