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les plus simples comme enlre les plus complexes; les autres
embrassent une série de faits qui conduisent à une opinion
négative à l’égard de la génération spontanée des végétaux et
des animaux les plus simples , et à plus forte raison de ceux
qui sont plus élevés en complication. L’étendue de ces recber-
cbes et de la discussion des faits qui les concernent m’a
forcé de renvoyer leur publication à plus tard.
J ’ai déjà exposé quelques notions relatives à la distinction
entre les animaux et les végétaux dans mon Traité du microscope
et des injections. Dans le travail dont je parle je montre :
1° Quelle est la nalure des spermatozoïdes des plantes et des
animaux : ce sont des corps particuliers provena,nt d’un élément
anatomique emhrgonnaire de l’ovule mâle, et ce ne sont
])oint des animaux; j ’établis ensuite leurs analogies avec les
grains de pollen. 2“ Je montre ce que sont les végétaux et les
animaux les plus simples [Infusoires unicellulaires) par rapport
aux plus complexes ; 3“ ce que sont les spores des différents
groupes de Crvptogames vasculaires ou cellulaires et les ArcAe-
gones par rapport au sac embryonnaire des Phanérogames ,
et ce que sont ces organes comparativement aux ovules des
animaux. Les recherches relatives à ce troisième point m’ont,
je crois, prouvé que les Champignons à chapeau se développ
ent d’une manière qui a quelque analogie avec le développement
des Cryptogames vasculaires, e l qu’ils ont, comme eux,
des spermatozoïdes se produisant d’une manière analogue. Ces
faits établis, l’énoncé des différences anatomiques d’une part,
ptiysiologiques de l’autre, qui séparent les animaux des végé-
' taux (même les plus simples) prend une grande ne tte té . Vient
ensuite l’exposé des moyens à mettre en pratique pour constater
ces différences.
FUi lits rr.OLÉGO.MÈXES.
DES VÉGÉTAUX
QUI CROISSENT
m L’iioffliE EÏ SÜR LES m m w m .
D E S C R I P T IO N G E N E R A L E D E S E S P È C E S .
L — PARTIE TASOAOMîQüE.
Les végétaux qui croissent sur les animaux vivants sont tous
des Cryptogames, et uniquement des Algues et des Champignons.
En outre ils appartiennent tous aux tribus inférieures
de ces deux groupes, c’est-à-dire à celles qui renferment les
êtres dont l’organisation est la plus simple.
I. — ALGUES. A L G Æ .
C l a s s e d e s ISOCARPÉES, ISOC JR P E /E , K ü tz in g .
SOL’S-CLASSE I . D ia tom é e s. Diatomeoe, K . Mont.
TRiDO (ou sous-classe) des P so ro sp e rn ié e s . Psorospermeoe, Cli. R.
G e n r e P s o ro sp e rm ic . Psorospe nnia, Cli. R.
E sp è c e 1 . P s o ro sp e n iiie d u B ro c h e t, .1. ,M.
— 2 . P s. d u Synodont is Schnl ., J . M.
— 3 . P s . d u S a n d re (XH ciojjercrt XfHKÎi'a), J . M.
— 4 . P s . d e la Rosse [Cypr inus rut i lus ) , J . U .
— 6. P s . d u Lnheo mlot icus , J . M.
— 6 . P s . Cln Pime lo d u s Jllochi'i, J . M.
— 7 . P s . d u Pime lodus Seboe c t d u Platys loma fas c ia tum, J . 51.
— 8. Vf. Au Caloslomiis tubercnlaius, J. M.
— 9 . P s . d u Gadus callcirlas, ,T. 51. e t Retziu s.
— l o . P s . d e IM c r r i i in r u iÿ r t r i s o u G rc n iille , C re p lin .
— 1 1 . P s . d u Scioena umb ra , C u v ie r, Ch. R.
SOES-CLASSE I I . J la la c o p h y c é c s . Ma lacophycuv, K ü tz iiig .
T r ib u d es G ym n o sp e riiic e s . Gymnospenneæ, K ü tz in g .
O rd re I . É r ém o s p c rm é e s . Er emo sp en n eoe, K ü tz in g .
S o u s -o rd re I . J ly c o p h y c é c s . Mycophyceæ, K ü tz in g .
Fam ille des C ry p to co c e é c s . Ci-yplococceæ, K ü iz in g .
GENRE Cryplococcus, K ü tz in g .
Espèce 1 2 . Cryptococcus cerevisioe, K ü tz in g .
— VI. ,Cr. g u t tn la h i s , Ch.
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