p r e n d r e p a r t, ie d evo ir d m fu r e a n m o n u m m t d ip n e, du,
M Îtoonam pue d o n t ta ) d a u teJ iunuêree iriO e n t M tr u n M ec/e, é n u -
m em m en t e'ciaire. id iA m a n ière, d o n tp i'a t co o rd o n n é â> ré u d -
tu â t cdùenuj p a r C i i/e c tw n d o n t ia , d irec tio n m e / u t c o r fe e ,
m érite, d 'a tte n tio n d e °DîiÎm> d é p e à té , p e h M ppdie d e p a rd e r
en m ém oire, p u 'U m e ree te p o u r ¿ o n M ervice n o n m oine d e
fr c e e p u e d e io n m n d o é, e t p u e , M ed ie en ten d a ttp o m u u e m u eer
p o u r fa ir e r e te n tir to n a u p u ete n om e n dee contreee d e te te rre
en co re m a d co n n u ee,p e m éàtim em uJ tropi d e u re u a rp u e/ie d a ip n a t
fe te r iedppeuay piow r d e nouweddee eàfdora/zoM M er c e iu i d o n t d e
tù reJ à fa tte n tio n p u /d ip u e , L p /u t am ciem com m e C e /d u ) récen t,
d 'a c /tiir e n //c a tr deuao ediâre/ctrtdeà d& decoutoerted*
¿ fl m e d / a /o n eu a z, ¡/¿ d e, d e ùroutver u tm ocùadion d i ra/re
e / d i ie l/e d e /id d fe sn te rà °l}o m c //a /e d é é / d incètre a fam m ce
c/e /a fade/cùe atvec /c u fu e /le /e u , /A o tm eu tr d e é t e ,
¡/¿ d e,
«ou Ueà-tWfectueuX) oGciâsatit et dévoué tetviteut,
XÎe^ow de c§oc/Èivfc-^Putceui^.
ÆatiâUj ce 1 . “ ^xuviev 1 8 3 6 .
AVANT-PROPOS.
J 'a i dit autrefois, en parlant des Iles fortunées : «Les pays les plus fréquentés ne sont pas
« toujours les mieux connus. * Cette assertion pourrait s’étendre à la Morée, .sur laquelle on a
tant écrit, qu’un si grand nombre d’auteurs de voyages et d’itinéraires parcoururent ou disent
avoir parcouru, et dont Pausanias cependant, tout vieux qu’il est, demeurait encore le moins
inexact des explorateurs. Aucune occasion n’étant plus favorable pour étudier et faire connaître
enfin cette contrée célèbre, que l’expédition qui devait la rendre à elle-même, M. le vicomte de
Siméon, protecteur éclairé des sciences et des arts, lorsqu’il eri dirigeait la division au Ministère
de l’intérieur, fut chargé par M. de Martignac d’organiser une Commission investigatrice, sur la
composition et les attributions de laquelle l’Institut fat consulté. Les Académies des sciences,
des inscriptions et des beaux-arts ayant, d’après l’invitation qui leur .en fut adressée, nommé
des Commissaires, MM. Cuvier, Geoffroy SaintÆilaire, Hase, Raoul Rochette, Hyot et Letronne,
sur qui tomba le choix de leurs confrères, rédigèrent les instructions convenables, en proposant
de créer trois Sections, qui représenteraient les trois Académies consultées, et qui, réunies en
Commission scientifique, devraient recueillir, sur la péninsule péloponnésiaque, des matériaux
de toute nature pour la publication d’un ouvrage du genre de celui de la Commission d’Egypte.
Le plan soumis par l’Institut ayant été adopté, trois Sections, dites : 1.° des Sciences physiques,
2.° d’Archéologie, 3.° d’Architecture et de Sculpture furent constituées en Novembre 1828. A la
première, dont la direction me fut confiée, le Ministère de la guerre adjoignit aussitôt (voyez
la première partie du 2.* volume: Géographie) trois ingénieurs géographes spécialement chargés
d’uné triangulation, et plus tard une brigade topographique, composée d’officiers d’état-major :
MM. Brullé, Pectôr, Sextius Delaunay en forent les zoologistes, M. Despréaux le botaniste,
MM. Virlet et Puillon Boblaye les minéralogistes et géologues« Ce dernier était, en outre,
attaché à la Géodésie, avec ses savans camarades les capitaines Peytier et Servier. MM. de
Martignac et Siméon, qui m’avaient expressément recommandé de ne pas restreindre mes
observations «aux Mouches et aux Herbes, mais de les étendre aux lieux et sur les hommes,*
ce forent les propres expressions du spirituel ministre: MM« de Martignac et Siméon, d is-je ,
m’adjoignirent, en qualité de peintre, M. Baccuet, qui, tout officier de cavalerie qu’il est,
comme je l’ai été moi-même, n’en est pas moins un paysagiste habile, dont il sera souvent parlé
dans une relation à la clarté de laquelle contribue principalement la fidélité de ses dessins,
l Pour répondre aux intentions des hommes d’Etat qui m’envoyaient, et qui me demandaient des
travaux le genre de ceux que j’avais anciennement publiés sur les principales lies des mers
d’Afrique, je me promis de tout observer, et je m’affermis d’autant plus dans cette résolution,
qu’à peine débarqué dans le pays qu’il m’était enjoint d’étudier, je reconnus qu’on n’en avait
guère donné que des idées fausses« La plupart de nos devanciers, ayant visité la Grèce imbus
des idées grandioses qu’en impose ce qu’on appelle une éducation classique, en sont revenus
fidèlement enthousiastes et admirateurs des moindres traces d’antiquité qu’ils y virent, ou tellement
déçus, pour n’y avoir pas retrouvé jusqu’à ses charmes mythologiques, que les uns et
des autres en ont parlé, de manière à ne les pouvoir accorder, soit avec amour, soit avec
mépris et colère. La lecture de Barthélémy, qui, prêtant aux contemporains de Périclès Je
langage de cette bonne compagnie qu’il hantait dans les salons du duc de Choiseul, peignit