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mes affaires pécuniaires, la visite du musée d’histoire naturelle
celle de l’observatoire, et les connaissances que me fit foie m
savant and, le docteur Haberle, directeur du jardm de bot
■ p T’obtins de côté et d’autre des renseignemens sur divers
l H L t Ho^e , d ra’°nt 9 tr èS - UÜ leS I
rln nord où je me suis jeté de nouveau.
H R de Fe», 1. pays | d | P« 0” 1 T ,T »
i 1 m WÊÊ ■ grands espèce, ou des mara.s .mpr.ucables.
LaProute n’à pas de limites bien fixes, et on passe a travers
La route n a p . • • • i conducteur peut le faire iroachamp
partout ou la ® OE tk,J cbarriots et des
ginet. Aussi aperçoit-onp i ; j d chemins parallèles,
S S première station de poste, qu’on trouve quelques
K m L maiLni sont eneore entièrement composées de sables,
I se ^ttachent an groupe de C^*hat, dont nous avons
parlé Très*prèsdelà, zMogyorod, ù y a des carneres4e pierre
S S Z g r o s s e , remplie de débris de coquiües, et qui W Ê
T hle f s ’v méprendre, au calcaire grossier des environs de
3 Ï ai pas visitées : » u’est qu’à Pest que , en
’ . t rm’on m’en a donné des échantillons. A
S f f l f c u ** t« ® f e i»“'
près et à droite de la route, et où se trouvent de très-belles
serres ; il appartient au prince Grassalkovitz. Bientôt je quittai
la grande route pour prendre, par-dessus les collines, un
chemin plus court, qui conduit à Aszod. Le premier objet qui
frappa mes regards fut un homme accroché depuis six mois a
un poteau; c’était le premier que je rencontrais depuis mon séjour
en Hongrie; et, quoique ce fût un criminel, çe spectacle
ne m’en parut pas moins affligeant pour l’humanité; je ne
pus m’empêcher de penser, en dépit de l’exemple qu’on prétend
donner au peuple, qu’il serait infiniment mieux d’enterrer
ces cadavres, plutôt que de mettre sous les yeux des enfans et
des femmes, qui n’ont ni notre insensibilité, ni notre force de
caractère, un spectacle aussi triste que dégoûtant, et qui peut
avoir quelquefois des suites funestes.
Je conservais encore l’image de ce malfaiteur et les idées que
la vue du supplice m’avait suggérées, lorsque le château d’Aszod
s’offrit à mes regards, et vint récréer mes esprits. Il produit,
des hauteurs, un effet très-agréable ; mais l’accueil aimable que
j’y reçus, lui donna pour moi un nouvel intérêt. Malheureusement
ses environs ne présentent que des collines de sables et de
grès micacés, et le but direct de mon voyage me força bientôt
à continuer ma route. Le baron m’açcompagna jusqu’à Gyorir
gyôsj au pied des montagnes de Matra, où il me fit faire connaissance
avec plusieurs officiers du régiment Palatin. Toute la
route, depuis Aszod, est encore en plaine, et n’offre en conséquence
rien qui puisse intéresser le géologue. Cependant on
rencontre çà et là, sur la chaussée, des conglomérats particuliers
de matières scoriacées noires, qui annoncent de nouveau
l’approche des montagnes trachytiques. Le premier examen des
maisons de Gyôngyôs conduit aux mêmes idées, car elles sont