Col. l i a , Bj a, Palladem v u l- \'m descend, ul monte en ligne. -rVD, i , TeuTct<t[/.oç, dans ce mot le T descend
en U-me.— i é , len te , dans ce m o t , à la fin d e là lig n e , » d e s c e n d en ligne. — E , 5, Tdtppn, le T moine en
ligne _ G , 9, Ttifievva, le T descend en ligne. Dans la colonne à côté commençant p a r Tsu]pi<rral, 1» mot
Tnmtmfe*’ ren tre dans l'a lignement, et le mot en so r t , tandis que r a K f f i rentre un peu.
Les observations sur la forme du P se reproduisent pour ÜQ, qui offre deux formes bien distinctes ,■ SÎ et S .
Col aox B — ' a l — D, ’Sdpiov, , ’âSd n is i ’S S i , au b ou t de ce dernier mot une: espace
marque un’ peu du haut. - F, H M i e x M (necnon, ’SfsviSai). G, « B B j
H — ont tous m figuré ainsi É L ’emploi des Si et S est partout identique dans tous les exemplaires.
Deux seuls exemplaires, celui de Kuster e t celui d'HemsterhuysI portent au bas de a page a o 7-ao8 un
errata qui a. cinquante-deux lign es , quoique dans tout le reste du v o lum e , qui contient 1 In d e x, ils soient en-
fièrement semblables aux autres.
E X I I S Q V I S E Q V V N T V R L O C I S N O N N V L L I I N A L I Q V A
tantum exemplarium parte eihendatione egent.
T I col 5 i , v. 59, Alté ra lectio, voâypttoitby touirpott- Les 7 exemplaires que j'a i.sou s les y e u x , soit de
toTtou, ponenda b îc fuit. ,5 ,0 , s o it d 'O liv a ,portent rè d^svtoniv Toü npownou.
_ 56, , 57. Sc ribe L ’éd. de i 57 » porte col. 5% , 1, 56, « |v SpOpon H
<p(üv^. L ’éd. Oliva, 1. 57, •#) ¿v oÊpôpou; cpcovv]. L ’éd. Oliva
porte col. 568 , 1. 5? , 7capa0pvi<Tai, et 63,7capa0pii[xaTa,
et 6 3 , irapaGp^uLaxa. " v fautes qui n’existent pas dans l’éd. 1672.
_ i o 3 4 , i 3 , ôrofcpx«, Les deux éditions p o r ten tô to ^ i.
10 4 4 ,1 8 , propriè d. Les exempl. de l’édition 15 72 portent tous proprie
dicerc. Ceux de l’éd. Oliva portent tousproprià dicere.
— 1049 » 68 »T0’3 0 eî* l- à SP- Les exemPL éd* l 5 ? 2 portent tou 0 eïç 1. à Sp^oç.
Ceux de l ’édition Oliva p o r ten t, tou 0 eiç, à Spofxoç.
— i o 5o , 5 2 , dromadaire. L ’éd. 16 7 2 , dromadaire. Celle O liv a , aromadaire.
— i o 5 i , 6 9 , IcpsdTWffa «rot. Ed. 15 72 sic. L ’éd. O liv a , ¿<p’ ’<rc«aa pot. " . 1
, 1058 } 5g ? ¿SuvaTov. Tpus les exempl. des deux éditions portent àSoévatov.
D ans l’édi tion de 1 Sy 2 l’ou est figuré p a r la ligature
». Dans l’édition Oliva l’o e t l’u sont isolés.
Je ne porterai pas plus loin l’examen de cet e r r a ta ,.q u i ne consiste, qu’en fautes purement typographiques,
la plupart de peu d’importance. Il est destiné principalement pour les tomes. I et II de 1 édition Oliva.
J’ignore pourquoi cet errata n’a pas été continué pour le tome I I I , dont il existe deux éd itions, à partir de
la page 659 jusqiî’à la fin , et pour les petites portions du tome I I I I qui ont eu également deux éditions.
L e grand erra ta , pag. 209, 2 10 , 2 1 1 , 2 1 2 , est le même dans tous les exemplaires des deux éditions.
Dans les deux éditions les caractères grecs sont identiquement les mêmes, mais presque toujours il y a
variété dans l’emploi des formes des ligatures ou de certaines lettres , telles que tom. I , (3 et ê col. 1, C, 1. 5 ,
au mot aêaxa ; y et f col. 1 4 , F, 1. 4 et su iv . au mot ¿yaXXia|Aa 'et âyaXkiccoiç; «sr et it col. 6 , E , 1. 2 ; F e t II col.
