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moindi’o que le cbiflVe imliqué plus haut comme largeur de
l’individu adulte, largeur prise au point où elle est le plus considérable,
savoir au niveau de l’insertion des paraphyses.
Le pédicule est formé de deux cellules qui vont eu grossissant
depuis leur poiut d’attache à l’animal (f, f, f) jusqu aux
cellules du réceptacle (/i, h, h). La plus inférieure des deux a
son extrémité adhérente, très étroite, arrondie (pl. X, fig. 2, a);
sa largeur, en ce point, est de 0“‘“ ,020 ; tantôt elle se resserre
immédiatement au-dessus pour se renfler ensuite, tanlôt
elle va augmentant graduellement de volume. On observe
habituellement une dépression circulaire et une teinte plus
foncée de cette cellule avec celle qui est au-dessus [k, k, k)
et de celle-ci avec le réceptacle {h, h, h). La seconde cellule
{k-h) du pédicule est généralement de un quart ou moitié plus
large et plus longue que l’autre ; elle peut môme aller au
double, quant à la longueur, dans quelques individus de la
I . Guerinü (pl. IX, fig. 3). Elle augmente aussi peu cà peu de
volume jusqu’au point d’adhérence cavec le réceptacle (pl. IX et
pl. X, de k en h). Dans la L. Guerinü, cette largeur est en
moyenne de 0“ “ ,021.
De toutes les cellules du support, celles du pédicule ont
généralement les parois plus épaisses, fait qui est surtout tranché
dans la L. Guerinü, Ch. R. ; elles ont, dans cette espèce,
0“ “ ,006 à 0“ ” ,01/i ; les cloisons de séparation sont, au moins,
trois ou quatre fois plus minces. Dans la L. Rougetii, la paroi
de ces cellules varie de 0 ” “ ,003 à 0“ “ ,0 0 8 ; les cloisons de
séparation ont l’épaisseur de la paroi de cellule elle-méme.
Quelle que soit l’épaisseur de cette cloison, elle est toujours
simple, homogène, sans ligne indiquant quelle soit double, cl
formée par jonction et soudure de deux parois. Le fait est
le même pour les cloisons de séparation de toules les autres
cellules.
La paroi de la deuxième cellule du pédicule do laL . Rougetn
esl élégamment et très finement striée quand elle est épaisse
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(pl.X, fig. 2, a, h-h). La paroi de la deuxième cellule du pédicule
de la L. Guerinü est toujours très finement tachetée à sa
surface extérieure par des points noirs extrêmement petits,
très rapprochés les uns des autres à des intervalles égaux
(pl. IX, lig. 3, h-h). Il est très rare et exceptionnel de trouver
cette élégante ponctuation à la surface de la première cellule
du pédicule (f-h).
Les parois de ces cellules sont incolores ou presque incolores
dans la L. Guerinü, sauf au niveau de leur jonction aux autres
cellules. Dans la L. Rougetii la couleur est la môme que celle
du reste de la plante, mais la teinte est un peu moins foncée.
La cavité de la première cellule du pédicule de la L. Rougetii
est quelquefois très étroite en bas, et les deux parois se touchent
et se soudent même quelquefois au point de la diviser en
deux moitiés superposées (pl. X, fig. 2, i). L’extrémité inférieure
de cette cavité est souvent masquée par la gangue
(A n-
Le reste du support est formé de six cellules dans la L. Guerinü,
de six à huit dans l a i . Elles servent, les unes
directement, les autres indire ctement, de réceptacle au péri-
thèce et aux paraphyses. Deux de ces cellules (les deux plus
grandes) sont quadrilatères à angles arrondis , placées à côté
l’une de l ’autre, sur la deuxième cellule du pédicule. Elles sont
généralement dn quart ou de moitié plus longues que larges, et
leur largeur est, en moyenne, de 0“ ” ,030 à 0‘”“ ,035. Leurs
parois sont presque aussi épaisses que celles des cellules du pédicule
dans la i . Rougctii, la paroi commune ou cloison verticale
qni les sépare est surtout très épaisse (pl. X, h-T) ; elles
sont plus minces dans la i . Guerinü, la paroi commune ou
cloison de séparation est surtout très mince dans cette espèce
(pl. IX, fig. 3, h-i). A ces deux cellules s’en trouvent superposées
quatre dans la i . Guerinü, quatre, cinq, ou quelquefois
six dans la L. Rougetii; elles sont ordinairement disposées
par deux on trois au-dessus des deux précédentes
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