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OVULÉES — RENOXCULINÉES
men. ' " " incombant à lar ges cotjles, sans
ALLIANCE XVIII
CUCURBITALES (v. p, 380).
cent aux parties extwnT/ ' ' Pi®"' concrest
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famille 4 fleurs unisexûL iit ^ T.'""""'''''
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très développés (t p 20« re- 1 m '
F imeie (11^. 257), les femelles actinomorphes, les
PER,PARIÉTÉES BITEGMINÉES — CUCURBITALES 517
mâles ordinairement zygomorphes dans l'androcée. Le calice et la
corolle demeurent d'abord concrescents après s'êire séparés du
pistil ; au-dessus du niveau où ils quittent le calice, les pétales
sont tantôt concrescents en une corolle gamopétale (Concombre
Courge, Citrouille, etc.), tantôt libres (Brvone, Ecballe fie- 9^7'
Sicie, etc.). ' '
La fleur mâle (fig. 2S7, A) a typiquement dix étamines, rapprochees
deux par deux vis-à-vis de chaque pétale, indépendantes
de la corolle au-dessus du niveau où celle-ci s'est séparée du calice
à anthere basifixe, extrorse, munie de deux sacs polliniques s'ou'
vrant en long sur les bords contigus, très rarement à quatre sacs
(lelfairie). Mais de ces cinq paires épipétales, deux seulement
superposees aux deux premiers pétales du cycle quinconcial, se
développent complètement; celle qui est superposée au troisième
petale ne développé que l'étamine située du côté des deux nremiers,
l'autre avorte. Il n'y a donc, en réalité, que cinq étamiLs
qua re en deux paires épipétales, la cinquième solitaire, qui en se
déplaçant un peu du côté du plus large espace vide, se trouve en
apparence superposée à un sépale. Il en résulte pour la fleur mâle
une zygomorphie marquée (fîg. 2o7, A). Dans chaque paire épipé^
n fV TM T ' ^ f u toute leur longueur
(Lu fe, rhladianthe, Févillée, Zanonie, etc.) ; le plus souvent elles
sont concrescentes,_ quelquefois seulement par leurs filets
Sicydo etc.), ordinairement dans toute leur longueur, de manière
à simuler une étamine unique à quatre sacs polliniques
a que trois étamines
f n T ^ n - K '1 à deux sacs
(tig. A) ou plus exactement deux étamines et demie Libres
dans toute leur longueur, les deux étamines de chaque pa re
peuvent rester rapprochées vis-à-vis du pétale correspondant ; mds
e plus souvent elles s'écartent l'une de l'autre et viennent se pk-
. é n X Z l «^^"ière à paraître épisepales
(Fevillee, Zanonie, etc.). L'étamine soUtaire peut avorter
complètement et l'androcée se réduit en apparence à'deuxXmTnes
epipetales a quatre sacs (Angurie, Guranie, etc.). Dans les
Cyclantheres, au contraire, l'étamine solitaire se développe L e
Les sacs polliniques sont quelquefois courts et droits, disposés soi
en long (Févillée, Thladianthe, Mélothrie, etc.), so t en ravers
(Zanonie, Cyclanthère, etc.), le plus souvènt très longs et r couÎ
' ^^^ Cyclanthères, les sacs palliniques
transversaux forment deux anneaux superposés.
La fleur femelle (fig. 257, B) a son pistil concrescent avec les