coup de réputation comme prophète,‘ et l’on avait
«ne grande confiance dans les fétiches qu'il distri
bum ; de sorte que, tendis que le c o m l e L a g-
I L r I Z l LI,,taetait dél4 devenu tributaire.
SOUS la d i r e c t r 6 ’ “ 6 Î 391, 6 b * * ' lriii>i‘aire est placé sons la direction immédiate d'nn chef sachante qni
daDS k » des mains rî„ ! * P 6 recevoir le tribut
est iuscm’à 01 11 PaySj> de Ja conduite duquel il
J <î un certain point responsable. C’est ainsi
OuateMo“ QuatchiQuofie;1 6 " feSouta,f t ™ “ sons l celle la P d’Odoumata
- t e â o n7: 1 Aquambou, sons celle d'Apokon, etc., etc En
d W s ’ le“» T rapPOf C°mme wus '«aocoup
rannorl'f J Cme P diqnc des Aschantes a un
CTlui des Perses • & est
c e r è g i f 6’ PremÎerr0i d eD “ - 'd n , mourut sous
Sons son regne , le roi d’Akim 'désirant L Z 7h
pemTssioaa ™ A V ^ ¡ ^ ¥ d’en d<™ander la
condition qÏ Î tern e ' '“ ^ *
À™ h Ieur ^ v e rra it la moitié du butin
bip A ne° , ]° e de remplir sa promesse, il apprit
bientôt qn’Aqnissi était dans l ’intention d’J r0Z
emander sa tête. Comme il savait que lès paroles
d un roi sont irrévocables, il assembla ses ministres }
et déclara qu’il était prêt à sacrifier sa vie pour la
tranquillité de sort peuple. Ses ministres Voulurent
absolument partager sonsQrt; et, s’asseyant chacun
sur un baril de poudre, ils burent une grande
quantité de rhum, et, avec le feu de leurs pipes, allumèrent
les poudres. Jsert avait aussi entendu raconter
ce fait dans le royaume d’Akim,
1 ; 53. Après sa mort d’Aquissi, Saï Coudjo monta
sur le trône. Ce monarque commença par diminuer
le nombre des membres du conseil aristocratique,
ne nommant aux places qui vaquaient que dans la
proportion d’une sur quatre. I l les donna à ses capitaines
favoris, qu il s attacha encore davantage, en jurant
que leur vie serait aussi sacrée que celle des
anciens pairs de Saï'Toutou. Il prit cette mesure
pour prévenir les doutes qui pourraient s’élever sur
sa fidélité à la constitution.
Saï Cçudjo remporta, sur les hâbitansdu Ouarsâ
et de l’Assin, une victoire plus complète qu’aucun
de ses prédécesseurs, et força ces deux pays à se
reconnaître tributaires du royaume d’Aschantie. Il
soumit aussi l’Aquambou e t l ’Aquapim, étouffa plusieurs
révoltes dans d’autres provinces, et acquitte
renom d ’un très-grand capitaine. L ’aïeul d’Aman-
quatea Atoua conquit le pays de Savi après en
avoir tué le roi; et, bientôt après, Bakki soumit le
Moinséa. Quama, roi de Douabin, mourut sous ce
règne.
1780. Saï Quamina était encore fort jeune lors