fembloit vouloir me dire , qu’une fcène
étendue & rafe pouvoit. avoir auffi fes
beautés. Mais nous allions nous engager
entre d«s laule s, & bientôt ils me caché-
rent tous les objets des environs. Aufli;nie
retirant dans mon bateau, j ’ai repris mon
fommeil jufqu’aux approches de Mayence,
où nous fommes arrivés à Midi.'
L E TL
E T T R E C n i l .
Collines de pierre - à - chaux le long du Rhin
près de M a y e n c e , qui confirment le
fyitême expofé dans cet Ouvrage fu r la
pétrification.
M a y e n c e , le 14e Juin 17 78.
m a d a m e ,
Il je s obfervations que je me propofoiî
Befaire i c i , avoient pour objet ces Collines
calcaires, que mon Frère remarqua il y
a vingt ans, à caufe de ia prodigieufe
Quantité de petits coquillages qu’elles renfermaient:
la plupart étoient des buccins
!qui n’excèdoient pas la groiTeur d’un tête
d’épingle, & les autres de très petites
koules. L ’extrême petitefle de ces coquillages
nous fit douter qu’ils fuflent marins : Je
Rhin