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e t pué, p o u rta n t, edt iè d eu i m cpem de. donner a, ceded-u um
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apercevoir pueipued erreid l dandm on co n p iyen t, voud voudrez/
voud rafpuder com éien, nudpré cedpérudeuded réc/anmtumd, ou,
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tempd moud f i t donné /to u r conduire et, fid u n e de prande
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accoutumée "ce,!prém cel d am a p/u rn e, m a croire icpam aé votre,
am i, dincem e t dévoua
■ y é u a u A t e ¿ S r u d e , c ,
ffljewfoefie (a eomimiùicm 4cie»ti^ue Je ‘ïïbo’cee.
EXPÉDITION
SCIENTIFIQUE
DE MORÉE.
CHAPITRE PREMIER.
DE TOULON AUX ATTÉRAGES DE MESSÉNIE.
L es trois sections dont se composait la Commission scientifique de
Morée së trouvèrent réunies à Toulon dans les derniers jours de Janvier
4829. Rendant compte au Ministre de l’intérieur de mon arrivée au
milieu des compagnons de voyage qui m’étaient donnés, j’écrivais en
date du 49 : « Les préparatifs nécessaires pour mettre une frégate en
« état de nous recevoir et de nous transporter au lieu de notre desti-
« nation, retardent un départ ardemment désiré de tous. Le printemps
« de la nature, qu’il ne faut pas confondre ^vec celui de notre calen-
« drier, commence pour le climat que nous allons explorer; je n’en
« voudrais pas perdre un jour. * Cette saison ne commençait pas seulement
pour la Grèce, elle faisait déjà ressentir sa première influence
sur le canton de la France où nous venions nous embarquer. La température
y était douce à toute heure, elle s’y élevait même beauëoup
vers midi, où le soleil, dégagé de nuages, était assez ardent pour pousser
à leur complète maturité les oranges qui se cultivent dans quelques
enclos d’alentour. Nous y admirâmes, dans l’école de botanique que
dirige M. Robert, habile horticulteur, et qui est entretenue aux frais
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