
c et é g a rd , 1 4 1* — Considérations sur cette branche d’industrie n a tion ale, 1 4 2 .— R évolution dans les moeurs,
opérée à Bourbon p a f l'introduction de la culture des cann es, i 43.
Climat : vents,ÿ frais en hiver. P lu ie s , fortes en été.; H ive r, sec. — Température , i 45.
Coup de vent du 10 février 1829 , i 43. — Ra s de marée fo rmid ab le , suivi d’une bourrasque de 24 heures.
Invasion désastreusè’ de là mer. Avaries des navires déradés. Descente du baromètre à 27 pouces 5 l i g n e s 146.
— Singularité d’un dommage moindre dans la partie directement exposée au v e n t , 148.
De Bourbon a PoN dichéry e t C a l c u t t a , page 1 4 8 .
D e Bourbon à Ceylan navigation douce, sans mer ni roulis , 1 4 8 .— Chaleur de 3o ° à 3i ° ,a u plus dans ces
parages de l’équateur, Temps légèrement b rum eu x , x49* — I le s et îlots créés par l'illusion. — Mouillage de la
Zélée sur la rade de Pon dich éry , i 5o ? .
DEUXIÈME PARTIE.
( MAI A NOVEMBRE 182». )
SÉJOUR A CALCUTTA'; page i5 i.
. Calcutta, capitale commerciale de l ’Inde. — Coup d ’oeil sur la fo rce morale des capitales en E u ro p e . Vén é ration
des Indiens-pour leurs Brahmanes, 151.
College aftglo-indieh , i 52. = É lèv es : costumes, figures, maintien, gestes, i 53. — Études : questions sur la
chimie’^ leçon d ’h is to i r e , i 54» — Dissertation sur le duel. Absence de religion dans l’enseignement, i 55..
Inutilité.des missionnaires. Conversions opérées par les Jésuites, i 55. — Enseignement des sciences de l ’Europe^
considéré comme un remède aux superstitions nationales1 des Hindous, mais comme une mauvaise introduction
au christianisme, i 56. — Divisions multipliées des castes, obstacle à l’esprit d ’association. — Hindoiis
d’un rang é le v é , ’ négligent l ’esprit d e là r e lig io n , mais en .observent la le ttr e , 1 5 7 .^ 'D e la science regardée
comme un mal, lorsque les besoins q u e lle crée ne peuvent être satisfaits, 158.— Des dangers de faire violemment
par les lois, uñe révolution non.encore consommée dans les moeurs. Expérience terrible en F ran c e , 1 5 9 .— Progrès
de l ’esprit de lib erté et de civilisation à travers le despotisme. M o t de Courrier, 160. . '
Le dimanche à Calcutta , et le service divin a lacathédrale <0 i 60. = Mérites négatifs du dimanche à Calc
u t ta .— Service à la cathédrale : disposition,^assistance, p rê tre , 16 0 . Fo rm e vde la pr ière , 16 1.
Visite a "Barrackpour, i 63. = Aspect de Calcutta-, sale ê t la id Nouvel liôtel de la monnaie, remarquable ,
seul monument européen.— Bambous , cocotiers, lataniters, dattiers, n a n g o s , tamarins, i 63.
Souvenirs du séjour chetfle Gouverneur-général à Barrackpour. Épanchements de l’auteur, 164.— Barrackpour,
s tation militaire. Campement des troupes. Ab sence de distributions. Bazars ambulants accompagnant les arm
é e s , i 65. — Parc , * château de Barrackpour, 166. — Anglais,-ne savent pas causer, 167.-— Dissertation sur la
religion. L ady W illiam Bentinck e t Mme de S ta ë l, 1 6 8 .— A n im a u x , 169 à 173.
Visite àf Ckandernagor et a Sérampour, 1 7 4 . = Réception che z M . C o rd ie r , 174. — Chandernagor, déserte
, sans mouvement ,^176.* Sérampour, an imee, in du s trie lle , Commerçante. Collège de'missionnaires anabaptis
tes , 1 77. Établissement d imprimerie. Retraite à Sérampour des débiteurs insolvables de Calcutta. Fête
annuelle de la grande pagode. Martyre volontaire' des" ma lh eu reu x, se précipitant sofis les roues du char du dieu
de lîrpagode pomxmourirsaintement, 178. Indiens,in capables d ’exaltation mo rale; souffrent avec une incroyable
impassibilité des supplices atroces*pourune somme modique.— Vu e des rives du Gange, dè, la plate-forme
du collège de Sérampour, 179. '
Réminiscences d u voyage de l’auteur aux Alpes. — Table au du monde équinoxial par M. de Humbo’Idt. —
Souvenirs d ’H a ïti, 1 7 9 à i 83.
Ram-Mohun-Roy. = . Brahme savant, habile orientaliste. Physionomie grave e t bonne. Tournure d’esprit métaphysique.
Versé dans 'les langues orientales, i 83. Protesta contre les absurdités du culte hindou ; écrivit pou r
rétablir la doctrine .pure dès anciens védas. Conv erti au christianisme. Tenté vainement par les anabaptistes. Devenu
u n ita ire , 184« Justesse et étendue de ses idées sur les divers Etats de l'E u ro p e , 186. Ses impressions passionnées
, au tableau du système des États-Unis d’Amérique,1 187.
