
& les ïources des diverfes matières vol.
caniques dont on fait commerce le long
du Rhin. J’ai vu celles des bafaltes, des
pierres à four & des pierres à meules ; ¡1
me refte à voir celles du Trajf ; & je
les trouverai demain fur ma route en me
rendant àr Neu-wied.
L E Tl
e t t r e x c v i i .
Carrières de T r a f f , & Volcans voifms de
ces Carrières, fu r la rouie de N i e d e r -
M e n i c h à N e t j -w i e o .
N e u - w x ï d , le i . f u in 1 7 7 8 ,
m a d a m e .
"|Rin cherchant aujourd’hui les fources
du Traff > j ’ai vu encore plufieurs Cônes
[volcaniques, '& j ’ai examiné de nouveau
tout le pays des environs. Je fuis main-
Itenant en état de prouver à V . M . , par
des faits multipliés & très clairs , tout ce
que j ’ai eu l’honneur de Lui dire des V o L
cans, relativement aux révolutions qu’a
fubi la furfàee de la Terre.
J’ai dirigé ma route vers C r u f t , qui efl
à une lieue de Nieder - Mènich. Peu après
mon départ je fuis entré dans un chemin
creux, où j’ai pu réitérer mes obfervations
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