
j.;
'■ ù
m Y
á
-i .
lia
/ l.P éncavpo.
b. F r u it .
Cav ité , c lo iso n s.
[ T e s ta .
Graine.
v 2 . Uestes d u sty le .
T e gm en .
Am an d e .
/E iid o s p e rm e .
(E m b r y o n .
T igelle.
G em m u le .
R ad icu le .
1 o u 2 c o ty lé d
o n s .
Mono ou dicoty
lédones.
( P é r ia n th e . . . . . „ ■
i E n v e lo p p es florales, 1 o u 2 , mono o u d tp e ria n th e e s.
c. O rg a n e s a c-1 e s te r n e , o u c a lic e; sép ale s, o u folioles c a lic in a le s ,
c e sso ire s. 1 _ in te r n e , c o ro lle , p é ta le s,
o u tle u r . e t n e c ta ire s .
B . C ry p to g am e s .
P é r ith è q u e , c o n o ep ta c le s, b a s id e s . c lm o d e s .
T h è q u e s o u sp o ra n g e s , sp o re s o u sp o ru le s (ovules). J c o ty lé d o n e s .
O rg an e s a c c e sso ire s : filets p a ra p h y s a ire s , cy s tid e s.
] j [ _ D e s sy s t èm e s . (N o tio n d e d is t r ib u t io u e t u s a g e s g é n é ra u x .)
1° S y stèm e é p id e rm iq u e .
2°
p ile u x ,
3°
c e llu la ire ,
filam en teu x ,
5°
su b é re u x ,
6“
h e rb a c é ,
lib é r ie n ,
80
lig n e u x ,
9®
m éd u lla ire .
IV .— d e s T is s e s . (No tio n d e p ro p r ié té s d e tis s u , é la s tic ité , moUcsse, d u r e té , p e r m
é a b ilité , etc .)
1» T issu c e llu la ire (p a re n c h ym e , c o lle n c h ym e , m é re iic h ym e ).
20 _ fib re u x o u fib ro -v a s c u la ire (p ro se n c h ym e ).
go — lib é r ie n .
40 — filam e n teu x .
V. Des ÉLÉ.MENTS ORGANIQUES DES VÉGÉTAUX.
A . É lém e n ts a n a tom iq u e s . (N o tio n d e p r o p r i é té v ita le é lém e n ta ire , n u lriH o n p in s
o u m o in s r a p id e s u iv a n t la p e rm é a b ilité , e tc .)
1» C e llu le s. i P la n te s c e llu la ire s .
2 “ F ilam e n ts . >
3 “ F ib re s . j p la n te s v a s cu la ire s .
40 T u b es o u v a is se au x . >
B . P r in c ip e s im m é d ia ts . (N o tio n d ’u n io n r é c ip ro q u e e t c om p le x e .) Voy. p lu s b a s,
p . 1 1 6 .
I._PKIIffCÎPi:S IMMÉDIATS DES TE ANTES.
52. — Chez les plantes, comme chez les animaux, les éléments
o r g a n i q u e s , c’est-à-dire les parties les plus élémcnlaires
en lesquelles se subdivise sans décomposition cbimique
l’organisme, se divisent en principes immédiats et en éléments
anatomiques. Les principes immédiats constituent directement
les sérums des humeurs, et secondairement la substance organisée
solide des éléments anatomiques ; les éléments anatomiques
constituent directement les tissus. Dans le premier cas,
celui de la substance organisée des sérums, etc., l’union est
moléculaire; dans le deuxième, celui des tissus, elle est mécanique.
Le premier fait est en rapport avec cet autre que les
principes immédiats sont de composition chimique telle que,
mis en présence les uns des autres, ils se dissolvent réciproquement,
quelle que soit la forme qu’ils présentent, cristalline ou
aibitraire, selon qu ils sont cristallisables ou non. Le deuxième
fait est en rapportavec cet autre, queles éléments anatomiques
ne sont pas solubles les uns dans les autres, ni dans les sérums ;
ils ont, au contraire, une forme spéciale, déterminée, soumise
à des lois propres, différentes des lois de la cristallisalion, et
quand ils n ’ont pas de forme spéciale (ce qui a lieu pour quelques
espèces, matières amorphes, substance du corps vitré chez
les animaux), elles entrent toujours comme accessoires dans
un tissu.
Les éléments anatomiques sont bien aussi constitués par des
principes immédiats unis molécule à molécule, mais ils ne le
sont que secondairement. On veut dire par là que ces p rin cipes
immédiats, avant de faire partie des éléments anatomiques,
ont d’abord fait partie des s é rum s , e t les substances
organiques, qui en sont la partie fondamentale, sont d’espèces
différentes dans les éléments anatomiques de ce qu’elles sont
dans les sérums; en passant des sérums dans les éléments,
elles ont changé d’état spécifique. Des éléments anatomiques,
les substances organiques ne repassent pas dans les humeurs,
il n y a que les principes cristallisables provenant de leur d é doublement
qui s’y rendent. Dans les animaux e t les végétaux
représentés par un seul élément anatomique, les principes
nutritifs passent bien directement du milieu extérieur dans
Hn
a
t '