dès ce foir pourfuivre ma route. Je les
aï examinées attentivement du haut de
la Cafcade, me rappellant que j’y avôis
trouvé des matières volcaniques fur les bords
du grand-chemin: & j ’ai apperçu quelques
fommités boifées fur leurs croupes,
que je foupjonne d’en être la fource.
L E T T R E C V I I L
Route de C a s s e l à G o t t i n q u e —
Traces volcaniques' dam les Collines
qui fépurent ces deux Villes.
G o t t i s t g u e , le 2 9 ? . Juin 1778-
M A D A M E .
uand je voyageai l’année dernière
de Gotîingue à Caflely je traverfai les Collines
qui féparent ces deux V ille s , en
CaroiTe , en P o it e , & en compagnie ;
c’eil - à - dire , par les circonftances les
plus nuifibles à toute obfervation û'Hi-
(loire naturelle: on n’a qu’un, petit champ
pour la v u e ; les objets paifent rapidement
; la eonverfation diilrait: fouvent
de légères lueurs s’éteignent, parce qu’on
ne veut pas s’arrêter à tout moment pour
des