
fo i r , bien contens de notre journée, $
guère moins de trouver un bon gîte.
Nous comptons aujourd’hui de remonq
ter le Rhin par fa rive droite, pour ex J
miner les Rochers qui le bordent ; & n o iJ
attendons pour cela notre bateau, gujl
doit revenir ' de Bonn , où nous l’avons I
envoyé chercher.
L E
L É T T R E CI.
\ftHontagnes de Bafaîtes fur la rive du Rhin vppo
fée, à O b e r w i n t e r , au pied desquelles font
des Mines de Cuivre.
O b e r w i n t e r , le 8. Juin 1778,’
M A D A M Ë,
l ’avoîs l’honneur de dire à V . M. dans j&y
lune de mes précédentes L e ttre s , que les!
¡Natùralifl'eS voyageurs ne fauroient ti'acef
[à l’avanCe le plan de leur route : nous en
Hîme’s encore hier une épreuve allez fingu*
Bière. 1
| J’aVois déjà Vu trois fois les Monta*
[gnes qui bordent le Rhin fur fa rive droite
, parallèlement à la route d e Bonn à Ober-
p M n & j ’avois toujours porté mon at-
jtention fur leurs fommités ifolées: mais
¡croyant,d’après les Rochers efearpés du bord
Fleuve, que tout ce côté - là êtoit dans
Tonie IV . X l’é*