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encore de larges étendues : avec la cra
sentie! de la géographie physique des
0i (16 (jâiïiDrésis. Assise meuble« 60011
recouvre la craie d’un manteau iaunùti
vallées et troue de place en place par .
le dépôt d une large nappe d’inondatio
sur le sol dont elle aurait moulé les fc
d’assises diverses qui, malgré des dit
reconnaissent depuis P an s iusqu’u la H
e, le limon forme le trait es-
daines de Picardie, d’Artois
osée d’argile et de sable, il
, longuement déchiré par les
nuire de l’érosion. Ou dirait
»1 de ruissellement-, étalée
scfj
nodules d
(10
quelles
de là fo
'ause u
'avant
xiuuveciu, bui
d’un manteau
tion mises en
au .sol de nom
ïlats de silex en lits. On constate
ec les vauees actuelles vers ies-
fi remarque enfin dans l’ensemble
?ux séries semblables d’éléments
éries de phénomènes : gravier,
végétal, Tout se présente comme
de la craie, chargée encore des
ait été soumise/à deux périodes
londatiois. Il ne nous appartient
jvénements ; quelque explication
a répartition et la nature de ces
îe. A proie formés-, ces dépôts
érosion; pendant que les vallées
ue entièrement dés vallées ; et, de
apparaissait conimo au travers
ituer à .Faide dus débris arrachés
qu 011 peut appeler c
piéistocènes. Mais c
it ffuen
ns ui l a c t i
nun
ue
uaiites agricoles
irme essentielle, i
Une e x p l o it a t io n d e t e r r e a b r iq u e s , p r è s d ’a u l t