Société asiatique de Calcutta, 1 8 8 .= Sa composition. MM. W ilson et R o s s, secrétaires. Séance à laquelle
assiste l'auteur, 188. Lecture d ’une lettre’ piquante , écrite de l’HimaJaya , par M .. Csoma de Ko ros. L a lith o graphie
connue depuis longtemps au T h ib e t , 189. Musée d’histoire naturelle et de minéralogie. Collection
d’arrrtes, de métiers e t machines. Id ole s , inscriptions. Bibliothèque , ipo.^Nullité, comme corps, d ç la société
asiatique, 1 9 1 .— V ie *et travail des employés dans le gouvernement d e l à Compagnie des In d e s , 19 1 . Loisirs
d es militaires, 192. —r Usage de fumer dans l’O r ien t, in tro d uit, suivant M. W ilso n , par les Européens. Doutes
de l ’auteur à cet égard. L e h o u k a , sa description. Préparation du fabac. Installation pour fume r, 193__
Usages français, introduits dans la b onne compagnie , 195.
Fête religieuse des Musulmans de la secte d.’A l i , Y95 . — Extrait de Gibbon. Moawiah, lieutenant de Mahomet.
Abdication f f ’Hassân , fils d’AU. Y e z id , fils de M o aw iah , proclamé ch e f des croyants. Tentative
d’Hçsein , frère d’Hassan; sa résign ation, sa,mort glorieuse ; désespoir de sa soeur F a tim e , 195 à 198. — An niversaire
dè la mort ;d’Hosein., Fête religieuse célébrée avec pompe dans la maison d ?A g a Kabouleï-Mnhammed,
riche banquier. Lieu de la'sèène ; ornements, illujnin ation, prêtres, assistance; prière : réc it du martyre d’Hosein.
Vulgaire contre-s’ens ,des dévots persans Sans la formé qu’ils donnent à leu r douleur. — Comparaison de
cette exhibition du culte musulmanà nos cérémonie s , 198.à 201.
De la population musulmane de C a l c u t ta 202. = Musulmans du bas peu ple, paraissent descendre cj^s Hindous
convertis *à l ’époque de la conquêté. Prompte altération de la purete de leur s a n g , par la polygamie et le
concubinage, 202. — Figu res persanes, rapportées toutes à.deuxtypes différents et inégalement b e au x , 2o3. P e r sans
comparés physiquement aux H in d ou s , 204.
Société anglaise ci Calcutta, 205. — Modifications opérées dans les relations sociales$Rècherehé incommode
dans la mise des femmes. Vêtement aisé et négligé des hommes. Heure et, rareté- des visitèsadlomans an gla is ,
jo u rn au x , revues. Aspect plat du cours à l’heure dè la promenade ; mêlée peujpittoresque, 2ô5 à 207.
I Fêtes religieuses, 207. == Sorte de carême et de carna va l, suspendwchaque an née , pendant 10 jo u r s , dans
l ’Inde entière, toutes les transactions de la v ie c iv ile , 207. Divertissement àppelé-Nautch ; bayadères?, musique ,
danse , 208. Nautch chez un Radjah , fro id , inanimé , 2 10. Au tre fête che z un riche B a b o u , 21-1. — Tenu&de
la ¿maison de lord Bentinck comparée à celle de ses prédécesseurs. Réflexions sur la nature du pouvoir du Gou-î
verneur-général de l ’In d e , 212.
Drame religieux de Ram-¡Ma, au camp de Barrackpour, 2 1 3> = Histoire de R am -L ila , 2 r3 . Fête imposante
an champ de Mars ; représentation des pompes de l’idolâtrie. C h e vaux , sipahis, chars attelés de boeufs,
é léphants, idoles gigantesques, foule des spectateurs, 2 i3 à 2 1 5.
Le camp de Barrackpour. — Les jeunes officiers, 2 1 5. == Situation e t composition du camp. Ménage d ’un
sipahi. L a sca r , chargé d eT en tre tie ij des armes, 2 1 5. Solde des sipahis. Bagage et suite.des officiers, 2 1 6 .—
Exercice du tir. — Déjeuner dans iin bungalow. Behras. Officiers natifs » soubehdars , 2 1 7 . Service somptueux.
Abdar; Houkabadar, 218. — Dépenses outrées èt doléancèlrdes jeüîies officiers anglais, 2 19 . Forme ordinaire de
leu r existence. Avan cement, donné exclusivement à l’ancienneté. Rétribution principa le , affectée à l’emploi et
non-au grade. Discipline-de l ’armée; s!u supériorité expliquée, 220. Se rv icèmilitaire , recherché. Démarcation
entre T officier et l ’homme qui ne Test pas,- 22 1. Hauteur des officiers européens envers les so’ubehdàrs. Emploi d«v
Zémindar ou fermier de l’É ta t, Véservé aux Soubehdars influents, sous prétexte de récompense. Démoralisation
des officiers de l’armée in dienne , attribuée à leur genre de. v ie constamment iso lé e , 222. »Irrévérence,
admise, des jeunes officiers pour les supérieurs qu’ils ne connaissent pas personnellement, 22*3.^ A
Sérampour. — Le docteur Caref. -¥ Les missionnairési protestants, 224.^== Le docteur Çàrey. Son jardin ;