14 G 1. 5 ; D e t Q au mot A l’H P E 'S , col. 2 16 , E. L à où une édition emploie telle ou telle ligature dans tel
ou tel mot, dans l’autre édition elles se trouvent remplacées par l’emploi des lettres ordinaires de l’a lp h ab e t,
et vice versa. D’autres fois ce sont les ligatures qui diffèrent entre elles p a r leur forme, «da/ ou au mot
ôpacOai, col. 2, G, 1.6 ; S ou n au mot toïç, col. 5, B, 1. 9 ; Sau ou fa u , col. 6, sept lignes avant la fin, etc. etc. (1).
Ce sont des points de remarque q u i, presque à chaque lign e , constatent l’existence irrévocable de deux
éditions, mais seulement pou r les parties où ces différences se reproduisent constamment.
(1) Je ne puis me servir ici des lettres numériques comme indication, parce qu’en général elles sont placées inexactement,
surtout dans l’édition Oliva, particulièrement les lettres G et H. C’est un des signes auxquels on reconnaît
facilement les parties qui ont eu deux éditions.
THESAURUS
LINGUAE GRAECAE
» AB
HENRICO STEPHANO
C O N S T R U C T T JS .
NOVA E D IT IO ATJCTIOR E T EMENDATIOR.
e £ ta A A KAAANAAA A .À A A A A M A B
E on
ET
>
;*>
p
51N <£>
>
p *
p
primæ Græcorum literæ nota est, cui
i nomen yAXcpa, quod a prima Hebræo-
I rum litera mutuatur, : quamvis
enim tria hæc elementa sonent
A le p h , sequendo ea quæ *1 p e finali
I subscribuntur puncta, si quis tarnen
vohierìt~pro*arbitrio alia subscriberc, poterit. alios
etiam sonos literis illis da re, e x quibus sit et h ic ,
Alpha. Ilanc autem alioqui tam manifestam e t plane
indubitatam derivationem ignorantes grammatici ,
v\Xcpa a verbo AXcpio originem habere tradiderunt,
quum contra vocem hanc e x ilia oriundam dicere
rationi magis consentaneum videri p o tuis set, u t infra
docebo. Itidem certe elementum secundum Bìfra
ex Hebr. n>3 B e th , manasse perspicuum est : nec
de hac derivatione ambigent ii præsertim qui qualis
fuerit olim tou sonus noverint.
vAXcpa, præter figuras |quas illi in fronte hujus
paginæ dedimus secundum Rambach. Disquis. a r -
chæol. s. Potter. Archæol.gr. vers. germ. t. 3, tabul. 5.
Halis Sax. 17 78 , 8 ° ] , . habet et alias quasdam in
manuscriptis Jibris vctustioribùs, quarum una partim
ad Hebraici n , partim ad Latini A formam accc-
dit : ut aliquàndo, Deo favente, in meo de Calligraphia
G raecalibro videbis. [Quem librum nunquam
in lucem dedit.J Sed usus illius est in iis potissimum
locis quibus typographi literas quas majusculas appellant,
adhibere consuev.erunt.
AXipa cu r primam inter orotyeia, i ’ e. elementa,
sedem obtinuisse existimatum sic, tuncdicendumerit
quum de illa a verbo ’AXcpto origine disseretur : qua»
si fabulósa es t, u t certe e s t, simul et illi rationi voi
potius illis rationibus fidem derogemus necesse est.
yAXcpa unum est ex illis elementis quae nomen smini
apud omnes graecas dialectos immutatum retinue-
run t, quum aliquae nonnulla e x ceteris immutaverint.
Nani e x rau.u.a IonesTÉp-ixa, e x Kdinta quidam Ko7nca
fecerunt : linde putatur esse y.01ticaTÌa? dictus quidam
equus ap. Aristoph. (Nub. 23 : "O t’ E-irptòéjx^v tov xotc-
itaTÌav. 487 : 'H yàp ¿vayxv^ p.e iris^ei Aia tou? itcitouì
Tob? xo7tTraTÌa?, xal t 8v yA[J.ov, 8$ jx’ eireTpuJ/o),. ab
impresso videlicet illi y.6mza. (Schol. ad Aristoph. Nub.
2
' xi.. y . , , n J
Biscti Scholia.) [Mutavit nunc locum Hug. Erfind.
der Buchstab., p. 9, not. Aliter, mutavit G. Hermann,
in edit. Nub. p. 266.] Nonnullis major etiam mutatio
contigit : u t Tt*> 2 ìy(x«, quod Dores 2 iv appellarunt.
Mti autem a Democrito vocatum fuisse traditur Mo>,
eadem. forma qua'P<*>.
— Qp nominibus literarum grsecarum prolixe Salmas.
De lingua hellenist. ed. Lugd. Bat. ind e a p. 386.
H ask .
’ yAX<pa indeclinabile e s t , sicut Brjra, e t reliquà
etiam , uno aut. duobus exceptis. Perpcram enim
Priscianus.[De arte gramm. 1. 1, c. 3, § 7, t. 1, p. 12,
Krehl.J de omnibus elementorum tani .ipud Graecos